samedi 30 novembre 2013

Maitresse le féminise lui impose des collants et ses caprices

Maitresse le féminise lui impose des collants et ses caprices

Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Je viens d’envoyer mon soumis acheter des sous-vêtement pour moi, à la boutique en bas de la rue. Il connaît mes mensurations, ce sera donc facile pour lui, il n’aura qu’à indiquer à la vendeuse l’ensemble noir exposé dans l’angle de la vitrine. Elle apercevra sans nul doute son collier de soumis, ce qui le fera rougir comme d’habitude. Sous ses vêtements masculins, il porte mes sous-vêtements et un collant. J’adore lui faire porter ce que j’avais sur moi la veille, cela m’amuse de le féminiser en allant au-delà de son fétichisme. Eric est fétichiste des collants, le pantyhose comme il dit, les toucher, les caresser, l’excite tout comme embrasser mes jambes et mes pieds lorsque j’en porte.

Comme je suis une Maîtresse attentionnée, je l’oblige à en mettre pour satisfaire son fétichisme, là, il aime nettement moins, tout comme porter mes sous-vêtements mais il n’a pas le choix !
Maitresse domination féminine
Ce soir je sors avec mes copines, nous allons au cinéma. Mon soumis quant à lui restera à la maison, une petite surprise l’attend. Par sécurité, j’ai prévenue mon amie, s’il m’arrive quelque chose il faudra qu’elle vienne le délivrer.

Par précaution, j’installe une toile cirée sur le lit, les bracelets et les chaînes aux anneaux que je lui ai fait installer aux quatre coins du lit. A son retour, je lui ordonne de se mettre nu puis d’enfiler mes collants résille ouvert entre les jambes, puis mon corset que je serre le plus fortement possible. Je conduis ensuite Eric ainsi vêtu à la chambre. A la vision de ce qui est sur le lit, il baisse les yeux, j’aime ces moments où il sait qu’il va être mon jouet. A ma demande, il s’étend sur le ventre en se plaignant que la toile cirée est froide, ce qui est le cadet de mes soucis. Deux minutes plus tard, il est entravé sur le ventre bras et jambes en croix.

Pendant qu’il médite, je vais finir de me maquiller, au bas mot, une petite heure, avant de revenir le voir avec tous mes sous-vêtements sales sortis de la machine à laver, la lessive étant initialement prévue pour demain. Assise jambes écartées sur l’oreiller, je lui offre ma chouchoune à lécher histoire de l’exciter encore plus avant ma surprise, puis aussi je l’avoue, d’apprécier ses caresses, Eric étant une très bonne langue….. L’heure tourne, il faut que je me dépêche un peu maintenant où je vais manquer la séance de huit heures.

Je lui mets dans la bouche le string que j’ai porté aujourd’hui, il ne risque pas de s’étouffer avec car il est mini mini, puis recouvre son visage des culottes que j’ai portées cette semaine, culottes qu’il a portées le lendemain. Cela va lui permettre apprécie mon odeur pimentée par la sienne…. Afin qu’il ne puisse les retirer en frottant son visage sur le lit, j’enfile un collant par dessus que je fixe autour de sa tête en faisant des nœuds avec les jambes des collants.

- Ce soir je sors, je vais au cinéma avec mes copines, si un de leur copain est bisexuel, je lui offrirai tes fesses, et s’il accepte, cela nous fera du spectacle.

- Hummmmm ! Fait Eric en tirant sur ses entraves tout en faisant « non » de la tête.

- Tu es trop chou comme ça, s’il est bi, tu vas l’exciter à mort, c’est un truc à te faire défoncer ta petite rondelle de soumis.

- Hummmmm !

En quittant la maison je me traite de garce, mais en BDSM, les soumis n’aiment-ils pas être le jouet de leur Maîtresse ? Pendant la soirée et le passage « obligatoire » à la brasserie, je ne dis rien à personne sur ce qu’il se passe chez moi, hormis mon amie, personne n’est au courrant. Trois heures plus tard, j’arrive à convaincre mon amie Sandrine de venir boire un verre chez moi puis de voir ce que j’ai fait à mon soumis. Lorsque nous entrons à la maison, je vais voir si mon jouet va bien, il est toujours entravé et n’a pas pu se délivrer. J’adore !

Sandrine accepte un Malibu chargé, puis un deuxième encore plus chargé avec de la glace. Elle ne connaissait pas et adore. A nos heures perdues et au gré de nos envies, nous sommes un peu lesbiennes toutes les deux, elle ne s’offusque donc pas quand je passe derrière elle pour malaxer ses gros seins généreux en l’embrassant de partout dans le cou. Entre mes caresses et le Malibu, Sandrine s’abandonne totalement à mes mains devenant encore plus coquines. La sentant prête à mes envies perverses, je la tire par la main dans ma chambre pour lui faire voir mon soumis et lui demande de me rendre service : lui faire croire qu’elle est un mec et qu’elle va le sodomiser.

Elle ne doit pas parler, juste retirer sa jupe et se coucher entre ses jambes pour frotter son ventre contre les fesses offertes d’Eric. Avec tout ce qu’il a sur la tête, il ne risque pas de voir que c’est une femme ! Sandrine accepte de jouer le jeu et monte sur le lit. Quand je monte à mon tour sur le lit pour m’asseoir sur l’oreiller, Eric prend peur en comprend aussitôt que je ne suis pas seule et tire sur ses entraves, en vain.

L’histoire complète est ici sur le forum BDSM et fétichismes, c’est GRATUIT et vous pourrez :

Suivre les aventures d’Eric,
Lire des tonnes d’histoire érotique sur de multiples sujets
Poster les vôtres
Et qui sait, peut-être faire des rencontres ?
http://www.fessestivites.com/phpBB3/recits-fetichiste-f173/maitresse-le-feminise-lui-impose-des-collants-et-caprices-t1909.html

vendredi 29 novembre 2013

La chienne soumise de l’hôtel

La chienne soumise de l’hôtel

Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
chienne soumise BDSM sexe« Je suis toutes à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi » répète souvent Clara, soumise à son Maître rencontré sur Fessestivites. S’il est respectueux de la femme, Maître T est dur et ferme dans sa domination. Il ne laisse rien passer, rebondit souvent sur les mots de sa soumise la faire évoluer et l’aider à s’épanouir en BDSM.

Ils sont touts les deux issus du monde libertin où pendant quelques années ils ont vécu chacun de leur côté les plaisirs inavouables avant de s’en lasser. Maître T est aujourd’hui depuis 10 ans dans le monde du BDSM, il se forge avec le temps au contact d’autres Maîtres puis de lectures sur lesquelles il médite avant d’adapter leur contenu à ses idées. Clara a toujours été coquine, elle s’est désintéressée progressivement du libertinage et des clubs libertins qui, malgré le plaisir physique éprouvé, laissent un goût de solitude le lendemain.

- Clara, tu me dis souvent : « Je suis toutes à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi » jusqu’où irais-tu dans ton abandon ?

- Jusqu’à ce que vous déciderez Maître. Répond Clara

- Alors tu vas exécuter mes ordres sans discuter, que tu pleures ou non n’y changera rien, nous allons bien voir si tu es la soumise que tu décris dans tes envolés lyriques sur le forum BDSM. Demain je te loue à des hommes. Tu te rendras au Formule 1 de …… avec un sac, tu prendras une chambre puis tu m’adresseras par texto le numéro de la chambre puis le code. Je te confirmerai réception, à la suite de quoi, dans la chambre tu te mettras nue et tu ouvriras ce sac, à l’intérieur il y aura une enveloppe avec les instructions que je veux que tu suives à la lettre.

Le mot « louer » fait très mal au cœur de Clara et lui fait horriblement peur. Son Maître serait-il un proxénète sans cœur ? Son cœur lui crie « non » son esprit lui hurle « attention », dans ce duel de l’amour contre la raison, le cœur prend l’avantage, elle fera ce qu’il lui demande.

Il est 16h45 quand elle introduit sa carte de paiement dans le dispositif de réservation et de paiement des chambres du formule 1. Sa tête bourdonne, elle a l’impression d’être ivre alors qu’elle n’a pas bu une goutte d’alcool. La gorge serrée, elle entre dans l’hôtel, trouve la chambre et s’y enferme avant d’adresser le numéro de chambre et le code par texto à son Maître. Même si elle est seule, se mettre nue la perturbe, elle a confiance en son Maîtres mais la peur la submerge. Pour essayer de savoir ce qu’il l’attend, elle ouvre rapidement se sac, ce qu’elle y découvre n’apaise en rien l’angoisse qui la ronge maintenant. Sous l’enveloppe, des menottes, une cagoule, des cordes et bracelets de cuir ainsi qu’un bâillon percé, une boite neuve de préservatif puis un énorme martinet lui sautent aux yeux. La gorge serrée elle ouvre l’enveloppe et se met à lire.

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Clara

Je te veux liée à quatre pattes sur le lit comme une chienne prête à se faire saillir.
Par ordre tu vas attacher les cordes aux pieds du lit, cordes que tu relieras aux bracelets que tu poseras à tes chevilles.
Une fois tes jambes bloquées, tu mettras une paire de menottes à chacun de tes poignets.
Tu mettras le bâillon boule percé, les multiples trous du bâillon te permettront de respirer sans problème.
Tu passeras ensuite la cagoule que tu fermeras derrière ta tête avec les boucles.
A ce moment là, tu devras donc être à quatre pattes sur le lit, les chevilles entravées de telle façon que tu ne pourras pas resserrer les jambes.
A l’aveugle, tu fermeras les menottes de tes poignets aux barres du lit qui sont sur le côté.
Si tu as bien fait ce que je te dis tu devrais être à genoux, fesses en l’air, les bras étirés sur les côtés du lit.

Des gens vont venir s’occuper de toi, essaye de ne pas trop crier pour ne pas ameuter les occupants des chambres voisines, les murs sont minces dans ces hôtels.

Ton Maître

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Etre livrée sexuellement à des hommes en club libertin, Clara l’a déjà vécu et en garde un assez bon souvenir, être attachée et un peu malmenée aussi, mais seule dans cet hôtel, la situation est bien différente. Sans sa tête le chaos des émotions, sensations et contradictions s’installe. Une fièvre indescriptible s’empare de son corps quand elle commence à attacher les cordes aux pieds du lit. Comme pour chasser ses sombres pensées, elle se concentre sur les nœuds avant de poser les bracelets à ses chevilles. A quatre pattes, la tête posée sur le lit, elle affine les réglages des entraves de ses jambes pour satisfaire les exigences de son Maître.

Le papier posé près d’elle, elle suit les instructions à la lettre, enfin presque, elle a oublié de prendre les autres affaires dans le sac. Clara se libère un instant pour tout mettre sur le lit, un geste instinctif la conduit à se gratter entre les jambes, ses doigts découvrent un « marécage ». Elle se traite de folle. Pour mettre un terme rapidement à ses hésitations et ne pas s’enfuir, elle s’active, pose entre ses dents le bâillon, attache à nouveau ses chevilles et pose une paire de menottes à chacun de ses poignets. Le contact du métal froid la fait transpirer, c’est antinomique mais son cerveau chamboulé semble avoir perdu le contrôle de la logique et de la sagesse. Lorsqu’elle enfile la cagoule, Clara se sent isolée du monde, le cuir froid sur son visage se ligue avec sa respiration saccadée pour accroître ses angoisses.

A cet instant, elle est bloquée, savoir que si elle ferme les menottes sur les barres métalliques du lit, lui retirera toute possibilité de fuite, l’angoisse. Clara essaie de se reprendre, de se raisonner, son Maître ne peut pas lui avoir fait un mauvais, coup, non ce n’est pas possible. Cette pensée lui donne la force de bloquer son bras gauche en fermant la menotte sur la barre en métal qu’elle trouve à l’aveugle. Dans un état second, à la fois excitée et tremblante de peur, elle tend sa main droite vers la barre pour bloquer la dernière menotte qui lui retirera toute possibilité de fuir, mais ne parvient pas à la fermer. Ces pensées se focalisent sur Maître T, elle le voit lui sourire, l’apaiser quand elle avait peur à ses débuts sur la croix, elle repense à tous ces plaisirs enivrants qu’il lui a fait connaître jusqu’à présent. « Oh mon maître des plaisirs, si vous saviez à quel point je vous aime » pour faire ce que je fais pour vous, pense Clara en refermant prestement pour ne plus hésiter la dernière menotte sur la barre en fer.

L’attente cruelle s’installe avec sa kyrielle de pensées érotiques ou totalement contraires, pendant que Maître T attend dans sa voiture dans le parking de l’hôtel en regardant sa montre. A 17h30, il pénètre dans l’hôtel avec une petite valise à la main comme un commercial venant prendre sa chambre. Il saisit les chiffres du code à la porte qu’il pousse en espérant trouver sa soumise comme il lui a ordonné. Lorsqu’il l’aperçoit totalement offert, un sentiment de fierté le submerge, sa soumise lui a vraiment fait confiance et a réussi cette épreuve.

Clara a entendu le bruit de la porte malgré la cagoule, il le sait et, pour rajouter encore de la pression psychologique à sa soumise, il sort et entre encore deux fois pour qu’elle imagine qu’ils sont trois. Pour tromper encore plus les sens de Clara, il s’est acheté des cigares, l’odeur dégagée va lui faire penser que c’est vraiment quelqu’un d’autre, Maître T ne fume pas le cigare. Sa main flatte soudain assez rudement l’intimité offerte avant de la fouiller sans douceur pendant que de sa main droite gantée, il caresse les fesses offertes.

Elle sait qu’ils sont trois, elle n’aime pas les attouchements des deux hommes qui lui semblent brutaux. Les mains l’abandonnent, Clara ne sait si elle doit s’en réjouir ou avoir peur, de toute façon, ils vont la baiser c’est sûr. Pourvu qu’il ne fassent que ça. Lorsque le martinet s’abat sur son sexe offert, elle bondit dans ses entraves mais il est trop tard maintenant pour fuir. Sous la douleur plus imaginaire qu’autre chose, les coups étant de simples caresses, elle se tord pour les esquiver. Maître T ne se prive pas de ses déhanchements terriblement sensuels et en rajoute encore allant de son sexe à ses fesses.

Bien décidé à faire durer le plaisir, il ouvre son pantalon, passe deux préservatifs l’un sur l’autre avant de se positionner derrière « la chienne offerte » pour la posséder cash sans plus de précautions. Hormis tirer dans ses entraves pour fuir la pénétration sauvage, Clara de peut rien faire, l’homme la tient par les hanches et se sert sur la bête. Maître T se retire au bout d’un moment avant d’entreprendre de lui tanner les fesses à grand coup de martinet. Le charmant fessier prend de la couleur, les cris étouffés sortant de la cagoule laissent à penser que la raclée qu’il lui donne avec un martinet en latex qui ne fait absolument pas mal, est vraiment vécue comme une agression.

Pour la posséder une seconde fois en trompant « l’ennemie », il retire son pantalon pour que le contact de ses jambes nues lui laisse à penser que c’est un autre homme qui va la prendre. Le contact d’un doigt chargé de lubrifiant la fait bondir, elle essaye de le fuir mais il la tient et force son anus. Clara ne s’est jamais aussi sentie offerte, possédée, abusée. Maître T passe la ceinture de son pantalon atour de la taille de la chienne offerte, pour l’empêcher de fuir d’une main, pendant que de l’autre il guide son sexe et commence à forcer le petit orifice étoilé. N’étant plus vierge de ce côté-là, la pénétration n’est pas trop difficile à vivre, mais le mouvement de va et vient sauvage qui s’en suit est plus hard à vivre, même pour une adepte de la sodomie.

Encore une fois, il se bloque en elle un instant, comme s’il avait jouis, puis se retire en claquant les fesses offertes. Maître T retire les préservatifs puis vient prendre place derrière sa soumise qu’il pénètre cette fois avec douceur. Après quelques mouvements en elle, il fait une pose pour ouvrir les sangles de la cagoule de Clara.

Tout en la baisant avec douceur, il fait tomber la cagoule, mais Clara n’ose pas ouvrir les yeux et se laisse prendre n’ayant pas d’autre choix que de subir.

- Alors petite chienne, on s’éclate ! Lui demande Maître T

Reconnaissant la voix de son Maître, elle ouvre aussitôt les yeux et découvre qu’ils ne sont que deux. Un véritable sentiment de soulagement l’envahit, cette fois elle ne subit plus la verge, elle s’y offre totalement, même quand elle change de destination avant de la conduire à une jouissance paroxystique. Maître T lui retire son bâillon puis, sans la délivrer va s’asseoir devant sa soumise.

- Au travail ma chienne ! Lui ordonne Maître T en s’adossant au mur.

Ecrivaillon
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mardi 26 novembre 2013

L’éducation anglaise, mon équilibre

L’éducation anglaise, mon équilibre

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
spank me fessée éducation anglaise

L’éducation anglaise est mon équilibre, ne me traitez pas de folle mais lisez plutôt ce récit car je vais partager avec vous mon bonheur, mes douleurs, mes peines mais également mes plaisirs les plus intimes. Je prie pour que mon mari ne lise pas ce récit, quoi que….

La fessée m’a toujours fascinée, ce ne sont pas les rares que j’ai prises dans ma petite enfance qui en sont la cause, non, ce sont plutôt les livres et internet, surtout Fessestivites, où j’ai puisé tellement de chose que c’est la faute et grâce à ce site diabolique si aujourd’hui je suis heureuse.

Pour commencer à introduire la discipline domestique dans mon couple, j’ai souvent provoqué mon mari en lui disant que « je mériterai une bonne fessée ». Lui ayant déjà parlé de la fessée pour nos jeux érotiques, chose qui ne l’attirait pas du tout, comme il ne me la donnait jamais j’ai souvent poussé le bouchon très loin, au point de le mettre en colère. La première fois qu’il m’a fessée, je l’avais franchement énervé, et pour le pousser encore plus loin (je suis folle) je l’ai relancé sur la fessée en lui disant que cela calmerait sûrement sa petite femme. Comme il était vraiment furieux après moi, il m’a répondu en m’attirant sur ses genoux « s’il n’y a que ça pour te calmer » pour me donner quelques claques sur les fesses quand même très appuyées par-dessus ma culotte.

Après cette fessée, il était très gêné d’avoir cédé à ce qu’il appelait début 2012 de la violence conjugale. Je l’ai remercié et embrassé avant de m’agenouiller à ses pieds pour poser ma tête sur ses genoux. Après cette première fessée j’ai été adorable, chatte coquine, câline et comme cela l’a excité, je lui ai fait une gâterie d’Amour. Une gâterie d’amour car j’étais heureuse d’avoir pris la fessée imaginée lors de mes « activités solitaires »……

C’EST LE PREMIER PAS QUI COUTE

Lorsque tout penaud il m’en a reparlé le lendemain, je lui ai rappelé que je la méritais en lui expliquant que comme beaucoup de femmes, je ne prenais pas cela comme de la violence mais comme un geste d’amour. Je lui ai conseillé d’aller lire quelques articles et récit sur internet mais il était encore réticent, et là, en grande folle, j’ai vidé mon café sur son pantalon en lui adressant des bisous avant de m’enfuir dans le salon. Comprenant que je le provoquais, il m’a crié en courant après moi « ah tu veux une fessée tu vas être servie ». Si la fessée de la veille était impulsive, celle là était posée. Il a commencé par relever ma jupe avant de baisser ma culotte jusqu’à mes genoux ce qui déjà m’émoustillais de par cette position tant de fois fantasmée. Il n’y est pas allé de main morte, j’ai pris une fessée assez sérieuse mais je n’ai rien dit en serrant les dents pour ne pas crier. Après cette fessée, je l’ai quasiment violé, son sexe dur et très tendu m’a faite décoller comme jamais auparavant.

Y prenant goût, monsieur s’est décidé à surfer sur l’éducation anglaise et la fessée. Cette période a finalement été pour lui une étape préparatoire et indispensable à la discipline domestique qu’il a fini par instaurer. On ne se fait pas d’un jour à l’autre à une conception de vie qui recourt aux châtiments corporels, il y a eu d’autres étapes et des négociations préalables, il fallait bien apprendre puis roder les mécanismes tant pour lui que pour moi car entre fantasme et réalité il y a un grand pas.

Mon souci, si je puis dire ainsi, est qu’il y a pris goût ! Si pour moi les fautes étaient comme des éléments de jeu, pour lui c’est rapidement devenu un mode de vie qui va beaucoup plus loin que la simple satisfaction de mes sens coquins. Il a décidé un jour d’entreprendre mon éducation en listant des choses qu’il ne voulait plus à la maison et en sanctionnant systématiquement mes fautes par des punitions.

Aujourd’hui les choses ont changé en moi, quand je commets une faute j’ai tout de suite mauvaise conscience, un peu comme si je trahissais les conventions du couple mais mon besoin de punition pour faute est devenue une forme d’automatisme au point que je les lui avoue quand il arrive le soir à la maison.

Il a eu de « bonnes mauvaises » lectures ou de « mauvais bons » conseils très spécialisés qu’il a su adapter à ses envies et à mon comportement de rebelle.

Il y a environ trois mois, quand il est entrée à la maison avec un long paquet sous le bras, il a commencé par me demander si je n’avais rien à lui dire. Au départ, je n’ai pas compris où il voulait en venir mais quand il m’a demandé mon paquet de cigarette, j’ai compris. En le lui tendant, je ressemblais à une ado prise en faute. Je tordais mes mains moites dans mon dos en gardant la tête baissée en sachant pertinemment que j’avais trop fumé. Mon mari tournait autour de moi dans la cuisine en me demandant si j’étais fière de moi et si finalement, ce n’était pas de la provocation. Pour une fois, cela n’en était pas une mais je savais qu’il avait raison, je fumais trop.

Il m’a dit à peu près ça, je m’en souvient comme si c’était hier : « Le contenu de ce colis, je l’ai acheté pour toi dans la boutique partenaire du site que tu m’as conseillé, tu sais, festivités machin, à oui, fessestivites, alors ce soir, tu vas être punie comme il se doit. Va dans le salon, baisse ta culotte et penche-toi en avant par-dessus le fauteuil. Médite avant que je vienne de donner la punition que tu mérites ».

Je n’ai pas demandé mon reste en faisant comme il me le demandait et pour la première fois j’avais peur. Ne sachant pas le contenu du paquet, la peur de l’inconnu me minait. Les minutes passées fesses à l’air penchée en avant sur le fauteuil m’ont paru des heures. Pour la première fois j’ai eu honte, non pas qu’il voit mes fesses, mais parce que là je devenais réellement la femme soumise de mes fantasmes. La gorge serrée, j’attendais avec la peur au ventre et quand j’ai entendu ses pas j’ai voulu regarder mais il m’a rappelée à l’ordre immédiatement en tenant des choses dans son dos que je n’ai pas pu voir.

Il a fait le tour du fauteuil puis a posé deux bracelets sur mes poignets avant de les attacher avec une corde aux pieds du fauteuil. Etre attachée m’a excitée tout autant qu’inquiétée car quand mon mari décide quelque chose, il va toujours jusqu’au bout. Des sifflements dans l’air m’ont glacé le sang, j’ai tourné la tête et j’ai vu. J’ai vu une canne anglaise comme sur le net et dans mes rêves coquins. Dix secondes plus tard, un trait de feu embrassait mes fesses. J’ai serré les poignets et les dents pour ne pas crier, le second m’a surprise autant que le premier avec la sensation d’une décharge électrique traversant mon corps des fesses à mon dos. Il m’a indiqué que je devais compter les coups à haute voix et que mes manquements pour la cigarette seraient sanctionnés par dix coups de canne, nombre qui serait multiplié par deux à chaque fois.

J’ai reçu ce soir là mes dix premiers coups de canne anglaise très appuyés plus les deux non comptés. A la fin, mes yeux coulaient mais il ne l’a pas vu car une fois terminé, il m’a laissée plantée là pour que je médite. « Ouf, tu en voulais, tu es servie » ai-je pensée en me maudissant. Un quart d’heure plus tard, il est venu soigner mes fesses avec de l’arnica, sa main sur mon fessier m’a consolée, comblée en me faisant oublier la douleur ressentie. Lorsqu’il m’a libérée, je me suis blottie dans ses bras et j’ai pleurée tout en l’embrassant.

Je l’ai sentie à la fois désolé et fier, fier d’y être arrivé, d’être arrivé à me punir réellement et désolé d’avoir eu à le faire.

Depuis ce jour là, si je suis particulièrement « chiante » ou suivant ma faute, je dois me mettre toute nue au garde à vous devant monsieur. Il m’impose même de lui apporter la canne anglaise, le martinet ou autre instrument selon un rituel bien rodé avant de m’installer sur le fauteuil.

Mes larmes ne l’émeuvent plus, il s’y est habitué mais à chaque fois qu’il juge bon de me punir, je considère mes punitions comme une preuve d’amour et d’attention.

Pourquoi est-ce que j’accepte tout ça. Parce que j’y trouve mon compte, je l’ai voulu et je l’ai même si cela semble difficilement compréhensible. Cette discipline domestique me rassure en quelque sorte de par les cadres qu’il m’impose, ce plaisir bizarre que j’éprouve dans la honte et dans la douleur quand elle n’est pas trop forte. Cela peut sembler difficilement compréhensible mais cette éducation anglaise est mon équilibre.

La meilleure des sensations pour moi est quand je suis étendue sur ses genoux et que mon homme baisse ma culotte. Pourquoi ? Tout y est en même temps, le geste, la chaleur de son corps, l’humiliation de la vilaine fille que je suis, la douleur et souvent les caresses qui suivent……..

Ecrivaillon
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vendredi 22 novembre 2013

BDSM

BDSM

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

BDSM
BDSM quand on essaye
BDSM quand on essaye et que l’on t’aime
BDSM quand cela devient un but dans la vie
bdsm
Le BDSM a toujours titillé mes neurones mais ce n’était qu’un fantasme. En cachette de mon mari, bien trop réservé et pudique, sur internet j’ai trouvé de quoi alimenter ma libido, comment lui dire que j’avais de folles envies ?

Comment dire à un suppléant du curé du village que l’on a envie d’être fessée, fouettée, attachée et prise de force par des hommes assoiffés de sexe sous les yeux d’un Maître prenant plaisir à m’humilier ?

Sans enfant pour cause de stérilité masculine, ma vie de femme avec Jean de 20 ans mon aîné n’était qu’ennuie. Le seigneur l’a rappelé à lui il y a 3 ans, mon deuil affectif n’a pas duré très longtemps. Quand je me suis inscrite sur Fessestivites, j’ai eu beaucoup de chance, une modératrice a guidé mes pas sur le site et dans le monde des rencontres, puis, a accepté d’être ma tutrice lors d’un pique-nique de rencontre organisé par le site. Ce week-end là, j’ai goûté au BDSM, j’ai goûté à la soumission, les personnes présentes étaient heureuses, s’amusaient sans prise de tête, personne n’avait l’air méchant.

Le fait d’être à l’opposé des clichés des donjons rouges et noirs m’a permis de faire mes premiers pas dans ce monde. Ma première fessée d’adulte fesses à l’air devant tout le monde parce que j’avais renversé mon verre, a généré en moi des envies d’aller encore plus loin. J’ai même goûté au fouet avec les mains attachées au-dessus de ma tête sous l’arbre nous ayant ombragé pendant le repas. Si j’étais attachée, je n’avais qu’un mot à dire pour que tout s’arrête, ils avaient été très clairs sur ce point. Intégralement nue, je tirais sur mes bracelets pendant que le fouet mordait ma peau et électrisait mes sens. Tout a été fait en douceur, sans violence pour me donner envie à travers ce week-end de découverte appelé « L’école du BDSM ».

Une femme soumise ronde et aux formes généreuses a lors de ce week-end vécu quelque chose qui m’a énormément impressionnée. Après avoir été fortement fouetté, attachée nue sur une table basse, elle a vécu ce qu’il appelle la jouissance forcée. Ses hurlements d’une puissance étonnante m’ont glacé le sang ! Quand je me suis décidé à entrer dans la maison pour voir ce qu’il se passait, ils étaient en train de la libérer, elle était heureuse et comblée. Pour une femme comme moi qui n’avait jamais connu la jouissance, entendre et voir ça m’a donné des envies monstrueuses.

A partir de ce jour là, j’ai décidé d’entrer dans le BDSM, il me fallait un Maître, un vrai Maître qui m’apprenne tout et me fasse vivre tout ça. Soumis Sacherm avec qui j’avais beaucoup discuté, m’a aidé à trouver mon Maître en me guidant pour trier un peu et décoder les très nombreux messages que je recevais. Merci Sacherm de ta gentillesse.

Maître T m’a reçue chez lui, j’avais une peur bleue car seule avec lui, c’était bien différent de ce pique-nique finalement très sécurisant. Il m’a posé un collier de chien autour du cou dès mon arrivée en m’expliquant que ce n’était pas un collier de soumise mais l’emblème de ma soumission et que si je désirai arrêter, je n’avais qu’à le retirer. Il a rajouté qu’en cas de souci, je n’avais qu’à dire le mot rouge, le mot de ma liberté même si j’étais attachée. Deux minutes après, j’étais couchée sur ses genoux et fessée comme une gamine. Sa fessée était douce au début, puis de plus en plus forte mais c’était bon, cela me faisait un peu mal mais qu’est-ce que c’était bon. Il m’a ensuite mise au coin comme une mauvaise élève avec ma jupe relevée, ma culotte sur les pieds et les mains derrière la tête. Je trouvais cela très humiliant mais en même temps j’étais très excitée.

Il m’avait prévenue que tout ce qu’il me ferait serait soft, son but était de me permettre de découvrir le monde BDSM, pas de m’en dégoûter. Après la fessée et le coin, il m’a ordonnée de me mettre intégralement nue et de me coucher à plat ventre sur la table. Après m’avoir bandé les yeux, il m’a fait de la bougie et du glaçon sur les fesses et le dos. J’ai crié plus d’une fois au début alors il m’a forcée à avouer que je n’avais pas mal, et il avait raison, j’avais juste peur. Les sensations du chaud et du froid se mélangeaient, c’était divin mais je me suis encore affolée quand la cire à commencé à couler entre me fesses. Sa voix grave et ses paroles apaisantes m’ont permis de surmonter cette épreuve et finalement d’y trouver beaucoup de plaisir. Heureusement que je n’ai pas vu le gros couteau qu’il a utilisé pour retirer la cire, sans quoi je me serais enfuie ! Quand la lame froide glissait sur ma peau pour retirer la bougie fondue, je planais sur un nuage, même quand il a écarté mes fesses pour retirer avec le couteau et ses doigts cette bougie coquine. Hormis mon gynécologue, personne n’avait encore vu mon cul d’aussi près.

J’ai eu envie de faire pipi, quoi de plus naturel me direz-vous, sauf que c’est Maître T et en BDSM, cela prend une connotation particulière, une soumise n’ayant pas le droit d’avoir d’intimité pour quelque chose d’aussi naturel. Il était face à moi et me regardait assise sur les toilettes. Je n’y arrivais pas, être regardée dans un moment pareil me bloquait. Il est resté d’un calme olympien et me souriait mais impossible d’y arriver. Il m’a abandonnée deux minutes en m’interdisant de bouger et de faire pipi en son absence pour aller chercher une serviette remplie de glaçons qu’il a posé sur mes cuisses contre mon ventre avant de prendre une chaise et de s’asseoir en face de moi. J’étais blême et lui follement amusé. Entre ma grosse envie et le froid des glaçons puis les gouttes d’eau glacée collant contre les lèvres de mon sexe, j’ai fini par y parvenir. Une fois commencé, tout est parti très vite et sans plus aucune retenue, j’étais fière. Troublée, dans une position humiliante mais fière parce que je venais de parvenir « à vaincre un tabou » comme me l’avait expliqué Maître T.

Pour fêter ça, il m’a faite asseoir par terre à côté de la table basse sur une serviette et a ouvert une bouteille de champagne, après toutes les premières émotions vécues avec lui, les bulles ont achevé ma pudeur et mes réticences. Comme j’avais fermé la porte aux aiguilles, à l’uro et à la scato mais pas au sexe, lorsque nous sommes arrivés à la moitié de la bouteille, il a trempé son gland dans sa coupe de champagne et m’a ordonné de venir le sucer. Alors j’ai fait comme sur les photos et dans les films, c’était ma première fellation. La douceur de la peau de son sexe dur m’a follement excitée, j’avais déjà envie de lui en moi, envie d’être sa chose. Le plus naturellement du monde, je lui ai indiqué que j’avais envie de lui, sa réponse fut dès plus sadique : « cela se mérite » !

Nous avons achevé la bouteille de champagne, pendant qu’il m’expliquait ce qu’il allait faire. Son but était de me faire connaître la jouissance dans l’abandon total. Quand je lui ai demandé pourquoi il avait besoin de m’attacher, sa réponse m’a surprise : « c’est pour que tu te libères encore plus ». Je n’ai compris le sens de ses mots qu’une fois entravée nue bras et jambes en croix sur son lit quand il s’est attaqué à mon sexe avec un gode vibrant et un truc vibrant diabolique pour mon clitoris. Ma retenue s’est envolée en même temps que je tirais comme une folle sur les entraves. Ma première jouissance de femme a donc été une jouissance de femme soumise attachée. C’était divin, je me souviens lui avoir dit « attendre d’avoir 40 ans pour découvrir ça ….. »

Toujours aussi respectueux, il m’a demandé s’il pouvait me prendre, comment refuser ???????

Il n’a pas fait comme mon mari qui a été mon seul et unique homme, il ne s’est pas juste servi de moi comme réceptacle. Ce sadique s’est amusé à me rendre folle en jouant à la porte de mon sexe sans pour autant me prendre. Au bout d’un moment j’ai craqué en lui criant de me prendre, moi qui était si timide avant.

- On dit baiser, on dit acceptez de me baiser Maître j’ai envie de vous ! M’a indiqué Maître T avec un sourire sadique posé sur ses lèvres.

J’ai dit ce qu’il désirait et les mots crus qui ne sont pas de mon vocabulaire, j’avais trop envie de lui. Ce fut divin d’être sa chose et horrible de ne pas pouvoir le serrer dans mes bras. En luttant dans les entraves pendant son va et vient soutenu je me suis effectivement libérée, la femme s’est libérée pour oublier la retenue, le mot « baiser » j’ai du le dire au moins 20 fois car j’avais l’impression que plus je le disais, plus il accélérait, plus c’était bon.

Quand tout c’est arrêté, j’étais morte de fatigue mais sur une autre planète, la planète nommée « bonheur ». J’étais si heureuse que je me suis mise à pleurer en me lovant dans ses bras et en serrant fort contre moi une fois libérée.

BDSM avec toi et Maître T, j’ai découvert la vie, le plaisir, la jouissance, ma vie vient de prendre un virage à 180°, je suis maintenant la soumise de Maître T et heureuse de l’être.

Ecrivaillon

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jeudi 21 novembre 2013

Rendez-vous avec la canne anglaise en webcam

Rendez-vous avec la canne anglaise en webcam

Canning en direct sur le salon BDSM du chat Fessestivites
Vendredi 22 novembre à 21 heures
Ce canning réel sera suivi d'un débat autour de l'éducation anglaise
A très bientôt sur Fessestivites pour les adeptes de la fessée à la canne
BDSM webcam fessée

Le chat de Fessestivites.com

http://www.fessestivites.com/fre/chat.html

mercredi 20 novembre 2013

Séance photos ABDL glamour en webcam Mercredi 20 nov à 21h en chat salon ABDL

Séance photos ABDL glamour en webcam Mercredi 20 nov à 21h en chat salon ABDL

Ce mercredi 20 novembre à 21h en chat salon ABDL une séance photos ABDL sexy glamour sera partagée en webcam.
Elle sera suivie d'un débat sur les photos pendant lequel vous pourrez également participer.

Chat webcam ABDL couche diaper

Rendez-vous au salon du chat ABDL

mardi 19 novembre 2013

Centre de redressement pour jeunes filles

Centre de redressement pour jeunes filles



Résumé : les mésaventures d’une jeune fille dans un centre particulier faisant appel à la fessée, l’humiliation, les couches, les punitions mais avec un directeur inhumain qui est un violeur et dresseur de femme soumise pour une organisation secrète.

Attention c’est assez hard comme histoire érotique
………………………

Devant la croissance édifiante de la délinquance des jeunes filles, la justice à créé un centre de redressement pour jeune filles majeures qui sort complètement de la déclaration universelle des droits de l’homme adoptée le 10 décembre 1948 par les 58 Etats.

Le but de ce centre est aussi d’éviter aux jeunes filles la prison et, grâce aux rumeurs extérieures, de dissuader les adolescentes.

Le jour de ses 18 ans, Laurie est partie de chez ses parents pour aller vivre « sa vie » avec un mec pourri qui la balade en jouant avec ses sentiments. Cela fait trois fois qu’elle se fait piéger à voler pour lui dans des magasins mais la dernière fut celle de trop. Pour essayer de fuir, elle a essayé d’assommer le vigile qui lui tournait le dos dans son bureau avec le ventilateur avant de prendre ses jambes à son cou dans le magasin. La pauvre mamie marchant avec une canne se trouvant sur son chemin fut littéralement projetée dans un caddy. Voyant qu’elle ne s’arrêtait pas pour s’excuser et l’aider à se relever, avec sa corpulence de rugbyman Tony furieux d’un tel manque de respect l’a attrapée et conduite par les cheveux jusqu’à la personne âgée étalée sur le sol. La suite est simple, police, pompier et direction le commissariat.

Le vigile étant grièvement blessé au cou et la mamie dans un piètre état, Laurie est conduite devant le juge du nouveau tribunal de proximité. Et là, au lieu de jouer profil bas, la rebelle insulte le juge et donne des coups de pieds à l’agent essayant de la modérer. Dégoûté, l’avocat commis d’office plaide par principe et sans grande conviction.

- Mademoiselle, vous êtes une récidiviste dangereuse, devant vos agissements, votre attitude aussi honteuse qu’irrespectueuse je vous condamne à six mois de centre de redressement à cause de votre jeune âge, mais vous mériteriez cinq ans de prison. Votre incarcération est immédiate. Affaire suivante ! Déclare le juge.

………………………

A son arrivée au centre de redressement des jeunes filles, Laurie est conduite au bureau des entrées où on lui demande de se dévêtir pour y être auscultée par le médecin. Se mettre nue devant deux gardiens n’est pas du goût de la jeune rebelle prête à se battre. En ces lieux, les lois sont bien différentes de l’extérieur et on apprécie de pouvoir rentrer dans le vif du sujet du côté des gardiens. Deux monumentales gifles plus tard dont une lui est rendue par le mur, Laurie en larme est attrapée par les cheveux, ses vêtements sont quasiment arrachés. Le médecin l’ausculte, lui fait une prise de sang servant également pour le test HIV, lui pose quelques questions avant de valider son entrée sans évidement mentionner les marques sur son visage. Sans même lui demander sa taille, l’habilleuse dans la salle suivante lui donne un soutien gorge, une culotte type écolière, une jupe courte puis un tee-shirt et des ballerines usagées en guise de chaussures.

Conduite nue dans les couloirs jusqu’à une cellule d’isolement, Laurie rumine sa rage mais n’en mène pas large. L’ennuie ne l’aide pas à se calmer, elle est convaincue d’être assez maligne pour pouvoir s’évader. Lorsque l’on vient la chercher six heures plus tard, c’est pour la conduire à la douche avec les autres détenues. La pièce froide et vétuste n’a pas de douche ni de porte, les murs sont carrelés il y a des trous dans le sol pour l’écoulement de l’eau. Laurie se déshabille et comme les autres filles pose ses vêtements sur un banc de béton. Une d’entre elles, passe avec un seau contenant des morceaux de savon cubique, comme les autres filles elle en prend un sans trop comprendre ce qu’il l’attend. Un gardien arrive avec un long tuyau qu’il branche au mur en hurlant : « en position ». Les filles se mettent face au mur, Laurie fait comme elles, ici on n’a pas le droit de parler. Le gardien ouvre l’eau et les arrose copieusement, coupe l’eau, crie « tournez-vous » et recommence en s’amusant à diriger le puissant jet sur leur visage ou ce qui fait d’elles des femmes.

- On se savonne ! Hurle le gardien. Et n’oubliez pas vos chattes, ici les filles sont propres.

Le rinçage se fait au jet avec une particularité qui n’est pas du goût de Laurie. Elles doivent se mettre en ligne et se pencher en avant pour montrer leur cul. Laurie refuse en criant qu’elles ne sont pas des bêtes, en guise de discutions, le gardien rince les fesses des filles sans s’occuper de la rebelle. Plaquée contre un mur par le cou, Laurie voit les filles passer une après l’autre dans un immense séchoir, se rhabiller et quitter la salle en rand comme des écolières.

- Alors comme ça tu veux jouer les rebelles ? Lui dit le gardien la maintenant toujours par le cou. Alors c’est très bien, on va s’amuser.

Attrapée manu militari, elle est entraînée dans une salle où se trouve une énorme croix horizontale positionnée à un mètre du sol. Portée et entravée bras et jambes en croix, même morte de peur, Laurie les insulte. Insensible à ses insultes, ils finissent de refermer les bracelets de ses membres puis prennent du recul. L’un d’eux prend le tuyau accroché au mur, ouvre l’eau et le dirige directement sur son intimité. Le froid comme la puissance du jet la font hurler. Elle se débat mais ne peut échapper au puissant jet lui donnant l’impression que son sexe brûle. Le vice des gardiens ici est sans limite, l’un d’eux s’approche d’elle avec une énorme seringue munie d’un embout de la taille d’un pouce.

- On va te laver le cul en profondeur salope, la prochaine fois qu’on te demandera de monter tes fesses, tu le feras sans discuter ! Lui dit le gardien en insérant la canule de la seringue sans plus de précaution dans son trou du cul.

Laurie hurle de douleur et de rage autant que de honte, quand le gardien commence à lui remplir les intestins pendant que deux autres s’amusent avec ses tétons qu’ils appellent des « mamelles ». Elle les traite « d’enculés » en se débattant, puis, quand ils écrasent ses « mamelles » comme des fous entre leurs doigts, les supplie entre deux cris d’agonie. Le lavement se reproduit trois fois, l’eau injectée dans son colon gicle entre ses jambes. Se faire dessus comme ça, la couvre de honte, le désespoir remplace la rage, l’envie de mourir pour ne plus vivre ça la submerge.

Comble de l’ignominie, quand ils libèrent la loque humaine qu’elle est devenue, ils lui posent une couche en lui indiquant que c’est pour qu’elle ne laisse pas des traces dans les couloirs. Brisée, Laurie de répond pas, elle s’habille et les suit dans les couloirs. Dans ses yeux brouillés par les larmes, les murs et les portes défilent sans qu’elle n’y prête attention. A l’entrée du réfectoire silencieux, tous les regards se portent vers elle. Quand le gardien la pousse vers le service, elle rétorque qu’elle n’a pas faim.

- On s’en tape que tu ais faim ou pas, prend un plateau et à manger et va t’asseoir où tu vas morfler.

Mortifiée, assise devant son plateau entre deux autres détenues, Laurie sent que cela coule entre ses fesses, son colon restitue les restes du lavement. Ce n’est plus que de l’eau mais elle ne peut le savoir et pleure toutes les larmes de son corps. Les filles ne disent rien, seuls leurs yeux compatissants l’accompagnent dans son désespoir. Les premiers jours ici, sont un véritable enfer, la pauvre n’en est qu’à ses débuts.

……………….

Le coucher des filles est un moment très particulier au centre, apprécié par certain détesté par les détenus. En quittant le réfectoire, les filles sont conduites en rand dans d’immenses chambres collectives. Le passage par les toilettes sans porte ni mur de séparation est obligatoire, la pudeur est mise à mal, il faut un peu de temps pour parvenir à faire ses besoins. Brisée Laurie baisse sa couche finalement pas très salle et s’assoie machinalement mais rien ne vient, elle est bloquée. Elle est autorisée à jeter sa couche avant de rejoindre le rand de celles qui ont fait et attendent que les autres fassent. La tête basse comme des condamnées, les filles se mettent en route, Laurie est affectée à la chambre six.

Sous le regard des gardiens, elles se dévêtissent pour enfiler une chemise de nuit en coton gris avant de se mettre debout aux pieds de leur lit. Un gardien distribue des couches à celles qui en veulent puis ordonnent de se coucher. En guise de télévision et d’internet, les gardiens leur passent une chaîne soudée au lit autour du cou, les entraver comme des bêtes leur permet d’éviter des bagarres sanglantes et les amours saphiques. Outre la sécurité, ce dispositif permet surtout de limiter le personnel pénitentiaire la nuit et d’augmenter la capacité d’accueil au moindre frais.

Laurie n’a pas de chance

Laurie n’a pas de chance, elle est très jolie, son corps bien proportionné a toujours attiré les regards et en ces lieux ce n’est pas un cadeau. Elle est mince, svelte, son corps n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse peu accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau est tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées. Son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs, pétillants d’intelligence bordée de magnifiques cheveux châtains-blonds, ondulant jusqu’aux épaules s’envolant à chaque mouvement de tête. Sa poitrine presque volumineuse avec ses seins bien ronds suscite toutes les convoitises.

Le matin, après les toilettes collectives et la douche toujours aussi cruelle, les gardiens l’isolent du groupe en lui indiquant qu’elle va être transférée pour son dossier. Une lueur d’espoir anime Laurie qui se laisse mettre les fers aux pieds comme les bagnards puis les menottes dans le dos. Conduite à travers un dédale de portes et de couloirs à travers l’établissement, Laurie est conduite au directeur prévenu de l’arrivée d’une poupée saine son test HIV étant négatif. Dès son entrée dans le bureau, le directeur posant sur elle un regard de prédateur Laurie a un pressentiment très négatif et elle ne se trompe pas. Une fois seule avec lui, il s’approche d’elle avec un taiser à la main en lui expliquant que cet appareil permet de remplacer les armes des policiers. Le sien est réglable dans l’intensité, de la simple décharge de rappel, il peut délivrer une puissance telle qu’un bœuf s’écroule d’une simple décharge.

Il l’a guide délicatement en t’attrapant par les cheveux dans une salle qui lui glace le sang lorsqu’elle y pénètre. Le lit, le canapé, le bar, les chaînes et crochets dans le sol avec de grandes armoires contre le mur du fond lui font très peur. Elle refuse d’avancer mais avec les fers aux pieds et les mains menottées dans le dos, il est difficile de résister à la force d’un homme décidé. Conduite au centre de la pièce manu militari, le directeur passe un crochet dans ses menottes et l’abandonne un instant pour aller chercher une télécommande. Face à sa proie, avec un sourire carnassier posé sur les lèvres, il appuie sur le bouton de la télécommande. Le crochet fixé aux menottes dans son dos remonte lentement vers le plafond obligeant Laurie à se pencher en avant. Le directeur dès plus sadique se nourrie de la peur qu’il lit sur le visage de cette magnifique poupée rebelle qu’il va dresser à sa manière.

La télécommande jetée sur le canapé, le directeur s’approche d’elle pour entreprendre de lui malaxer les seins. Entravée dans la position où elle est, hormis râler et insulter elle ne peut rien faire pour fuir les horribles attouchements annonciateur d’idées encore bien plus sadiques et perverses. Laurie a compris et ne peut accepter ce qu’il va lui arriver, la rage la pousse à essayer de mordre mais, rusé et habitué aux rebelles, le directeur esquive le coup de dents qui lui était destiné. Le teaser à la main, il s’approche d’elle et malgré ses « non » désespérés lui délivre une décharge si forte qu’elle bondit et hurle sa douleur.

- Il n’est qu’en position un, je te laisse imaginer en position dix sur ta chatte…. Lui indique le directeur avec un sourire sadique comme s’il espérait qu’elle se rebelle encore.

Le teaser en main, il entreprend de flatter ses fesses exposées en lui ordonnant de ne pas bouger si non….. Ce contact la rend folle de rage puis de désespoir quand la main vicelarde entreprend de passer devant pour plonger entre ses cuisses et tripoter sa féminité qu’elle essaie de protéger en serrant les cuisses. Laurie pleure et supplie maintenant et desserre même les cuisses quand il pose son teaser sur sa joue trempée de larmes.

- Ne pleure pas, dans un moment si tu es bien sage, tu vas connaître des jouissances si folles et intenses que tu rêveras de revenir me voir. Voyons voir les trésors que tu caches sous ces horribles vêtements. Murmure le directeur à son oreille entre entreprenant de baisser sa culotte qu’il fait glisser jusqu’à ses pieds.

Quand sa main se pose sous sa jupe sur sa croupe offerte Laurie frémit de la tête aux pieds et plus encore quand un doigt malin s’insinue lentement dans sa raie des fesses pour venir tâter puis forcer son petit orifice interdit en lui arrachant un gémissement de douleur.

- Là tu es trop serrée, j’ai programme adapté pour toi, ne t’inquiète pas.

Le doigt fouineur s’arrache de l’étroit passage pour venir maintenant explorer sa plus tendre intimité qu’il trouve déjà bien ouvert pour une fille de 18 ans. Il l’abandonne un instant pour aller chercher des ciseaux de couturière, à son approche elle claque des dents de peur, l’angoisse serre sa gorge à l’étouffer lorsqu’il se met à découper ses vêtements. Intégralement nue, hormis sa culotte tombée sur les fers qu’elle porte toujours aux pieds, il savoure des yeux son corps, un pur chef d’œuvre de la mère nature. Il passe derrière elle et se plaque contre ses fesses comme s’il allait la prendre en malaxant ses seins généreux d’une rare fermeté pour ce volume. Entre elle et son violeur, le pantalon et le slip du directeur ne sont qu’un maigre rempart de protection, sur lequel elle n’a aucune confiance.

Il l’abandonne un instant pour aller ouvrir les grandes armoires, leur contenu affole encore Laurie, il ressemble à la fois à celui un sex-shop et celui d’une véritable salle de torture. Il y choisit des pinces à sein reliées par une chaînette puis un gros martinet fait de longues et épaisses lanières de cuir noir.

- Une fille est bien meilleure quand elle a un peu souffert avant ! Lui indique le directeur en s’agenouillant sous sa poitrine pour poser les pinces sur les délicats ergots roses et fragiles.

La morsure immédiate des pinces la fait gémir et pire encore lorsqu’il entreprend de lester la chaînette avec un poids de 300 grammes. Les lanières du martinet ne tardent pas à s’abattre sur son magnifique fessier offert à sa gourmandise. Laurie crie alors que les coups ne sont pas réellement portés.

- Ne crie pas tout de suite, tu as tout ton temps. Clame haut et fort le directeur en abattant un coup nettement plus appuyé la faisant ruer de douleur, ruade innocente se répercutant aussitôt sur le poids accroché à la chaînette de ses pinces à sein. Cruel dilemme n’est-ce pas ma belle que de souffrir sans bouger pour ne pas augmenter ses souffrances……

La valse des lanières tantôt sur ses cuisses, tantôt sur son dos, tantôt sur ses fesses génère un lot de douleurs telles qu’elle en arrive à espérer qu’il la viole rapidement pour que cela se termine. Son corps commence à rougir de partout, son beau visage n’est plus beau, il est trempé de larmes avec des signes de contractions musculaires dues à la souffrance endurée.

- Allez, on arrête pour cette fois, veux-tu que je te retire les pinces à sein ?

Laurie répond « oui » et rajoute même « s’il vous plait » et là, dans un pur sadisme il lui demande s’il doit les retirer rapidement ou doucement. Etant inculte en SM et en pinces à sein, elle répond « rapidement » sans savoir qu’au plus c’est rapide au plus c’est douloureux. Elle se met à hurler quand l’afflux sanguin se fait rapidement dans ses tétons écrasés reprenant leur forme initiale. Tu aurais du me répondre : « c’est vous qui décidez Monsieur » cela aurait été moins douloureux.

D’un naturel posé, organisé et soigneux, le directeur retire son pantalon qu’il plie et pose sur le canapé avant de retirer son slip rangé avec les mêmes précautions avant de s’approcher de Laurie dont le cœur bât la chamade. Le sexe bandé fouille entre ses fesses pour le plaisir de générer la peur de la sodomie de la jeune pucelle du cul avant de venir s’enfoncer d’un seul coup dans sa vallée intime sèche ce qui lui arrache un cri de bête que l’on égorge. Tenue par la taille en entravée, elle ne peut que subir l’outrage de ce sexe turgescent décidé à se servir de la bête qui lui est offerte. Forcée de subir, elle n’a qu’une hâte que cela se termine, mais d’un âge mur, le directeur sait prendre son temps. Les mouvements sont réguliers alternés de coups de rein parfois très profonds qui la font crier et s’essouffler. Comme il serait trop dangereux pour une première de se déverser dans sa bouche, il se retire pour éjaculer sur son dos en lui disant « qu’elle est une bonne salope qui ira loin ».

Brisée et dégoûtée, la vie dans le centre lui semble soudain bien plus douce Laurie espère maintenant pouvoir rejoindre les détenues pour fuir ce lieu maudis mais le directeur a d’autres intentions, la rendre folle. Au lieu de la libérer, il prépare du matériel et déroule une rallonge électrique avant de poser un pot sur son dos en lui indiquant qu’elle sera punie si elle le fait tomber. Il lui passe une ceinture et une corde pour attirer son corps vers l’arrière et une autre corde pour attire son corps vers l’avant. Les cordes attachées dans les crochets fixés au sol, elle ne peut ni avancer ni reculer ni même se mettre sur la pointe des pieds pour fuir l’horrible machination qu’il a prévu pour ravager son cerveau. Il prépare ensuite une machine à baiser sophistiquée, équipée de deux tiges sur lesquelles il fixe deux godes. Un tout petit pour l’anus de la pucelle du cul, un plus gros pour son sexe déjà bien accueillant. Laurie est horrifiée en voyant cela, son calvaire n’est donc pas fini.

D’un vice tel qu’il est toujours parvenu à faire craquer ses victimes, il ajoute un espèce de gros micro sur pied importé des Etats-Unis, c’est une pièce rare d’une très grande puissance. Avant de faire ses « réglages » il prend deux gros suppositoires de glycérine qu’il enfonce dans ses orifices avant d’y mettre le gel de gingembre de sa fabrication personnelle. Ultra dosé, ce gel chauffe rapidement les parois vaginales et anales, si bien que pour apaiser le feu couvant en elle, ses victimes sont comme assoiffée de sexe.

L’introduction des godes ne se fait pas sans jérémiades, surtout pour la petite rosette étoilée monstrueusement contractée, pour le moment… La machine callées et les godes en place, il lui reste à installer le gros micro vibrant qui vient prendre appuis sur le clitoris caché au fond de son écrin. Il n’est que dix heures, comme il a le temps, il programme sa machine à baiser pour une évolution progressive de la vitesse et met en route le gros vibro sur une vitesse lente, si ce n’est pas suffisant il viendra la régler plus tard.

Lorsque ses machines diaboliques sont mises en marche, le premier réflexe de Laurie est de hurler, elle hurle de peur pour l’instant mais il sait que dans un moment, la mélodie sera tout autre, surtout quand sa mixture de gingembre commencera à faire effet, ce qui ne devrait pas tarder.

- A tout à l’heure ma belle, amuse-toi bien et n’hésite pas à « chanter » ton plaisir, j’adore travailler avec cette douce mélodie.

Laurie ne peut que subir les mouvements alternés des deux godes forçant ses orifices puis les vibrations sur son clitoris sous les yeux amusés du directeur assis à son bureau dans la pièce à côté. Par la porte ouverte, il a le délicieux spectacle que lui offre sa magnifique victime.

- Comment peut-on avoir du plaisir quand on est torturée ? Vous êtes un malade. Crie Laurie en le voyant quitter les lieux.

Moins de deux minutes plus tard, le gingembre commence à faire son effet et à chauffer l’intimité agitée, si bien que lorsque la machine à baiser fait des pauses, elle en est à espérer qu’elle redémarre pour apaiser le feu couvant en elle. Le gros vibro sur son clitoris est diabolique, en d’autre temps elle apprécierait d’en avoir un chez elle, mais là, comment goûter ces agréables sensations à leur juste valeur ? Au bout d’un moment, la machine à baiser accélère, les gros suppositoires à la glycérine fondant progressivement, la lubrification est telle que les godes glissent en elle sans efforts pour les tendres parois. La machine à baiser accélère encore, les mouvements inversés du gode anal et du gode vaginal comment à méchamment chahuter son intimité et son clitoris à réagir.

Du plus profond de ses reins et de ses tripes, elle sent bien que quelque chose de sourd, de bon, de bizarre monte en elle. Elle ne peut concevoir de jouir, non ce n’est pas possible, pas ça pense t-elle, pas comme ça, c’est ignoble. La machine à baiser accélère encore, elle essaye de se mettre un peu sur la pointe des pieds pour diminuer les vibrations sur son clitoris mais c’est bien pire. Quand le micro l’effleure la vibration est telle qu’elle en a les lèvres intimes qui se mettent à trembler.

Il arrive doucement avec vice, elle le sent mais au plus elle essaie de lui résister, au plus il monte en elle. Sa tête devient chaude, sa respiration s’accélère, au bruit de la machine se joignent les clapotements d’une chatte chahutée trempée de plaisir. Laurie ne veut pas lui faire le plaisir de jouir, elle se mord la lèvre, son visage crispé affiche la lute sauvage se déroulant en elle jusqu’au moment ou elle est ravagée malgré elle par une jouissance diabolique. Diabolique car la machine à baiser ne s’arrête pas tout comme le gros vibro sur son clitoris.

Lorsqu’il l’entend crier, le directeur ferme les yeux pour mieux apprécier la sublime mélodie d’une femme terrassée par la jouissance. D’autres vagues orgasmiques aussi puissantes que des tsunamis ravagent la résistance de Laurie, elle n’est plus qu’un corps agité de spasmes aussi incontrôlables que diaboliques.

Tellement ravagée mentalement et physiquement, quand il vient libérer son intimité et la baiser à nouveau, Laurie ne réagit plus, son corps ne lui appartient plus, il appartient au plaisir charnel qu’elle ne contrôle plus. Pour la seconde fois il lui éjacule sur le dos avant de la décrocher pour l’étendre sur le sol. Par précaution, il ajoute des menottes à un des crochets pour qu’elle ne puisse s’enfuir puis lui pose un casque intégral de moto sur la tête.

Ce casque a été modifié, à l’intérieur pendant le temps du repas et de la sieste du directeur, il va diffuser en boucle une musique douce avec des paroles indiquant : « je suis la soumise sexuelle du directeur, je l’aime, je suis la chienne du directeur, je l’aime, le directeur est mon Maître, je l’aime». Littéralement épuisée à peine recouverte d’une couverture, Laurie s’endort avec un lavage de cerveau en guise de rêve de vie.

La suite est ici


vendredi 15 novembre 2013

BDSM strapon maitresse

BDSM strapon maitresse

Une rencontre particulièrement hard pour un soumis lors d'une rencontre Fessestivites.
Ili s'est offert à trois femmes déchaînées. Elles l'ont tellement défoncé (réel) qu'après être passé entyre leurs mains il lui fallait une couche pour ne pas fuir.....
La vidéo amateur de son après-midi est ici
http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/4081_Anal-destruction-pour-un-soumis-gode-par-trois-femmes-decidees.html
BDSM strapon maitresse
BDSM strapon maitresse
BDSM strapon maitresse
BDSM strapon maitresse
BDSM strapon maitresse

Les secrets de la chambre des filles

Les secrets de la chambre des filles

Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
Résumé
Entre mettre quelques instants érotiques des sous-vêtements féminin et être obligé d’en porter ainsi que des couches devant une dominatrice lesbienne aussi perverse que diabolique, il y a un monde. Un monde d’une grande cruauté et à rebondissements avec des nuits en couche sous bondage, des fessées et des tonnes de choses immorales qu’un étudiant à la FAC n’aurait jamais imaginé vivre avec ses cousines diaboliques.
féminisé humilié par deux lesbiennes
…………….

Cet été encore, nous nous sommes retrouvés en Bretagne dans l’immense maison familiale où chaque année la famille se retrouve depuis des lustres. L’ambiance est sympa, la plage est à deux pas, la ville n’est pas trop loin pour aller draguer, le top quand on est étudiant et sans fric comme moi. Pour cause de manque de place, mes deux cousines dorment dans la même chambre, cela ne leur pose pas de problème, elles sont déjà colocataires à Paris pour leurs études.

Un matin, la famille quitte la maison pour aller voir une exposition en ville, la peinture ne m’intéressant pas, je décline la proposition de les accompagner. Profitant d’être seul, je vais fouiner dans la chambre de mes cousines, je les sais très coquines et m’attends à des surprises. Un rapide coup d’œil dans la grande armoire ne m’offre pas de trésor féminin, tout au plus des jupes et chemisiers ou tee-shirt d’été. Lorsque je m’attaque à leur valise, ma libido déjà exacerbée prend un coup de pied dans l’échine. Sous les petites culottes que je prends plaisir à caresser, je découvre des dessous très coquins comme une culotte fendue et deux culottes en plastique avec deux couches rectangulaires assez grosses pour être de simples protections. Très attiré par les dessous féminins, je fais une très excitante séance d’essayage. Mon sexe au garde-à-vous dépasse des petites culottes dont la douceur m’enchante.

Le lit n’étant pas fait, je m’allonge dans leurs draps aux senteurs féminines avec sur moi une culotte en plastique rose. Mes mains sont attirées par mon sexe, ce qui devait arriver arriva, après quelques caresses plus intimes, je m’envole au paradis des plaisirs.

Deux filles superbes sont avec moi, l’une me caresse le corps pendant que l’autre me fait une gâterie quand soudain, un coup de sac dans la figure m’arrache de mes rêves. Mes cousines furieuses sont là avec leur téléphone portable à la main. Mes excuses les plus plates les font sourire, je sens l’embrouille grave.

- Enfoiré, tu n’as pas honte de fouiller dans les affaires des autres ? Me demande Julie.

- Les fouiller et les essayer tant qu’à faire. Tu es très beau en fille mes copines vont adorer ! Ajoute Laura en me faisant voir son téléphone portable.

- Tu vas commencer par tout ranger comme il faut et puisque tu es là, fais notre lit. M’ordonne Julie.

Dans la position où je suis, je ne peux qu’accéder à leurs demandes, si elles parlent, je vais être la honte de la famille. Forcé de restituer la culotte et de m’habiller devant elles, ma pudeur est mises à mal tout comme mon moral quand soudain, Julie m’arrête et me tend une culotte en m’ordonnant de la mettre. Devant mon refus, en me montrant son téléphone portable, Julie me demande si elles font voir les photos à l’apéro ou au dessert. Que répondre ? Que faire ? Rien, hormis céder à son caprice débile.

La culotte enfilée, elles me demandent de m’habiller, cette garce de Julie en profite pour faire d’autres photos qui ne me disent rien de bon. Une fois vêtu, je fais donc leur lit à la hâte avec comme objectif de fuir leur chambre mais encore une fois Julie m’arrête avant que je ne sorte.

- Regarde comme tu es belle ! Me dit-elle en me montrant son téléphone portable. Jusqu’à la fin des vacances, tu viendras faire notre lit et le ménage dans la chambre, sans quoi, tes vacances risquent d’être difficiles si tu vois ce que je veux dire.

- C’est du chantage, tu es ignoble.

- Oui, et fouiller les affaires des filles et les essayer avant de squatter leur lit pour te branler c’est quoi ? Un signe de chrétienté et de chasteté ?

- Ce n’est quand même pas pareil.

- Pour moi, c’est du pareil au même et puisque tu râles alors que nous pourrions te pourrir la vie aux yeux de toutes la famille voir plus, tous les soirs tu viendras chercher ma culotte sale que tu porteras le lendemain. Tu voulais les essayer, je vais t’en donner les moyens conard ! Sort de là avant que je m’énerve.

Mes 15 derniers jours de vacances furent un calvaire, mes cousines n’arrêtant pas de me prendre pour leur boy, de vérifier « mes dessous » et tenant presque tous les soirs à ce que j’enfile la culotte de Julie devant elles avant d’aller me coucher.

LA CATA !

Les arrangements familiaux sont parfois cruels ! Pour la rentrée scolaire, octobre pour moi, mes parents se sont arrangés avec ceux de mes cousines pour la colocation. Mes réfutations n’ont pas durée plus d’une minute, mon père m’ayant répondu : « on n’a pas de fric et on te paye tes études, alors si ça te plait pas tu vas à l’usine, je peux t’y faire rentrer lundi si tu veux ». Que répondre à cela ? Rien.

………………………

Le 30 septembre 2012, j’arrive donc chez mes cousines avec ma valise à roulette, mon sac à dos et mon ordinateur portable. La première chose que j’ai vue en arrivant, c'est moi avec une culotte de fille sur les fonds d’écran de leur ordinateur.

- Notre « larbine » est arrivé ! Crie Julie à Laura dans sa douche.

Je me suis révolté, j’ai même faillit la gifler, mais elle m’a cadré de suite cette salope.

- Ecoute conard, avant nous étions peinardes toutes les deux, maintenant il va falloir que l’on supporte une tante qui fouille dans nos affaires. Penses-tu que ta présente nous arrange ? Non, bien au contraire, tu viens polluer notre existence alors tu la fermes où je diffuse les photos de toi sur le site de la fac. Suis-je claire ?

Je suis vert de rage mais ne peux que répondre, « n’aller pas trop loin ou je vous étrangle ». Sur ces entre faits Julie me montre ma chambre et sort sans fermer la porte. Ma cousine Laura passe nue dans le couloir et me fait un petit coucou de la main. Heuuuuuu. Dix minutes plus tard, les filles m’appellent dans leur minuscule salon transformé en bureau.

- Je vais te planter le décor « larbine ». Me dit Julie. Nous sommes toutes les deux lesbiennes, tu comprends donc que la présence d’un mec chez nous nous faire carrément chier. Nous n’allons pas changer nos habitudes pour toi et vivre notre vie comme avant. La seule variable c’est que nous avons une bonne gratuite. Tu feras le ménage et la bouffe, si tu ne sais pas la faire on t’apprendra. Tu as intérêt à te faire discret si tu ne veux pas d’embrouille, sache que nous ne voulons pas de mec à la maison. Si tu veux voir un copain, c’est dehors ou chez lui. Comme on ne veut pas de mec à la maison, Laura t’a préparé une tenue.

Laura se lève de son bureau pour déposer sur la petite table du salon une culotte, un soutien-gorge et une robe noire avant de venir s’asseoir aux pieds de Julie.

- Il est hors de question que je m’habille avec ça ! Hurlais-je soudain.

- Déjà Larbine, tu vas nous parler sur un autre ton. Me répond Julie avec un calme qui me surprend. Sache que je suis une dominatrice et que si je te supporte c’est parce que mes parents ne m’ont pas laissé le choix. Soit tu fais ce que je t’ordonne, soit je vais faire de ta vie un enfer. Regarde mon ordi, je n’ai que trois clics à faire pour balancer les photos de toi sur le net. Non non, ne rêve pas, il est codé et j’ai les doubles sur mon téléphone portable puis sur celui de Laura et sur un disque dur externe. Va t’habiller et ne m’énerve pas sans quoi, cette cravache va t’aider à le faire. Me dit Julie en sortant une cravache de derrière le clic-clac

Les larmes dans les yeux, je quitte le salon avec les vêtements donnés par Laura. Arrivé dans ma chambre, je médite un instant sur tout ça. Mes cousines sont lesbiennes, Julie est dominatrice et elles veulent que je sois leur larbin sans quoi, je peux dire adieu à mes études sachant qu’en prime, mon père me tuerait s’il apprenait ! ! ! OUF …… .

Enfiler des sous-vêtements féminins dans le secret de ma chambre aurait tendance à générer des réactions physiques du côté de mon bas-ventre mais là, la chose est tout autre. Je me sens ridicule au possible, sortir de ma chambre me semble impossible. La cravache à la main, Julie pousse soudain la porte et m’attrape par l’oreille comme un gamin pour me conduire au minuscule salon. Laura est nue à quatre pattes, ses délicieuses fesses attirent mon regard mais Julie m’envoie aussitôt à la cuisine faire du café que je dois leur servir.

Dans le silence seulement troublé par la cafetière, mes neurones s’affolent. Où suis-je tombé ? Que m’arrive t-il ? Les trois cafés servis, je prends un plateau pour les emmener. Arrivé au salon, Laura est couchée sur les genoux de Julie qui m’ordonne d’attendre sans bouger et de rester silencieux. Sans tenir compte de ma présence, elle entreprend de lui donner une fessée sous mes yeux ébahis. La fessée dure un long moment, les fesses de Laura virent au rouge, ses jambes se soulèvent parfois, offrant sans pudeur à mon regard gourmand d’images son petit abricot aussi lisse qu’un nouveau né. La fessée de Laura terminée, elle s’installe aussitôt à ses pieds en la remerciant ! ! ! Julie vautrée sur le clic-clac m’ordonne de servir le café et de m’asseoir par terre pour le boire.

- Tu viens d’assister à une punition, si tu ne veux pas que je m’occupe de tes fesses, tu as intérêt à marcher droit ! Me dit Julie en me montrant du doigt.

Nous avons discuté pendant deux heures comme si de rien n’était, jusqu’au moment ou Laura m’a conduit à la cuisine pour faire le repas et me faire voir où sont les choses. La cuisine fut aussi vite préparée que consommé au salon dans la même position que pour le café : pâtes à la carbonara et raisins. Une fois consommé, Julie m’ordonne d’aller faire la vaisselle et de ranger la cuisine, chose que je fais bien volontiers en finissant par oublier ma tenue. Les choses se sont rapidement corsées quand j’ai rejoins les filles au salon ! Julie a tenu à venir vérifier mon travail, ce qui ne m’ennuyait pas outre mesure, sauf que pour elle, la vaisselle aurait du être essuyée et rangée.

- A ton prochain loupé, je te tanne le cul larbine ! Allez on va te coucher, c’est l’heure.

A 21h, je n’avais aucune envie d’aller me coucher mais je n’ai pas trop eu le choix avec Julie qui agitait sa cravache. La surprise est arrivée dans ma chambre avec Laura qui est entrée avec une couche à la main. Elle m’a aidé à me dévêtir puis m’a demandé de m’étendre sur le lit. Julie s’est agenouillée à la tête du lit pour y attraper quelque chose de métallique en m’ordonnant de lui donner mes mains. Au moment où je les lui tendais, j’ai aperçu des menottes, le temps que je réagisse, un de mes poignets étaient prisonnier du métal. J’ai essayé d’user de ma force pour ne pas lui donner le second, les trois violents coups de cravache qui sont tombés sur les cuisses m’ont convaincu de céder à sa demande……

Laura est montée à son tour sur le lit pour me mettre la couche pendant que Julie m’indiquait qu’il était hors de question que je trouve un prétexte pour me lever et les voir câliner. J’étais blême et vert de rage. Quand Laura très soumise m’a demandé de l’aider, comme Julie s’énervait après elle, j’ai soulevé mes fesses et l’ai laissée me mettre une énorme couche-culotte puis la fameuse culotte en plastique que j’avais essayé dans le secret de leur chambre. Avant de me recouvrir du drap, Julie a fait quelques photos avant de fermer la porte de la chambre.

Julie et Laura lesbiennes, la fessée à laquelle j’avais assisté, Julie dominatrice m’imposant de me féminiser et me faisant dormir en couche attaché à mon lit, tout cela me perturbait grandement. Dans un sens, j’étais révolté, dans l’autre, je découvrais en vrai un monde de domination soumission que je n’avais vu que sur le net et qui m’excitait. Le voir et fantasmer est bien, le vivre de force est autre chose.

Les cris de Laura à travers la fine cloison séparant ma chambre du salon, attirent mon attention. Que lui fait-elle pour qu’elle crie comme ça ? Le silence se fait à nouveau avant d’être troublé par des gémissements de plaisir. Avec Julie et Laura, mon année scolaire s’annonce chaude, brûlante même !

La suite des aventures de Larbine et ses cousines est publiée sur le forum écriture littérature culture BDSM de fessestivites ici.

http://www.fessestivites.com/phpBB3/ecriture-litterature-culture-bdsm/

mercredi 13 novembre 2013

La douleur et le plaisir en SM ou BDSM

La douleur et le plaisir en SM ou BDSM

douleur et le plaisir en SM ou BDSM
La douleur et le plaisir en SM ou BDSM ont toujours généré des interrogations, des incompréhensions et pourtant, les adeptes crient que cela existe bel est bien.
Si certaines personnes honnêtes et sensées disent parvenir à l'orgasme dans certaines pratiques, un mur d'incompréhension subsiste.
Jeudi 14 novembre à 21h Fessestivites organise un débat sur la douleur et le plaisir en SM ou BDSM sur son chat salon des débats.
Animé par une Maîtresse, ce débat aura lieu avec des néophytes et des puristes du SM ou BDSM.

Rendez-vous Jeudi 14 novembre à 21h sur le chat de Fessestivites

au salon des débats pour tout savoir sur ce monde avec des infos réelles données par des adeptes.

lundi 11 novembre 2013

Elle pratique le selfbondage, son patron la piège

Elle pratique le selfbondage, son patron la piège


Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
Selfbondage auto bondage Marc, le patron d’une petite entreprise de fabrication de pompes à chaleur a découvert les passions de sa secrétaire pour le bondage et le BDSM sur son ordinateur où elle décrivait ses délires de selfbondage réalisés dans l’entreprise lorsqu’elle était seule le soir. Sous de faux prétextes il annonce depuis quelques jours à Martine qu’il doit partir plus tôt pour des rendez-vous de l’autre côté de la région et la laisse seule. Par trois fois il passe le soir pour la piéger mais ne trouve personne.
….
Lorsqu’il arrive vers 21 heures, la voiture de son employée est encore sur le parking…..
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Ce qui attire Martine dans l’entreprise dont les ateliers sont aussi propres qu’une cuisine, ce sont les treuils électriques, les grands rouleaux de cellophane dans lesquels elle s’enroule nue avant d’attraper comme elle le peut un couteau qu’elle laisse sur le sol de plus en plus loin pour se libérer. Avec le treuil électrique de l’atelier n°2, elle s’est amusée à se suspendre en passant les sangles entre ses jambes pour qu’elles la soulèvent en douceur en enfonçant des godes dans son intimité gourmande. Pour se libérer, elle est obligée de se balancer pour parvenir à attraper de ses mains menottées la commande électrique pendant un mètre plus loin.

Ce soir, elle a décidé de pousser plus encore son jeu en ajoutant pour sa suspension un bandeau à ses yeux. Après s’être mise nue et s’être sévèrement bâillonnée elle a fait descendre les sangles pour les enjamber avant d’entraver ses chevilles d’une simple ceinture. Ces deux godes vibrants favoris trouvent leur place dans l’intimité féminine avant qu’elle n’actionne le treuil. Lorsqu’elle commence à perdre pieds, Martine passe son bandeau en se demandant si elle ne fait pas des folies mais l’appel de l’aventure et ses essais réussis en fermant simplement les yeux la poussent à tenter cette expérience qui ne peut qu’être extrêmement jouissive. Lentement elle fait remonter le treuil, ses pieds sont maintenant dans le vide et les godes profondément maintenus la comblent au sens propre comme au sens figuré.

Martine lâche la télécommande filaire qui se balance un instant avant de s’immobiliser à un mètre d’elle. Ses poignets trouvent leur place comme à chaque fois dans les menottes bloquées dans le crochet et quand elle les ferme, les clics magiques génèrent en elle à chaque fois de sourdes émotions…. La machine à fantasmes se met aussitôt en route, son corps s’agite sur les sangles passées entre ses jambes en lui générant la sensation d’être prise par deux personnes en même temps. Ses amants imaginaires usent et abusent d’elle jusqu’à l’implosion fulgurante générée par le cumul des sensations. En pleine jouissance Martine tire sur ses menottes en vain avec ses petits bras tendus au-dessus de sa tête lorsque deux mains s’emparent de ses tétons. Pendant une fraction de seconde ce contact est magique puis lui vrille le ventre en générant une peur aussi indicible que le sentiment de honte la submergeant.

Pour Martine, outre la honte, la personne qui l’a surprise va sûrement abuser d’elle voir même la tuer. Le bâillon freine considérablement les suppliques désespérées auxquelles Marc ne prête aucune attention. Lentement et en pinçant légèrement il fait rouler sous ses doigts les tétons turgescents de sa secrétaire. Le jeu muet dure un petit moment, arrachant des gémissements de principe à la fille piégée par son propre piège. Le fait que les attouchements semblent « respectueux » apaise un peu la peur de Martine. Les mains abandonnent sa poitrine pour faire balancer le charmant « colis » désespéré.

Quelques claques de principe s’abattent sur les fesses nues et les sangles. Martine se tord dans ses liens plus de peur que de douleur car les coups sont particulièrement légers. Le rythme de la fessée s’intensifie progressivement, le « colis » s’agite de plus en plus quand soudain Marc se plaque contre son dos et saisit à nouveau les tétons délaissés pour les faire rouler sous ses doigts en donnant de petits coups de genoux au fessier offert. Pour l’aventurière le fantasme d’être prise par un inconnu se transforme en une peur monstrueuse. Chaque coup de genoux se répercute dans le gode anal arrachant des gémissements à la propriétaire du délicat fessier. Le simulacre de viol dure quelques minutes, Martine ne sait plus où elle en est, l’homme ne semble pas décidé à la violer mais plutôt à jouer avec son plaisir et son malaise.

- Vous allez vous libérer seule puisque tel est votre désir, puis nous irons discuter un moment dans mon bureau ma très chère et surprenante Martine.

« Mmm mmmm » est la seule réponse que peut donner la secrétaire dont le sang vient de se glacer dans ses veines en reconnaissant la voix de son patron.

Martine désespérée commence à se mouvoir comme si elle était sur une balançoire en remontant les jambes en avant pour essayer de trouver la télécommande filaire pendant près d’elle. Si les yeux fermés elle y était arrivé facilement, en se sentant observée Martine se loupe plusieurs fois avant de parvenir à attirer le fil électrique contre elle. Ses mains parviennent enfin à faire remonter le boitier puis à appuyer sur le bouton « liberté ». Lorsque ses pieds touchent le sol, elle peut soulever les gros crochets des sangles et faire sortir la chaînette de ses menottes. Son premier réflexe est de retirer tout ce qu’elle a sur elle, dans sa précipitation, elle écarte les jambes, les godes s’échappent et tombe sur le sol.

Son patron est sorti de l’atelier, ce qui préserve un peu sa pudeur, être vue nue et entravée et une chose, se promener à poil devant lui l’aurait bien plus gênée. Martine se précipite vers la table pour récupérer ses affaires, se libérer et surtout se vêtir avant d’aller affronter son patron. Les clés de ses menottes ne sont plus là ! Folle de rage et d’inquiétude, elle passe sa culotte et son jean avant de se bagarrer tant bien que mal mettre son soutien-gorge en prenant des postures obscènes car mettre un soutien les mains attachées est plutôt difficile. C’est donc avec son sac et son chemisier à la main qu’elle se rend au bureau sans trop savoir ce qu’il l’attend.

Il est là où elle craignait, assis devant son ordinateur. Morte de honte, elle commence à se confondre en excuses mais il la coupe en désignant une chaise. Assise elle assiste impuissante au diaporama de photos de filles bondagées.

- Rassurez-vous, je ne vais pas abuser de vous et peut-être pas vous licencier, mais vous me devez des explications. Depuis combien de temps jouez-vous la nuit dans l’entreprise ?

- Un an monsieur, mais pardonnez-moi, promis je ne le ferai plus.

- Nous avons une passion commune pour le bondage. J’aime autant entraver une femme qu’être entravé. La mienne n’appréciait pas vraiment et ne s’y prêtait que rarement pour me faire plaisir. Beaucoup de gens confondent shibari, entraves et plan sexe, qu’en pensez-vous ?

- Oui monsieur. Répond Martine très étonnée et inquiète de la tournure de l’entretien.

- Est-ce que vous avez testé le shibari ?

- Non monsieur.

- C’est grisant, vous devriez essayer. Si vous voulez, je vous le ferai découvrir en tout bien tout honneur évidement. Vous savez maintenant que je ne suis pas un violeur, car si j’avais voulu abuser de cette situation particulièrement érotique, je n’avais qu’à me servir. Il n’y avait que nous dans l’entreprise, personne ne l’aurait su. Personne, sommes-nous d’accord ?

- Oui monsieur.

- Les clés de menottes sont à côté de la cafetière, je souhaite que vous nous apportiez deux cafés et que vous veniez vous asseoir à côté de moi, nous allons parler bondage en surfant. Vous pouvez finir de vous habiller.

Martine est totalement déconcertée par la tournure des évènements. Son patron n’a pas abusé d’elle et ne la pas sermonnée ou licenciée, bien au contraire. Il semble lui pardonner ses escapades nocturnes et vouloir parler de leur passion commune. Si trouver un complice ne lui déplait pas, la relation hiérarchique est très gênante. Pendant plus d’une heure, ils surfent côte à côte en commentant les photos et les sites comme deux amis. Marc s’arrête sur une série de photos exposant une très belle fille suspendue et saucissonnée dans un shibari très artistique.

- Comment trouvez-vous ce bondage ? Demande soudain Marc.

- Sublime, je rêve de vivre au moins une fois un bondage comme ça.

- Votre rêve se réalisera demain soir, si vous l’acceptez bien sûr car rien ne vous y oblige même si vous avez fauté. Cela me ferait très plaisir que nous soyons complices de jeux. Attention, je ne parle pas d’être amants, je parle bien d’être complices de jeux, la nuance est grande.

- Je suis très gênée monsieur.

- Et moi donc. Je ne vous fais en aucun cas un harcèlement sexuel, je vous propose seulement de partager nos jeux, le reste du temps, nous fonctionnerons comme nous l’avons fait jusqu’à présent. Je vous attends demain vers 21 heures, cela vous convient ?

- Oui monsieur ! Répond Martine très gênée en ne se sentant pas de refuser la complicité de cet homme finalement charmant et compréhensif qui aurait pu abuser d’elle ou la virer.

Ecrivaillon