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Ce confinement ennuie fortement Madame. Elle sait très bien qu’avec le télétravail, son mari va soi-disant travailler sur son ordinateur et lui laisser tout à faire à la maison. Elle ne doute plus, monsieur s’accorde des moments de plaisir solitaire en son absence, les sopalins dans la poubelle du bureau n’ont pas servi qu’à se moucher, elle en est sûre !
Après avoir fait les courses, elle devra encore cuisiner puis faire du ménage et s’occuper du linge, en arrivant de sa dure journée de travail. Pire encore, pendant que monsieur regardera la télévision, elle devra corriger les copies de ses élèves et préparer EN PLUS les cours pour ceux qui les prennent par internet. En clair, deux fois plus de travail !
Au hasard de ses rares surfs, elle est tombée sur cette image publicitaire et humoristique de ABCplaisir. « Si cela pouvait être vrai » se dit-elle, avant de remarquer un lien vers le site Fessestivites.com où il est indiqué : comment éduquer votre mari par la chasteté.
Ni croyant pas plus que ça, elle visite le site et découvre dans les forums, que la chasteté peut rendre un homme très amoureux et volontaire. L’enseignante dévore quelques articles, contacte quelques femmes dominatrices. Lors des discussions privées, elle apprend beaucoup de choses sur les bienfaits de la cage de chasteté sur les hommes, mais aussi comment contourner le régime patriarcal par le plaisir.
Le mot « plaisir » sonnait bien dans la tête de notre enseignante, apprenant rapidement l’ABC de la domination féminine. En effet, du plaisir physique elle n’en avait pas plus que des loisirs, depuis trop longtemps. Elle se souvint alors que son « adorable » mari, avait évoqué l’idée quelle joue la Maîtresse de temps en temps sous la couette. Notre petite enseignante si douce et si gentille avec ses élèves, ne s’était pas imaginée un seul instant donner ne serait ce qu’une fessée à son mari.
Elle se rendit sur la rubrique chasteté de la boutique ABCplaisir en cliquant sur le lien d’un article. « On va commencer par ça, avec cette promotion, si cela ne marche pas sur lui, je ne me serai pas ruinée » pense la madame martyrisée du confinement, en mettant une cage de chasteté dans son panier.
Arrivée à la maison, elle entreprend de mettre en place une stratégie d’allumeuse et sévère histoire de commencer, à titiller l’esprit de son mari. Elle enfile des bas et une jupe courte puis un string, avant de se mettre à faire un peu de ménage. Son coquin de mari, ne tarde pas à être émoustillé, puis à laisser la main glisser, subrepticement, sur son délicat fessier apparaissant un peu plus souvent que d’habitude sous ses yeux.
- Voyons chéri, il me reste le linge à étendre et l’aspirateur à passer, avant de corriger les copies de mes élèves. J’aimerai bien câliner mais ce soir désolée, je n’ai pas le temps.
Le bougon de service râle, avant de se remettre à surfer au lieu d’aider sa femme.
- Je crois qu’une fessée de temps en temps ne te ferait pas de mal chéri. Tu laisses tout traîner et je dois passer derrière toi comme si tu étais un gamin ! Si tu n’apprends pas à ranger, je sens que tu risques de finir sur mes genoux à un moment ou un autre !
En guise d’aide, le bougon de service affiche un grand sourire et lui dit « chiche » avant de se remettre à surfer. Ce n’est qu’après le repas que notre si douce et coquine enseignante, revient sur l’idée qu’elle pourrait être Maîtresse, autrement qu’à l’école. Le petit monsieur tout gêné et pudique, ne dit mot. Au contraire, il baisse la tête. « Hé hé, toi je vais te croquer en un rien de temps, si tu me laisses le champ libre » pense Marie.
Comme à son habitude, monsieur s’endort sur le canapé. Il va se coucher sans même embrasser sa femme, en train de corriger ses copies. Une heure plus tard, elle débarque dans la chambre et enjambe le visage de son mari.
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
- Je dresse mon mari qui s’est branlé et a laissé le sopalin sur son bureau. Puisqu’il s’est accordé du plaisir, je veux qu’il m’en donne avec sa langue. Je te préviens que si il n’arrive pas à me faire jouir, je te mets sous cage de chasteté ! Indique Marie à la verge de son époux, qu’elle manipule comme si c’était une poupée.
C’est avec quelques inquiétude et beaucoup de doute, qu’elle prend place sur le visage de son mari. En guise de réfutations, il se met à lui brouter le chaton avec conviction. Mieux encore, il remonte les mains vers sa poitrine pour la caresser et titiller agréablement les tétons, trop longtemps délaissés. Marie s’émeut bien plus d’obtenir ce qu’elle désire que du plaisir physique. « Mais ça marche » se dit-elle, « le monde de la domination féminin commence à me plaire » ! Son plaisir pris, elle s’allonge à côté de lui et lui souhaite bonne nuit. Lorsqu’il se met à râler de « rester en panne », Marie lui répond qu’il a pris de l’avance en son absence.
....................
Le lendemain, elle passe récupérer son colis à la poste et se conditionne mentalement, à la mise en place de la cage de chasteté sur son mari. Une étape qu’elle redoute au point d’avoir l’impression d’être redevenue pucelle. « Courage ma belle, ce soir tu dois enfermer le petit oiseau » si dit Marie en entrant dans la maison !
Au lieu de faire un vrai repas, elle jette deux pizzas surgelées dans le four, avant d’aller prendre une douche et de se faire une beauté, de reine de la nuit. En la voyant arriver au salon dans une tenue orientée « Maîtresse », son mari affiche un sourire radieux.
- Ce soir chéri, j’ai décidé de te faire plaisir et de devenir la Maîtresse de tes rêves ! Indique notre petite enseignante, à son mari avant d’aller l’attraper par l’oreille. Alors dis-moi, combien de fois t’es tu branlé aujourd’hui ?
En l’absence de réponse, elle le guide à la salle de bain et entreprend de le déshabiller.
- Aller, grimpe dans la baignoire, je vais te laver comme un gamin et m’occuper de ton petit robinet.
Son mari commence par réfuter, l’enseignante se dit qu’elle ne doit pas faillir et le menace d’une fessée. Comme il continue de résister, elle le fait se pencher en avant et lui claque les fesses de bon coeur. Elle s’étonne grandement qu’il crie un peu, mais ne cherche pas à se dégager. A la suite de quoi, elle ouvre l’eau, puis le douche en constatant qu’il a de belles marques sur les fesses. Marie laisse de côté sa culpabilité et entreprend de savonner le sexe de son époux avec une grande attention.
- Marie et Aimer sont deux mots qui s’écrivent avec les mêmes lettres. Est-ce un anagramme ou un paronyme d’après toi ?
- Heu, je n’en sais rien moi ! Répond son bougon.
- Et bien cela va être un peu des deux pour toi mon amour. Tu vas aimer ta Marie, qui va devenir Maîtresse et qui en plus t’a fait un cadeau !
- Ah, c’est quoi ?
- Reste nu, c’est mieux pour aller ouvrir ton cadeau !
Tiré par la main comme un gamin, il se retrouve sur le canapé avec le colis de ABCplaisir entre les mains. Comme l’étiquette est anonyme, il ne peut savoir ce qu’il contient.
- Je te préviens chéri, je veux que tu l’essayes au moins 24 heures, si tu veux que je sois un peu ta Maîtresse de temps en temps.
Le bougon de service essaye de négocier mais en vain. La petite maîtresse d’école ne baisse pas la garde et reste Maîtresse, avec un M majuscule. Si bien qu’il finit par accepter. Lorsqu’il ouvre le colis et aperçoit son contenu, il se met à rougir. Marie observe attentivement et constate qu’il commence à se mettre à bander, un effet qu’elle ne pouvait pas imaginer de la part de son époux, même après 8 ans de mariage. La problématique d’une cage de chasteté, est qu’il ne faut pas être en érection pour la mettre ! Pour parvenir à leur fin en « confiner » le sexe de monsieur, ils sont obligés de finir sous la douche presque froide.
La « chose » emballée et les clés confisquées, Marie ne quitte pas sa tenue de Maîtresse et demande à son « soumis », de servir le repas en restant intégralement nu. Il s’exécute au grand étonnement de la petite enseignante. Gardant à l’esprit les conseils donnés par les dominatrices sur Fessestivites, elle déclare avec insistance qu’elle le trouve trop beau comme ça, que cela l’excite de voir le petit oiseau en cage. « Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute » (JDF) le bougon, ne se sent plus pisser de joie et tombe dans le panneau. (Pardon, j’ai un peu changé la fable)
Ce soir là, Marie tartine son mari de câlins provocateurs, de compliments, si bien qu’elle n’a aucune réfutation, quand elle lui demande de se mettre à 4 pattes devant le canapé, pour lui « brouter la chatte ». Cette expression qu’elle n’emploie jamais et jugée vulgaire, ne choque pas son époux. Il ne sait pas encore, qu’elle va devenir une habitude.
Si la nuit fut difficile pour le pauvre homme, cela fut pire le matin ! Il ne peut jouer avec son poireau et le faire pleurer de joie, en l’absence de sa petite maîtresse d’école devenue Maîtresse avec quoi ? Un M majuscule voyons !
La surprise suivante arriva vers 10 heures et le perturba grandement. Pendant la récréation de ses élèves, elle lui avait demandé de passer l’aspirateur et de laver la maison par texto.
12h30 : Un autre texto lui indique qu’il doit laver sa vaisselle, sous peine de prendre une semaine de cage de chasteté non stop.
14h30 : Un autre texto le prévient que si le repas du soir n’est pas prêt quand elle arrivera, elle n’aura pas le temps de s’occuper de lui et qu’il prendra une semaine de cage de chasteté supplémentaire !
16h10 : Les élèves de notre petite enseignante ne peuvent se douter que, cachée derrière son bureau de maîtresse, elle joue la grande Maîtresse en envoyant un autre texto, lui demandant de faire les vitres sous peine de prendre 1 mois de chasteté non stop.
Le bougon de service ne sait plus quoi penser. D’un côté cette situation l’excite beaucoup, de l’autre son petit « self service » lui manque.
17h00 : Un autre texto arrive pour lui indiquer qu’il devra faire couler un bain à sa Maîtresse, qui devrait arriver vers 18 heures.
.........................
Il est un peu plus de 18 heures, lorsque Marie arrive à la maison. Sa première surprise est d’être accueillie par son bougon, qui ne bougonne pas et l’embrasse, chose qui n’était plus arrivée depuis des lustres. La deuxième surprise est, que tout ce qu’elle a demandé a été fait, mal mais il faut bien débuter....
Marie est si agréablement surprise, qu’elle décide que la cage de chasteté va s’inscrire dans la durée, tout comme son jeu de Maîtresse. Elle exige qu’il l’accompagne nu au bain, pour lui tenir compagnie. Elle en profite pour se faire laver la tête, puis pour tripoter le zizi confiné.
- Mais j’y pense ! Tu as été obligé de t’asseoir pour faire pipi ! Cela ne t’a pas fait trop drôle ? Tu sais, pour te faire gagner du temps dans ton travail, tu pourrais mettre une jupe et pas de culotte. Comme ça, pour aller faire pipi tu gagnerais du temps, temps que tu pourrais utiliser pour me choyer un peu ! Veux tu que j’essaye de trouver une jupe que tu puisses mettre ?
Sans le savoir, Marie entrait dans les fantasmes de son bougon. Il refusa ce soir là, mais elle parvint à le féminiser deux jours plus tard.
CONCLUSIONS en deux points :
1°) Ne laissez pas vos femmes surfer sur Fessestivites, elles pourraient avoir de mauvaises relations et de mauvais conseils. (Cachez vite ce site) MDR
2°) Ne laissez pas vos femmes aller sur ABCplaisir, si elles découvrent que les cages de chasteté et sextoys pour elles sont à - 20 % il pourrait vous arriver des bricoles !
EPILOGUE
Marie est devenue une cliente régulière d’ABCplaisir. Elle s’est achetée un gode-ceinture, des plugs, un magic wand massager et des menottes puis tout un tas de matériel de bondage.
Le bougon est sous cage de chasteté 24/24, le gode ceinture ce n’est pas pour son petit cul (même si il aimerait bien) c’est pour elle. En effet, plutôt que de prendre le risque de lui retirer la cage, elle lui met le gode ceinture quand elle a envie de .....
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
Note de l’auteur : j’avais envie de délirer un peu sur le confinement !
J’ai un Maître attentionné, gentil, respectueux mais aussi entier. Entier dans le sens où, lorsqu’il s’engage, il va jusqu’au bout des promesses et quand il punit, c’est de la vraie punition. Pas du petit pan pan cul cul.
J’avais une folle envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage. Du sexe où je ne serai plus qu’un pantin de chair obligé de subir, de vivre des choses intenses. Comme je suis quand même un peu trop timide, je lui ai écrit ma folle envie. J’ai noté sur une feuille ce qui passait dans ma tête de détraquée mentale. Sur cette feuille j’ai osé écrire :
Maître,
Vous dites qu’une soumise doit tout dire à son Maître.
Alors voilà, j’ai envie de vivre au moins une fois du sexe intense, brutal, animal, sauvage. Que vous me bâtiez un peu, me gifliez et m’insultiez. Je rêve d’être votre chose encore plus qu’aujourd’hui.
Mon corps serait à vous pour tout, gorge profonde, sodomie si vous le voulez et surtout, si je pleure ou supplie, que vous ne m’écoutiez pas. Au contraire, si je résiste giflez-moi.
Votre soumise d’Amour
....................
Ce papier était dans le salon, posé sur la table avec une rose et son verre de Pastis avec une carafe d’eau fraîche. Je tremblais comme une feuille en attendant qu’il arrive. En attendant qu’il découvre mes envies de folie. Le pire est que je savais que si Maître acceptait, il ne ferait pas dans la dentelle. Accepterait-il, là était aussi la question que je me posais, il a horreur de se sentir dirigé. Il n’aime pas les souminateurs et souminatrices. Ce n’était donc pas gagné.
Lorsqu’il est arrivé, j’ai fait en sorte d’être dans la salle de bain, j’avais un peu trop honte de moi et d’avoir osé lui dévoiler ce fantasme. A mon arrivée dans le salon, il a simplement dit « 6 » en me désignant la table basse. Cela signifiait que je devais me mettre en position 6 sur la table. Au lieu de me parler, de m’embrasser, de me dire ses petits mots d’Amour comme à chaque fois qu’il arrive, il a bu son pastis en me regardant. Il s’est allumé une cigarette et m’a regardé en la fumant. Le silence devenait pesant, j’avais peur qu’il ait mal pris ma demande. Au bout d’un moment il m’a regardée avec ses yeux de carnassier toujours sans rien dire.
- Tu sais que si j’accepte, j’irai au bout ?
- Oui Maître !
- As-tu bien conscience que tes cris, tes larmes ne m’arrêteront pas ?
- Oui Maître !
- Pourquoi te ferais-je ça ?
Ouf, la question qui tue ! Que répondre ? Lui dire que c’est parce que j’en avais envie ? Surtout pas ! Oui mais que répondre ?
- Votre bain est prêt Maître !
- Mauvaise réponse !
Il m’a donnée une gifle. Cette gifle signifiait-elle qu’il acceptait ? Attendait-il encore une réponse ?
- Parce que vous m’avez dit qu’une soumise doit tout dire à son Maître. Alors j’ai décidé de vous écrire un de mes fantasmes.
- Bonne réponse. Va chercher la Menottes double BDSM qu’on a achetées sur ABCplaisir, elle va servir.
- Votre bain va être froid Maître ?
Il m’a redonnée une gifle en me disant qu’un pantin de chair ne discute pas. A ce moment là, je ne savais pas si c’était pour me punir de mon insolence, ou parce qu’il avait décidé de me faire plaisir et d’accéder à ma demande. A mon retour du donjon, il m’a ordonnée de me mettre nue et de mettre mes bras dans mon dos. Il a posé la Menotte double BDSM et la serrant un peu fortement. Bouger mes bras était impossible.
Maître m’a attrapée par les cheveux pour me mettre à genoux devant lui. Il a ouvert sa braguette et a sorti son sexe encore mou en me disant « suce salope ». J’avais ma réponse, Maître allait me faire ce dont j’avais envie.
Sous prétexte que je suçais mal, il m’a donnée deux autres gifles, avant de me remettre son sexe dans la bouche. Tenue par les cheveux et plaquée contre son ventre, je ne pouvais que prendre sa verge entièrement dans ma bouche. Elle commençait à grossir et à atteindre le fond de ma gorge. Quand j’ai voulu me reculer un peu, j’ai eu droit à une autre gifle, des insultes et la promesse qu’il allait m’apprendre à me soumettre. Tirée par les cheveux, j’ai été conduite à la chambre où il m’a jetée sur le lit. Prestement attrapée et retournée, je me suis retrouvée la tête dans le vide au bord du lit. Quand sa verge a touché mes lèvres, j’ai ouvert la bouche même si je savais que cela allait être hard pour moi.
Il a commencé à faire gorge profonde, comme j’essayais de fuir quand il allait trop loin, il giflait mes seins ou me tordait les tétons pour me faire mal et m’obliger à faire un effort. Même ma chatte a été giflée quand, par deux fois, j’ai failli vomir. J’ai commencé à regretter ma demande, les fantasmes ne sont pas toujours aussi bien quand on les vit. Au bout d’un moment, j’ai réussi à décontracter ma gorge, à l’obliger à accepter. La bouche intégralement pleine de lui et avec ses testicules sur les yeux, j’ai commencé à me sentir le pantin de chair de mes délires.
« Bon, on va essayer ta chatte de salope » a crié mon Maître en « m’aidant » à me relever en me tirant par les cheveux comme une brute. Il s’est dévêtu totalement et s’est allongé sur le lit en me désigant sa verge tendue à rompre.
- Assis-toi la dessus, tu verras Montmartre !
Dans mes fantasmes, ce n’était pas comme ça que je voyais les choses, mais je ne me suis pas aventurée à le lui dire, c’était trop risqué. Alors je l’ai enjambé, il a guidé son sexe entre mes lèvres et je me suis empalée lentement comme quand on fait l’amour.
- Bouge tes fesses salope ! A crié mon Maître en giflant mes seins pour que je m’agite sur sa verge.
J’ai découvert un côté de la personnalité de mon Maître ce soir là. Il pouvait être cruel et sadique s’il le voulait. Et c’est ce que j’avais voulu dans ma folie. Mes seins et mes tétons prenaient « cher » malgré tous mes efforts, je ne pouvais me plaindre qu’à moi d’avoir joué un jeu dangereux.
Après m’avoir dit que « j’étais nulle au pieu », il m’a littéralement jetée sur le côté et bousculée pour que le lui présente « mon cul » comme une « chienne en chaleur ». Ce vocabulaire volontairement grossier m’a perturbée. Il me parle rarement comme ça même quand nous jouons. Là c’est du gras, vulgaire, limite agressif. En guise de lubrifiant, il a craché entre mes fesses, il a passé la ceinture de son pantalon devant mon cou et, sans prendre beaucoup de précaution, ma sodomisée. Ses propos gras et vulgaires n’ont pas changé, ma sodomie n’avait jamais été aussi rude.
J’ai commencé à craquer, à le supplier d’aller plus doucement, sa réponse a été « prends ça salope » en me donnant une gigantesque claque sur les fesses. Perdue dans la douleur et un plaisir différent de nos câlins d’avant, j’ai vraiment eu ce que je voulais. J’étais devenue un pantin de chair qui ne peut rien refuser. J’étais moins qu’une pute qui peut refuser un client, je devais subir et me taire pour ne pas morfler. Je l’avais voulu, je l’avais ...... J’avais envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage, j’étais servie.
Incapable de retenir mes larmes, à moitié étranglée par la ceinture j’ai perdu mon corps. Perdu mon corps qui d’un seul coup s’est mis à trembler, puis à convulser. J’ai fini par décoller, m’envoler et jouir comme jamais sous ses coups de butoir sauvages. Quand il m’a lâchée, je me suis écroulée la tête la première dans le lit. Maître m’a plantée là sans me retirer la Menotte double BDSM, mes yeux coulaient, mon nez aussi, mais mon corps était rassasié. Cela me faisait drôle d’avoir été le pantin de chair, cela avait été une expérience très forte.
Un quart d’heure plus tard, Maître est venu me retirer la Menotte double BDSM. Sans rien dire, il m’a prise dans ses bras et soulevée pour me conduire à la salle de bain. Il m’a déposée dans la baignoire qu’il avait en partie vidée pour pouvoir me rejoindre et se lover contre moi.
Et là, pour plaisanter il a changé sa voix pour me dire : « alors heureuse » ?
Heu, que répondre ? Oui parce que j’avais vécu ce que j’avais voulu, quelque chose de très + très fort mais un peu douloureux quand même. Quand il m’a demandée si j’aimerai recommencer, après quelques instants de réflexion, la « traumatisée du bulbe » lui a répondu « oui mais pas tout de suite ».
Comme indiqué au départ, Maître est ultra respectueux, je dirai même très « aimant », mais j’avoue que j’ai quand même bien aimé, qu’il fasse le Brutus et comme s’il ne m’aimait pas pendant cette soirée. Quand on sait que c’est du jeu, ce type de rapport est quand même « hot » et bien bon.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque
Je partage avec vous une discussion que j’ai eue par messagerie avec une
cliente à propos de l’usage de la cage de chasteté. Les coordonnées de
la cliente sont évidement masquées ! Mes réponses peuvent intéresser
aussi bien les hommes que les femmes désireuses de gérer la sexualité de
leur mari.
Copie du message initial de madame xxxx
De : xxxxx
Envoyé : lundi 19 octobre 2020 09:06
À : contact@abcplaisir.com
Objet : question sur la chasteté masculine
Monsieur
J'ai
commandé chez vous une cage de chasteté il y a quelques temps et j’ai
vu, à votre façon d’en parler sur des forums, que vous semblez bien
connaître ces produits.
Voila, j'ai surpris plusieurs fois mon mari
en train de se masturber et je trouve que c'est inadmissible quand on
est en couple. Pour faire cesser ces problèmes masturbatoire, j'ai vu
sur le net que l'utilisation de la cage de chasteté était une solution
pour interdire cette pratique de l'onanisme.
Je vous ai donc acheté
pour mon mari une cage de chasteté et je lui ai demandé de la mettre
pour faire cesser ces plaisirs solitaires. Cela fait maintenant 1 mois
qu'il la porte la journée. Le problème est qu’il se lève avant moi et se
masturbe toujours en cachette le matin.
Maintenant que nous
sommes en vacances je lui demande de la garder la nuit et il se plaint
de douleur quand son sexe est comprimé dans la cage et que celle-ci tire
vers l'avant.
Je voudrais savoir s'il va finir par s'habituer et les douleurs disparaîtrons d'elle-même.
Je voudrais savoir s'il a un risque d'impuissance pour lui a le laissé fermé en 24/24 pour 15 jours ou 3 semaines.
Merci d'avance
A vous lire
xxxxxxx
Ma réponse ci-dessous peut intéresser aussi bien les hommes que les femmes désirant contrôler la sexualité de leur mari.
Madame,
Je
vais essayer de répondre au mieux à vos questions. Pour ne pas me
perdre dans des phrases interminables, j'appellerai les choses par leur
nom.
OUI la nuit, lors des érections nocturnes, les testicules sont étirés vers l'avant. Cela peut être douloureux.
Solutions
: aller uriner / se rincer le bas ventre à l'eau froide ou presque
froide. Bien souvent, le fait de se lever pour aller uriner suffit
amplement.
Est-ce que mon mari va finir par s'y habituer ?
Oui, sûrement, surveillez juste qu'il ne se forme pas de kyste.
Pour
diminuer les douleurs dues à l'irritation nocturne, une bonne crème/
pommade limite les irritations. Lors de la toilette, il peut se passer
du « senophile » (Protecteur cutané vendu en pharmacie). C'est très
efficace et sans aucun risque. Ne prendre que cette crème, commandez-la
s’ils ne l’ont pas et essayent de vous fourguer autre chose.
Si
le diamètre de l'anneau est trop petit changez d'anneau car il ne
s'habituera pas et cela posera des problèmes de santé ou d'irritations
importantes.
Est-ce que les douleurs disparaîtront d'elle-même.
Si les douleurs sont permanentes surtout hors érection, il faut en trouver les raisons : anneau trop petit par exemple.
Si
les douleurs sont seulement nocturnes, avec le temps on s'habitue, on
trouve des positions, des astuces comme les crèmes et dormir avec un
slip un peu serré par exemple pour bien la maintenir.
Y-a-t-il un risque d'impuissance pour lui à le laisser fermé en 24/24 pour 15 jours ou 3 semaines ?
Non,
par contre, il est important de laisser la nature reprendre ses droits
de temps en temps. Je ne parle pas d'éjaculation mais d'érection totale
pour l'irrigation des vaisseaux sanguins. A noter, que si vous faite un
câlin et le réencagez ensuite, la nature aura fonctionnée donc aucun
souci.
Solutions pour faire des PAUSES « irrigation / santé » en toute tranquillité sans obligatoirement faire l'amour :
-
Lui demander de se masturber devant vous. Parfois c'est très gênant
pour l'homme qui ne parvient pas à éjaculer. N'ayez pas de souci, c'est
normal il n'a pas forcément un problème de santé !
- Le faire entrer en érection sans sa cage, puis lui faire prendre une douche pour faire « fondre » l'érection.
-
Coudre la braguette de son pantalon / short et fermer le vêtement avec
une chaînette puis un petit cadenas pour la nuit. Inconvénient : il
devra vous réveiller pour aller aux toilettes mais ses érections seront
normales.
- Vous pouvez également faire des « pauses » en le
faisant passer la nuit attaché ou avec des moufles de bondage mais là,
vous entrerez dans le BDSM. (Il risque d'aimer ou de détester)
Solution
pour ne pas être réveillée quand il veut aller aux toilettes : idem que
la précédente mais avec une couche pour personne incontinentes.
Sourire... il n'a plus d'excuse ET il y a de fortes chances pour qu'il
se retienne.
PRECAUTIONS
Attention, si vous l'encagez 15
jours ou 3 semaines en 24/24, la chasteté rend TRES amoureux SURTOUT au
début. De fait, accompagnez-le dans son acceptation par quelques
attentions et mots doux ou c'est psychologiquement que cela risque de
bloquer s'il se sent « abandonné ».
INFORMATION
Les
érections matinales sont normales chez l'homme. De fait il peut avoir
envie de se « soulager / avoir du plaisir » et toujours vous aimer comme
au premier jour. Beaucoup d'hommes se masturbent mais rares sont ceux
qui l'avouent.
MON CONSEIL
La cage de chasteté est effectivement une solution à votre souhait mais pour la santé de votre couple, je vous recommande de l'accompagner psychologiquement dans la démarche et d'en faire un jeu complice si vous voulez inscrire la cage de chasteté dans la durée et vos habitudes.
Si
quelque chose n'est pas clair dans mes réponses, si vous avez des
doutes ou si à un moment vous sentez une tension entre-vous, n'hésitez
surtout pas à m'en parler, je vous donnerai des réponses aussi claires
que celles d'aujourd'hui.
N'hésitez pas à lire les autres
articles sur le forum « chasteté » de Fessestivites, vous y trouverez
des informations également utiles ou importantes.
Cordialement
ABCplaisir
