L’
histoire à rebondissement d’un couple qui passe de la petite
fessée d’amour à la
couche, à la
chasteté et au
Cuckold (cocufiage)
Depuis quelques années, Paula et Pierre pratiquent les jeux coquins
que la morale réprouve parce qu'elle ne sait pas combien c'est bon. Leur
sexualité a évolué gentiment et progressivement au fil des années pour
pimenter un peu leur vie de couple. La fessée d'Amour est entrée dans
leurs jeux, les claques étant plus des caresses que des coups ou de la
violence conjugale.
C'est en alternant les rôles que Paula se découvrit une légère
attirance pour la domination féminine sans pour autant être attirée par
le SM. Pierre quant à lui, appréciait grandement que Paula s'occupe de
son fessier de vilain garnement. En furetant sur le net il découvrir
l'ABDL, les photos générant de nouveaux fantasmes, il se laissa aller à
lire des histoires de nursing qui ne le laissaient pas de marbre, enfin
presque car du fond de sa culotte les troubles montaient.....
LE PIEGE !
Suite à son accouchement, leur fille vint passer quelques jours de
vacances chez eux pour le plus grand bonheur de Paula. Les neurones en
perpétuelle ébullition, Pierre chipa une des couches du bébé histoire de
« tester » les sensations que cela peut générer. Profitant d'une sortie
de sa fille et sa femme, il fit ses premiers pas avec une couche dix
fois trop petite pour lui mais qui généra ce jour là de grandes
chaleurs...... Ni une ni deux, il fonça au supermarché acheter deux
paquets de couches, un pour soi-disant aider financièrement sa fille,
l'autre pour reproduire les si troublantes sensations éprouvées.
Deux jours plus tard, lorsque son épouse et sa fille allèrent
promener le bébé, il se langea et se fit ses filmes en surfant sur
fessestivites. Pris dans ses délires fantasmagoriques, il ne prit garde à
l'heure et ne put retirer quoi que ce soit lorsqu'elles revinrent de
leur promenade. Si la fille ne remarqua rien, Paula se rendit compte que
quelque chose clochait dans le pantalon de son mari.
SUSPICION
Pendant quelques secondes, Paula s'affola. « Est-ce que mon mari est
pédophile » ? Cette question la mina jusqu'au soir où dans leur chambre,
Pierre dut avouer ses nouveaux fantasmes. Pour convaincre son épouse
suspicieuse et prête à mordre (le terme est léger) il lui proposa
d'aller surfer pour lui faire voir que des milliers de personnes aiment
jouer avec des couches. Ce qu'elle découvrit la surprit mais la rassura
également. Pour « punir » son mari, et s'amuser avec sa gêne, elle
décida de lui imposer de dormir avec une des couches du bébé.
En caressant la couche qu'elle pu constater la perte de contrôle du
corps de son mari dans ses fonctions les plus intimes et lui fit prendre
conscience de la réalité de la possession. En clair, la couche faisant
bander son mari. Le lendemain Paula fouina sur des forums histoire de
finir de se rassurer et découvrit à son tour le monde ABDL.
Est-ce son instinct maternel, est-ce pour faire plaisir à son mari,
nous ne le saurons point mais Paula s'amusa rapidement avec son mari en
jouant la Maîtresse. Elle le fessa de plus en plus souvent et s'amusa à
lui imposer d'évoluer en couche dans la maison ou de la téter pendant
qu'elle pratiquait ce que l'on appelle l'onanisme. C'est ainsi que
Pierre découvrit une première forme de chasteté.
La chasteté rend l'homme fou, surtout lorsqu'il vit avec une épouse
diabolique, gourmande des plaisirs de la vie et surtout sans pudeur. La
sexualité du couple évolua donc vers la domination féminine et les
couches.
- J'aime bien me perdre dans des excitations sulfureuses. Cela fait
partie de moi. J'adore ce petit plus qui tourne autour de ta honte mon
chéri, j'ai envie d'aller plus loin dans ces jeux, es-tu d'accord ?
Demanda un soir Paula.
- Heu ! J'aime bien quand tu me domines mais qu'entends-tu par aller plus loin ? Répondit Pierre sur la défensive.
- Rien de bien méchant rassures-toi, juste continuer à jouer comme
nous le faisons mais disons que j'aimerai ajouter des contraintes et te
pousser un peu, ça m'excite. Lui répondit Paula en se faisant « chatte
câline ».
La folie des sens jette parfois l'homme dans les plus frénétiques et
excessifs égarements. Pierre accepta avec grand plaisir les propositions
de sa femme sans s'imaginer un instant que ces égarements érotiques
pouvaient aller très loin. Ni une ni deux, elle se leva pour attraper
des choses dans l'armoire. Pierre dut lui confier ses poignets et se
laisser attacher au lit. Ayant passé à son tour du temps sur internet,
Paula s'était enrichi de connaissance à propos des couches. Elle lui en
posa deux l'une sur l'autre en perçant la première afin de doubler le
volume. Les mains et les jambes attachées, Pierre ne put rien faire pour
se « « « « défendre » » » » quand il vit son épouse enjamber son visage
pour se faire déguster la minette.
Une fois apaisée, Paula ne tarda point à sombrer dans les bras de
Morphée et passa une excellente nuit contrairement à Paul ! Surexcité il
ne put s'endormir rapidement, dormir attaché n'aide pas au repos
salutaire tout comme faire son premier pipi allongé dans un lit.
Si parfois les voies que l'on emprunte pour apprendre à se connaitre
sont tortueuses et nous paraissent impossibles à suivre, dans le cas de
Paula et de Pierre la voie était toute trouvée pour le bonheur de l'un
comme de l'autre. Il se mit à écrire des poèmes d'amour à sa femme qui
le martyrisait tous les jours un peu plus et en tirait de grands
plaisirs tant cérébraux qu'intimes.
Paula trouva sur fessestivites un texte troublant de TSM en clair, de
la très mauvaise lecture pour une femme ! Cet article abordait les
biens faits de la cage de chasteté dans les relations de domination
soumission dans le couple. Séduite par cette lecture et surtout les
avantages qu'elle pouvait en tirer dans leurs jeux et plaisirs, elle
acheta secrètement une cage de chasteté sur internet.
........................
« Hygiène, rigueur, chasteté et obéissance sont les piliers d'une
éducation de qualité mon bébé, je vais faire de toi le bébé soumis le
plus heureux du monde » indiqua Paula à son mari le soir où par surprise
elle l'encagea non sans mal après l'avoir entravé sur le lit comme tous
les soirs avant de lui poser la couche. L'entraver pour dormir étant
devenue une habitude et un moyen de l'empêcher de se masturber devant
l'ordinateur, Pierre ne put donc qu'abdiquer. Peuplée de songes
érotiques fous et de crises d'érection diaboliques la nuit du bébé
encagé fut grandement perturbée surtout qu'avant de s'endormir elle
avait tenu à sa séance de « décompression » linguale sur le visage de
son mari.
Il aurait pu demander le retrait de la cage de chasteté mais s'il y a
des moments où l'on aimerait ne plus l'avoir, en même temps, on se
complait tellement dans l'état d'excitation que l'on redoute presque
son retrait. Après ces quelques jours de port de cage de chasteté,
Pierre se sentait devenir la chose de sa Maitresse. Toujours à réclamer
des câlins, rêvant d'être insulté, humilié, entravé, fessé, prêt à faire
n'importe quoi, obéir à tout, accepter tout d'elle pourvu qu'elle
s'occupe de lui. Le manque et la frustration le rendaient dingue. Un
jour, il se surprit lui-même à venir lécher avec amour et passion la
minette de sa femme même après qu'elle sorte des toilettes. Il la trouva
« bonne », « savoureuse » et fit la bêtise de le dire à sa Maîtresse
d'Amour.
Le lendemain, elle lui ordonna de venir avec elle aux toilettes pour
lui servir de « papier », expression qui dans leurs jeux de domination
soumission n'avait rien de dégradant ou d'irrespectueux. De fils en
aiguille et de pipi en pipi, devant le bonheur éprouvé par son bébé
soumis à la laper, elle s'essaya à l'uro tout en douceur en urinant sur
sa langue. La frileuse n'ayant pas de réaction négative bien au
contraire, elle décida que la nuit elle n'irait plus aux toilettes mais
sur son mari. Entre la cage de chasteté, la couche, les entraves, les
envies frénétiques de sa femme et ses pipis nocturnes à consommer sans
modération, les nuits de Pierre devinrent de plus en plus difficiles.
Peuplées de rêves fous, elles embrouillèrent encore ses méninges de plus
en plus perturbées. Cette délicieuse dictature féminine ravageait tous
ses fondamentaux masculins sur son passage.
Six mois plus tard, Paula et Pierre n'avaient plus aucun rapport
sexuel conventionnel même si entre eux avait vu le jour un Amour fou
fait de moment d'immense tendresse et de domination/soumission. Un
manque certain de « virilité » commençait à se faire sentir pour Paula
qui un jour lança comme si de rien n'était, qu'elle aurait besoin d'un
amant.
Cette boutade fit son chemin dans leurs esprits. L'idée jetée en
l'air fut accentuée par de très mauvaises lectures encore et toujours
sur fessestivites, un site à déconseiller aux femmes.
«L'homme décide, la femme récidive. Dans 90% des cas, c'est à
l'initiative de l'homme qu'un couple se rend dans un lieu échangiste,
mais c'est la femme qui pousse son compagnon à récidiver».
Ayant lu la phrase ci-dessus sur le forum des libertins, Paula
s'amusa à provoquer son mari lors de leurs ébats du soir avec de petites
phrases anodines comme « Lèche mon amant » en parlant du godemichet, «
lèche-moi et goûte comme il m'a bien fait l'amour », ..... Vautrée sur
son mari dont le Popaul encagé subissait la crise du logement dans son
tube, elle allumait le feu comme le dit si bien Johny Halliday. Avec la
façon de dominer de Paula l'idée de l'amant commença à germer dans les
fantasmes de Pierre.
N'allez pas penser à mal de Paula, elle fit des heures
supplémentaires pour acheter des tenues de bébé adulte à son mari et
satisfaire ses envies et fantasmes mais elle commençait réellement à
être en « manque ».
L'amant choisit sur le net, les règles fixées dans le couple (Jamais
l'un sans l'autre et on ne se roule pas des gamelles) la date fut fixée
sans tarder. Ce que n'avait pas prévu Pierre, c'est que Paula le
dominerait en même temps. Il ne parvenait pas non plus à comprendre
pourquoi elle tenait à ce qu'ils achètent ce chariot extra plat à
roulette pour passer sous les voitures.
LE JOUR J
Encagé et en couche, entravé allongé sur la planche à roulette dans
la chambre Pierre commençait à s'inquiéter. Lorsque la sonnette tant
imaginée dans ses fantasmes retentit, son cœur se mit à battre la
chamade. Il ne pouvait qu'entendre des bribes de la conversation et
s'affoler. Un petit quart d'heure plus tard, il fut totalement
désarçonné lorsqu'ils entrèrent dans la chambre. Sa tenue de bébé lui
revint en pleine figure car c'était la première fois que quelqu'un le
voyait ainsi vêtu. Sûre d'elle comme à son habitude, Paula s'accroupie
immédiatement sur lui pour qu'il embrasse et lèche sa minette déjà bien
humide...... Il s'y noya et lécha avec conviction comme pour oublier sa
gêne. Sans lui laisser le temps d'exprimer quoi que ce soit, elle le
poussa sous le lit en un rien de temps grâce au chariot à roulette.
De dessous le lit, il ne put voir que les pieds et les vêtements
tombant ci et là avant de voir le sommier bouger et craquer sous le
poids des deux corps enlacés. La mélodie des feulements semblant se
répercuter dans sa cage, paradoxalement, les entendre faire l'amour
l'excita au plus haut point.
Paula ne l'oubliait pas, bien au contraire elle partageait
verbalement ..... puis le fit aussi physiquement un court instant. Tiré
de dessous le lit, il vit arriver sa « chouchounette » sur son visage
avec un ordre précis : « ouvre la bouche » ! La connaissant, il ne se
posa même pas la question si elle allait oser ou pas, elle lui donna
quasi immédiatement son champagne doré à boire et son sexe gorgé de
plaisir à lécher. Prestement repoussé après quelques minutes, il ne put
qu'entendre les ébats de plus en plus furieux qui conduisirent les
amants au paradis des plaisirs.
- Tu as été un excellent amant, mais maintenant tu fais ce qui est
convenu sans quoi tu ne reviendras jamais. Annonça Paula à l'amant d'une
voix qui ne souffrit d'aucune réponse possible.
L'homme prit ses affaires sans mot dire et quitta la chambre
aussitôt. Pierre vit apparaître les deux jolis petons de son épouse.
Elle le tira de dessous le lit puis lui redonna son sexe à lécher en
attrapant ses tétons qu'elle entreprit de tordre de ses pinces digitales
aiguisées. Pris de douleur, Pierre cria et de fait ouvrit la bouche ce
qui coupa net les éventuelles réfutations sur le fait de lécher la
semence de l'homme. L'amant avait retiré son préservatif pour éjaculer
entre les cuisses de sa femme il en eu plein le visage mais Paula sembla
prendre grand plaisir et essayer de tout lui faire lécher.
Cet épisode n'était pas prévu et il n'avait jamais été convenu qu'il
dégusterait du sperme mais quand Paula décide..... Ce soir là, il fut
grandement remercié. Elle ouvrit la couche et la cage de chasteté, lui
nettoya le sexe à l'aide d'une lingette et lui offrit une pipe gloutonne
avant de s'empaler sur lui pour une chevauché fantastique qui l'envoya
en deux temps trois mouvements dans la stratosphère. Immédiatement après
la dernière contraction, elle posa sa minette gorgée de sa propre
semence sur la bouche afin qu'il lape à nouveau.
- Merci mon bébé d'amour pour tous ces plaisirs, tu as été
formidable, je suis fière de toi ! Lui dit Paula avant de refermer la
couche puis de le repousser sous le lit et de se coucher.
TSM