jeudi 24 mai 2012

Le plug de chasteté d'une soumise

Plug de chasteté est un texte de Soumise Falbala
 
 
AVANT PROPOS DE TSM
J'ai rencontré Falbala sur lors d'un des week-end de www.Fessestivites.com , le courrant est passé entre nous, elle est devenue ma soumise en décembre  2011.
Elle vient de m'adresser ce compte-rendu suite à un des week-end qu'elle a passé à la maison, je trouvais intéressant de la partager avec vous. 
Bonne lecture
TSM
plug de chasteté

plug de chasteté ouvert

 Plug de chasteté
Ce matin Maître TSM travaille. De mon côté, je m’affaire aux activités ménagères qui incombent à toute soumise. La journée s’annonce ensoleillée et radieuse.
En passant à côté de lui, il me retient par la manche de ma veste, me tire vers lui. « Attend j’ai quelque chose pour toi ».
Il se lève. J’entends un tiroir s’ouvrir, puis se refermer. Il est allé chercher dans sa commode un objet que je n’avais jamais vu, jusqu’à présent. Il est de nouveau devant moi et agite devant mes yeux, ce que je prends au premier abord pour une grenade. J’ai un moment de recul. Il se met à rire de ma perplexité.
« Ah, je vois que tu ne connais pas ».
Mon Maître m’explique ce c’est un plug de chasteté. Je regarde cet instrument qui me parait déjà d’une belle grosseur. Mais quelle fut ma surprise quand je le vis s’ouvrir comme une fleur lorsque mon Maître actionna une petite molette.
« Maintenant, installe toi sur le banc à fessée, tu vas connaitre les sensations qu’il procure » bien sur, je ne suis pas très rassurée. Mais en soumise faisant confiance à son Maître, j’obéie sans réfléchir. Mon cœur bat les cent coups. J’ai peur mais le désir me tenaille, envie de connaitre cet objet qui me parait trop gros pour entrer dans mon fondement.
Maître relève ma jupe. Je crois que je vais défaillir quand j’entends ses pas s’éloigner. Tout mon corps réclame sa présence. Le voila bien vite de retour. Je perçois le bruit d’un tube qui l’on ouvre et je sens son doigt qui applique du gel sur mon anus. Quel bon Maître, Il prend soin de sa soumise !
Délicatement, il approche le plug et le maintient. « Vient le chercher » me dit-il, ainsi en m’aidant de mouvements circulaires, l’ustensile force mon sphincter qui, je dois le reconnaitre, ne résiste pas beaucoup et s’enfonce en moi. Je m’empale sur lui. Le viol de mes reins m’arrache un gémissement.
« Ne bouge pas, il faut que je l’ouvre » Je suis possédée par la chose qui m’habite. Une certaine appréhension nait en moi. Maître avec prudence actionne la molette. Je sens alors la corolle qui s’ouvre. Elle ne fait pas vraiment mal, elle est juste présente. Je n’en détecte ni la forme ni la substance, elle pénètre ma chair intime, ravivant la douloureuse sensibilité de mon anus. J’éprouve le plaisir pervers d’être investie. « Tu peux disposer et continuer tes activités ».
Courbée, sur le rebord de la baignoire que je suis en train de nettoyer, réduite à l’impuissance, sans tenter de me défendre, ni chercher à me soustraire, tendue de la tête aux pieds comme la corde d’un arc bandé, la mort dans l’âme, mortifiée par la contrainte, je ne pus m’empêcher de gémir sous les sensations, j’eus la brusque révélation de la réalité exprimée dans toute son évidence mais indéniable. La preuve irréfutable du trouble incontrôlable de ma chair intime et blessant cyniquement ma pudeur de manière encore plus offensante. Je mouille intensément. Une douceur me vient des entrailles. Je serre les fesses, pas envie de le voir tomber. Pourquoi n’a-t-il pas glissé ? Je ne sais pas.
Le repas approche à grand pas. Je le prépare, Ouf ça va mieux ! Il ne menace plus de s’échapper. Maître ne dit rien. A-t-il oublié ?
Assise, n’osant bien entendu peser de mon poids sur mon anus et sur ce qu’il contient, je tente de prendre appui sur mes cuisses. Ne tenant pas longtemps, je suis contrainte de reculer le poids de mon corps. La chose s’enfonce en moi. Mes mains sont crispées sur le bord de la table. Je tente d’y différer un peu de mon poids. Mais non. Je crains le pire, je bascule complètement sur mon coccyx et la chose me prend encore plus loin. J’ai l’impression que mes tissus se déchirent. Je repose de tout mon poids sur la chose qui me parait de plus en plus énorme. Ma respiration s’accélère. Mon postérieur me fait mal.
Heureusement, le repas terminé je m’affaire dans des occupations debout, ça va mieux. Une fois de plus, je me liquéfie depuis les profondeurs ruisselantes de mon être.
L’après midi est bien avancée lorsque Maître TSM lève la tête de son clavier d’ordinateur. Il a besoin de faire une pause. « Allons dehors ». Je le vois disparaitre dans sa chambre et je l’entends fouiller dans son sac. Que veut-il faire ? Lorsqu’il revient je vois qu’il a un mors dans les mains. En passant à côté de moi, il me prend par le bras et m’entraine dans le jardin. Le soleil brille, le temps est agréable. Belle journée pour faire quelques pas de pony girl.
Et me voila harnachée ! Mes premiers pas à la longe sont hésitants. « Garde la longe tendue ». Je m’applique. Au pas, au trot… je prends de l’aisance. Je prends de plus en plus de plaisir à écouter ses conseils, à lui obéir.
Le temps est vite passé. Nous ne nous sommes pas rendu compte que la soirée est bien commencée. Nous devons aller faire quelques courses. Dommage ! Il faut abandonner, on verra plus tard pour parfaire mon éducation.
« Le premier arrivé à la maison ». Depuis le fond du jardin, je cours. Dans mon empressement j’avais oublié le plug. Il est bien là. Je le sens au plus profond de moi à chacun de mes pas. J’aime cette sensation.
En approchant de la maison, Maître me lie les mains et passe la corde au-dessus de la branche d’un arbre. Je sens mon corps frémir, je suis à sa merci. Mais quel plaisir aussi, que celui de s’offrir de la sorte.
Dès les premiers coups de fouet, la morsure est nette, immédiate. La douleur est surprenante. Je ne sens plus qu’elle durant quelques minutes. Je reçois avec délice le fouet, les lanières m’effleurent, parfois je ne perçois que le souffle des lanières, parfois elles me mordent. Je ressens les coups différemment, j’ai envie de me livrer encore plus. Le grand vertige prend place de la réalité et cela n’a pas d’importance… Je ressens par moment le plaisir monter. C’est comme une harmonie… c’est tellement difficile à expliquer. Parfois ils deviennent caresses pour finir mordant ma chair, l’apaisant à nouveau de douceur pour mieux la brûler ensuite…les sensations me possèdent. Chaque parcelle de mon corps flagellée me fait découvrir de nouvelles sensations. Je les déguste. Le plaisir, le bonheur d’offrir mon corps à la brûlure du coup. Mais bientôt la douleur s’estompe. Je l’apprivoise. Je sens alors rapidement le plaisir monter, j’ai envie de me laisser aller à la jouissance. Finalement, je ne sens plus la douleur et un soubresaut traverse mon corps, le plaisir commence à m’envahir. Ma chatte mouille de plaisir. J’ai envie de me laisser aller, de jouir par la douleur, je m’y sens tellement proche. Subitement tout s’arrête ! Je sens que je suis trempée. Je suis toute mouillée. Le plug menace de tomber. Je l’avais oublié. Il est bien là pourtant, au plus profond de moi. Je sais que c’est le bon vouloir de mon Maître. J’aime me sentir ainsi offerte à toutes ses envies, donation confiante de mon corps et de mes sens.
C’est une prise de possession de mon corps, Il ne m’appartient plus, il est à Vous Maître.
 
Jamais mon fondement n’avait été pareillement ni si pleinement rempli.
Jamais je n’avais ressenti en moi une telle sensation.
Jamais je n’avais connu une pénétration qui me procure une douleur si vive, mais également m’apporte un plaisir aussi intense.
Malheureusement, il faut partir.
Maître, se rappelle-t-il que je le porte encore ?
Il me regarde. Mais oui ! J’en suis sure.
Te gène-t-il ? Non Maître.
Je le vois hésiter. Va-t-il me l’enlever ?
« Allonge-toi sur mes genoux »
La corolle en se refermant ne va-t-elle pas me pincer ?
Mais non, Maître fait attention,
Confiante, je m’abandonne. Je suis à Vous, les mots ne peuvent pas exprimer ces sensations… partage d’un absolu, d’un don de soi, dans le respect et la confiance.
Délicatement, il l’enlève.
 
Permettez-moi Maître, de vous formulez une demande.
La prochaine fois, pouvez vous prévoir un bon gros coussin très moelleux, pour les petites fesses fragiles de votre soumise lors du repas.
 
Merci à vous Maître, pour cette nouvelle expérience qui m’a ravit.
 
Falbala Votre soumise.

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