mercredi 30 octobre 2013

Femme seule plaisir solitaire

Femme seule plaisir solitaire

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Après avoir pris mon premier café et fumé ma première cigarette, j'ai eu besoin d’une bonne douche pour me réveiller. Une fois séchée, je m'enduisais le corps de crème hydratante tout en réfléchissant à ce que j'allais porter. Mes mouvements se faisaient plus lent, plus langoureux, s'attardant sur un téton ou dans le creux d'une cuisse.

Je me forçais à reprendre mes esprits mais n’y parvenais pas, mes mains devenaient de plus en plus entreprenantes. Comme ce n'était pas le moment, j’ai choisis une culotte de coton noir et un soutien gorge assorti bordé de quelques dentelles soulignant parfaitement la rondeur de mon 90C.
Je choisis une jupe légère en coton noir parsemée de quelques dessins rouges qui m'arrivait au genou et un tee-shirt rouge sans manche car les températures annoncées promettaient d'être estivales ! En passant par ma chambre que j'entrepris de ranger, à la vue des vêtements jonchant le sol en direction du lit, le souvenir de nos ébats de la veille acheva ma sagesse.
Cette pensée m'émoustilla et me remémora la nuit, ses mains sur moi puis quand il était en moi en me parlant avec des mots crus. Ses souvenirs réveillaient en moi une certaine excitation en me faisant regretter son absence.

J'entrepris alors de me satisfaire seule en m'allongeant sur notre lit défait. Il était parfumé de l'odeur de notre étreinte ce qui me permit d'imaginer qu'il était là, que c'était ses mains et non les miennes qui passaient sur mon corps et caressaient mes seins en pinçant mes tétons. La danse de mes mains m'arrachait des soupirs et ma respiration s'accéléra. J'écartais ma culotte et me caressait plus franchement alors qu'un doigt pénétrait mon vagin m’arrachant un gémissement de plaisir.
Mes pensées vagabondaient, voyaient le corps nu de mon homme quand soudain il me parla en m’ordonnant de lui offrir une danse du cul. Le petit gode dans le tiroir de la table de nuit a rejoint mes mains naturellement, mon corps mue comme par enchantement se leva pour se rendre à la commode située aux pieds du lit.

Après avoir léché le gode un instant, j’ai mouillé mon petit anneau pour l’introduire en moi. Il est passé tout seul ou presque, signe d’un désir de folies sodomites peut-être. Mes fesses se sont posées sur a commode, enfonçant en moi le gode jusqu’au plus profond de mes reins. Et là, jambes écartées face au lit pour qu’il me voit bien, je me suis caressée en l’allumant, mes mains devenaient folles.

Je commençais à haleter franchement lorsqu’une vague de chaleur m'envahit. J'ondulais et remuais les fesses au rythme de la pression de mes doigts sur mon clitoris tout en malaxant ma poitrine.
La jouissance était sur le point de me submerger lorsque la sonnette de la porte retentit et m'interrompit un instant en plein élan. Mon homme a crié « entre » et m’a ordonné de continuer. Un de ses amis est entré silencieusement dans la chambre, malgré ma gêne j’ai continué, la situation gênante m’excitait. La sonnette a retenti une seconde fois, c’était un autre ami venu assister à mon humiliante exhibition. J’ai implosé, explosé, j’ai fait fontaine en soulevant totalement les pieds du sol pour m’empaler plus encore.

La sonnette maudite ramena mes pieds sur terre au sens propre comme au sens figuré. Je me suis levé d'un bond, le petit gode se dissimula dans mes vêtements jetés sur le sol, j’arrangeait ma jupe et m'avançait jusqu'à la fenêtre pour voir partir mon homme, il avait oublié ses clés.

Le soir même je lui ai tout avoué, il m’a obligée en guise punition à recommencer, se fut bien plus dur que la matin même mais quand il a décidé de prendre la place de gode, je suis devenue chienne.

Et vous, allez-vous oser avouer vos plaisirs solitaires sur le forum ?

dimanche 27 octobre 2013

Chasteté mon rêve s'est enfin réalisé

Chasteté mon rêve s'est enfin réalisé

Cage de chastetéUne modératrice de Fessestivites m'a gentiment expliqué que mon annonce n'était pas claire puis que ma façon d'aborder les femmes dominatrices n'était pas la bonne. Comme cela faisait des années que je surfais en vain pour n'arriver à rien sauf sur des professionnelles, j'ai décidé de suivre ses conseils sur son site. Il est même allé jusqu'à m'aider à faire mon annonce. Après tout, je n'avais rien à perdre à suivre ses conseils.
Il m'avait également prévenu que ce serait long car trouver une Maîtresse célibataire qui en plus serait en recherche d'un homme pour vivre une vie de couple représente beaucoup de choses à faire coïncider en termes de paramètres.
En février 2012, l'idée d'adresser un email de bonne Sait Valentin à toutes les Maîtresses m'est venue, je n'ai eu que trois réponses dont une qui allait me permettre de réaliser mon rêve de vie. Après x et x échanges par email puis sur le forum BDSM sur lequel je me suis exprimé en faisant attention à mes propos, la belle a accepté de me parler en privé sur le chat et même de se montrer en webcam quand nous étions en privé.
Comme me l'avait indiqué le webmaster, au lieu de lui parler de mes désirs, je me suis intéressé à elle dans tous nos échanges et c'est elle qui un jour m'a demandé de lui parler de mes envies et fantasmes. Je lui ai alors expliqué que je désirai. Ma réponse fut claire.
Je désirais vivre une vie de couple normale mais avec une femme dominante que je prendrai plaisir à rendre heureuse mais qui accepterait de prendre en charge ma sexualité voir même de gérer ma cage de chasteté. Je lui ai indiqué que je n'étais pas une larve dans la vie. J'ai ensuite ajouté que si j'acceptais avec grand plaisir de me soumettre sexuellement à ma femme, si une affinité naissait entre nous je ne serai jamais un compagnon carpette.
Ma réponse lui a plu, (ouf) et elle m'a demandé sur le chat de lui donner mon numéro de téléphone en privé, chose que j'ai faite immédiatement. Son appel n'a pas tardé, nous sommes restés trois heures au téléphone........ Rendez-vous fut pris chez elle pour le vendredi suivant mais sans que je connaisse son adresse. Je devais l'attendre assis à la terrasse d'une brasserie de sa ville à 18h avec un sac de vêtements pour le week-end et ma cage de chasteté sur moi ainsi que toutes les clés du cadenas.
J'ai pris le risque de faire 200 kilomètres pour rien et d'aller à ce rendez-vous et j'ai bien fait car depuis nous ne nous sommes plus quittés hormis le temps de l'organisation pratique de mon déménagement dans une ville plus proche de chez elle. En fait, je faisais 80 kilomètres aller retour pour aller travailler, en déménageant je n'en faisais plus que 60.
Le premier week-end j'ai dû me soumettre à ses caprices qui en fait étaient très softs, par contre, nous sommes allés acheter un cadenas à combinaison pour ma cage de chasteté. Elle me l'a posé elle-même le dimanche soir avant que je ne reprenne la route pour rentrer chez moi le cœur chamboulé. Toute la semaine nous avons échangé de messages par email et en chat privé, elle me racontait ses journées, je lui racontais les miennes, elle jouait un peu les inquisitrice en me demandant de lui montrer ma cage de chasteté que je porte avec fierté depuis 2012 pour ma Maîtresse d'Amour. En janvier 2013 j'ai déménagé pour venir m'installer chez elle.
NOTRE VIE BDSM
Je ne vous parlerai pas ici de notre vie vanille ni des travaux que j'ai fait dans la maison, vous n'en avez rien à faire, mais plutôt de nous dans notre vie BDSM.
Vous l'avez compris, je suis sous cage de chasteté 24h sur 24h ce qui n'est pas incompatible à de la tendresse et à de l'amour. N'étant pas maso, ma Maîtresse est très modérée dans ses pratiques SM avec moi, bien que d'après elle je progresse. Ma Maîtresse aime que je la masse, que je la caresse et que je lèche son intimité pour la conduire au plaisir. Son plaisir étant mon plaisir, je peux affirmer que je m'investis totalement dans cette tâche avec conviction et passion car j'adore cela. J'aime la sentir vibrer sous ma langue quand mes doigts fureteurs fouillent la vallée de tantale faisant tourner la tête aux hommes.
Pour assouvir mes besoins, nous avons essayé le milking mais sans succès, j'ai donc le droit quand elle le décide de me masturber devant elle et d'éjaculer sur ses très jolis pieds. Là où c'est moins amusant c'est que je dois les lécher ensuite pour « déguster » ma semence..... Une fois par mois en moyenne voir un peu moins, nous faisons l'amour de façon conventionnelle, mais ma sadique de Maîtresse adorée n'étant pas très portée sur la pénétration fait tout ce qu'elle peut pour que je termine très vite. Elle appelle cela la pollution mais l'accepte malgré tout car elle sait que je l'aime et que je n'ai pas pour simple objectif de me vider les couilles. Après chaque rapport sexuel, nous pratiquons le facesitting pendant lequel je dois la lécher pour qu'elle soit propre avant de la faire jouir avec ma langue qu'elle adore.
Ne pensez pas que nous ne faisons que ça, nos étreintes et caresses intimes sont très fusionnelles, tout comme nos baisers fougueux. Elle a trouvé son équilibre affectif, câlin et sexuel ainsi, cet équilibre vient à ravir compléter notre vie de couple. De mon côté, je suis ravi même si je n'aime pas mon sperme mais pour ma belle que ne ferais-je point ? Me révolter ? J'ai essayé une fois, je suis resté 30 jours sous cage sans aucune pause hormis la toilette et cela m'a rendu fou.
Merci de m'avoir lu
Ecrivaillon

Ma chef se découvre nurse sadique

Ma chef se découvre nurse sadique

Auteur : Ecrivaillon


J’écris des histoires ABDL sans pour autant franchir le pas car j’ai trop peur que cela se sache et surtout que ma femme l’apprenne. Si pour voir j’ai une fois osé acheter des couches, j’ai abandonné les 9 restantes du sac dans une poubelle. La seule fois où j’ai essayé j’ai trouvé ça sympa mais si ma femme découvrait ça, ce serait le divorce assuré.

Au bureau, lors de mes heures de liberté et le soir, j’écris donc des textes où j’utilise les noms de personnes qui travaillent avec moi comme acteurs. Ma chef de service est d’une beauté à couper le souffle mais elle n’est pas chef pour rien…. De fait, son profil en faisait dans mes fantasmes une nurse autoritaire. Léa est devenue « Maman Léa » ou « Nurse Léa » une professionnelle très sévère.

LE GROS BUG

Lorsqu’ils ont mis en place le réseau informatique pour permettre aux personnes de se communiquer des pièces par ordinateur et ainsi économiser le papier et l’encre, je ne me suis pas méfié. Ma chef de service a découvert mes textes à cause de mes textes dont le titre était « Léa chef de sévices », « Nurse Léa devient diabolique », « Léa a un amant soumis » …..
Mes longues descriptions de sa personne et des lieux font qu’il m’était impossible de prétexter que ce n’était pas d’elle dont je parlais ! ! ! Convoqué chez le directeur, j’étais convaincu que j’allais me faire licencier. Je passe sur la remontée de bretelles qu’il m’a faite pour en venir à la suite bien plus ennuyeuse.

Pendant leurs échanges à mon égard, j’ai découvert que Léa et le directeur sont des amis quand il lui a parlé de son gazon, de ses arbres puis de ses clôtures en mauvais état. Leur discussion ne laissait aucun doute sur le fait qu’ils se voient en dehors du travail. Plutôt que de me licencier, de détruire ma réputation puis mon image voir même mon couple, ils m’ont proposé vingt heures de travail d’intérêt général chez Léa, Léa étant la seule décisionnaire des tenus vestimentaires et sanctions pouvant tomber pendant ce travail. C’était ça ou le licenciement avec tout ce qu’il s’en suit.

J’ai accepté de signer l’avertissement qu’il m’a remis en main propre, avertissement indiquant bien les motifs, ce qui en droit social est tout à fait légal. Par contre, rien n’indiquait les heures de travail d’intérêt général chez Léa. Juste avant de me congédier, Léa m’a fait voir une clé USB en m’indiquant qu’elle avait une sauvegarde de mes écrits et une copie de mon avertissement. J’étais mal de chez mal……

……………………………

Le samedi suivant j’étais convoqué officieusement chez Léa à 9h avec un bleu de travail et des changes complets pour adulte. Connaissant la rigueur de ma chef de service, je suis arrivé chez elle dix minutes avant l’heure car un retard avec elle aurait forcément été sanctionné.

Ma première humiliation

Léa m’a ordonné de mettre un change complet devant elle ce qui m’obligea à quitter le bleu de travail et à lui montrer mes fesses. J’étais blême et mort de honte. Juste avant que je remonte le bleu de travail, elle a tenu à rajouter du scotch par-dessus en m’indiquant que c’est ce qu’elle faisait pour la nuit à sa mère incontinente d’un naturel très agité. A la suite de quoi ; elle m’a tendu un biberon de café que je dus boire devant elle avant d’aller tondre son gazon. Ce café était dégueulasse et le boire au biberon ne me permettait pas de faire « cul-sec » pour m’en débarrasser au plus vite. Dix minutes de torture mentale plus tard, j’attaquais la tonte de son gazon. Le bleu de travail relativement large dissimulait bien la couche, j’ai donc pu travailler sereinement. Vers 10h30, alors que j’avais presque terminé, elle m’a appelé et fait boire un second biberon de son café toujours aussi ignoble avant de m’indiquer qu’ensuite je devait tailler les haies et surtout bien ramasser le produit de la taille à mettre en sac.

Vers 11h, ma vessie se révolta ce qui m’obligea à faire pipi dans la couche, chose difficile quand on sait que votre chef de service risque fort de le savoir. C’est lorsque j’ai entrepris de ramasser les feuilles de sa haie que je fus pris d’une forte envie de déféquer. Quand on se baisse pour ramasser des feuilles, il est très difficile de résister à la « poussée interne » si vous voyez ce que je veux dire…. J’y suis parvenu mais ce fut horriblement dur.

12h l’heure de ma libération ayant sonné, je me suis présenté à ma chef de service en lui indiquant que j’avais terminé mes trois premières heures. Cette garce voulue vérifier le travail effectué ! Je l’ai donc suivi avec une boule sur l’estomac et une énorme envie de déféquer. Je n’en pouvais plus et elle se marrait en m’obligeant à ramasser quelques feuilles oubliées ci et là. Quand je lui ai demandé d’aller aux toilettes sa réponse fut catégorique

- C’est hors de question, dans vos textes, la sadique Léa n’aurait pas permis ça, donc respectons vos écrits. Ou vous faites sur vous ou vous vous retenez. D’ailleurs je dois partir, vous êtes donc libre pour aujourd’hui. Samedi prochain, rendez-vous à la même heure.

Léa a accepté dans sa grande mansuétude de conserver les couches chez elle quand je lui ai expliqué que cela serait sûrement une cause de divorce si ma femme les découvrait, par contre elle m’a congédié en me laissant avec mon horrible envie. J’ai résisté mais trouver un lieu isolé dans la nature pour faire et me débarrasser de la couche fut compliqué. J’ai compris au moment de la libération le pourquoi son café est aussi ignoble…..

………………………

La semaine se déroula normalement sans aucune allusion à mes soucis, mais mes goûts pour l’écriture au bureau se sont arrêtés net.

LES QUATRE SAMEDIS SUIVANTS

Le processus fut identique, la couche, le café, le travail et le retour toujours aussi difficile sauf que cette fois je connaissais le lieu isolé et j’avais du papier toilette.

Le cinquième samedi fut tout autre et rude car l’imagination de Léa va au-delà de ce que j’avais imaginé dans mes textes. Furieuse après-moi parce qu’il y avait une coulure sur la peinture de la clôture, elle m’imposa de me coucher sur ses genoux pour me donner une fessée d’une force rare pour une femme avec des bras aussi fins. J’avais les fesses en feu quand elle s’est enfin arrêtée. Et là, au lieu de me permettre de me relever elle m’a mis deux suppositoires dans les fesses malgré mes réfutations. Lorsque j’ai enfin pu me lever le duel de nos yeux sentait la poudre. J’ai mis la couche et le scotch avant de boire sa merde de café au biberon que j’aspirais comme un malade avant de foncer dans le jardin pour ne pas faire une bêtise.

Trente minutes plus tard, l’envie de déféquer est devenue énorme, j’avais comme des bulles dans les intestins et l’anus brûlant. La scato étant une barrière que je ne franchirai jamais je suis allé voir Léa pour la supplier de me laisser aller aux toilettes. Elle commença par refuser mais en voyant que j’allais faire une bêtise, elle m’a proposé une alternative à prendre ou à laisser.

- Tu me lèches les pieds ou tu chies dans ta couche, ou tu te barres et on ressort ton avertissement !

Ne voulant pas perdre mon travail et peut-être ma femme ni faire dans ma couche, je n’ai pas eu d’autre choix que d’accepter son humiliante alternative. Je l’aurai bien étranglée ! ! ! Hautaine, elle me regarda embrasser ses pieds un moment avant de me rappeler qu’elle avait dit « lécher ». Les crampes dans mon ventre m’ont convaincu d’abdiquer pour aller aux toilettes avant qu’il ne soit trop tard. J’ai donc léché ses pieds que j’aurai trouvé magnifiques en d’autres circonstances.

Libéré de cette obligation et des soucis de mes intestins, trente minutes plus tard je reprenais la peinture de la clôture avec des idées noires dans la tête. J’en pissais de rage dans ma couche quand un pet malheureux m’a rappelé que je devais me contrôler encore. Cette mâtiné fut horriblement longue mais sur le chemin du retour, dans mon lieu isolé, j’ai pu constater qu’il n’y avait pas trop de dégât dans la couche.

LES DEUX DERNIERES HEURES

Les deux dernières heures, le dernier samedi fut aussi rude qu’original. Léa m’attendait en tenue de dominatrice ce qui me surpris au plus haut point. Maquillée et ainsi vêtue, elle était d’une beauté à vous couper le souffle.

- Petit soumis tu vas découvrir un autre monde mais tu as intérêt à être sage sans quoi, tu sais ce qu’il t’attend. J’ai envie de m’amuser alors tu vas être mon jouet. Tu te tais et tu te mets à poil immédiatement.

N’étant plus à une humiliation près, je me suis exécuté et là où j’ai commencé à prendre peur c’est quand elle m’a fait mettre les mains dans le dos pour les menotter. Léa m’a mis un collier de chien auquel elle a accroché une laisse pour me conduire sans douceur dans une partie de sa maison que je ne connaissais pas. Un donjon ! Léa a un donjon chez elle. Conduit au centre de cette pièce magique pour mes yeux car c’est le premier que j’en voyais en vrai, je me suis vite retrouvé dans une position délicate. Elle passa le crochet d’un treuil dans mes menottes et les fit remonter vers le plafond. Pour le pas trop souffrir j’étais obligé de me pencher en avant. Elle posa ensuite une barre entre mes pieds pour m’obliger grâce à des bracelets à les garder écartés. J’étais fait comme un rat. Sa main gantée de cuir attrapa mon sexe qu’elle se mit à serrer puis à maltraiter. J’avais mal mais en même temps, cette situation me troublait.

- Je vois que tu aimes ça petit soumis, on va bien s’amuser tous les deux. Me dit Léa en attachant une corde autour de mon sexe qu’elle tira fortement en arrière ce qui m’aurait plonger la tête en avant s’il n’y avait pas eu le câble.

Et là, au lieu de lâcher prise elle entrepris de me donner des coups de fouet sur les fesses. Le fout était très court mais à chaque coup je faisais un bond en avant ce qui se répercutait sur mon sexe. Mes cris et plaintes restèrent sans effet, mes fesses se sont rapidement enflammées sous les coups répétés. La surprise est venue quand elle s’est arrêtée et a lâché la corde.

- Regarde soumis, tu bandes comme un porc et sans ma permission. Tu n’as pas honte ?

Quand j’ai baissé les yeux pour regarder mon sexe, je fus surpris de constater qu’elle avait raison. Mes réflexions et ma confusion furent rapidement perturbées par un trait de feu qui traversa mes fesses suivit de deux autres aussi puissants. Elle me tannait le cul avec une canne anglaise putain que ça fait mal. Elle prit quelques photos puis s’équipa d’un gode-ceinture recouvert d’un préservatif avant de s’approcher de moi en de m’ordonner de le sucer. Moi sucer une bite ! Même en latex ce fut dur dur. Dans la position où j’étais et avec les fesses en feu, je n’ai pas eu le choix. Quelle horreur ce truc c’est dégueulasse et cela goût de caoutchouc. J’avais peur de ce qu’elle pouvait faire avec et je ne me suis pas trompé. Elle a mis du lubrifiant sur le gode et a décidé de me sodomiser malgré mes réfutations. Ma virginité ne fut pas un problème pour elle contrairement à moi. J’ai vraiment eu mal et elle s’en moquait royalement. Chaque coup de butoir m’arrachait un cri, un cri qui l’amusait et me valait des commentaires sarcastiques. Cela n’a pas duré longtemps mais m’a paru des heures.

Après m’avoir mis deux suppos dans les fesses et une couche, sans me détacher elle refit des photos me fit boire mon dernier biberon avec son café minable contenant des laxatifs. Le biberon bu, elle redescendit le câble et mes mains ce qui soulagea mes épaules martyrisées.

- Les choses sont simples maintenant, je vais te libérer et tu vas rentrer chez toi. Une fois par mois tu viendras t’occuper de mon jardin, si tu respectes cet engagement, les photos de toi en couche dans mon donjon resteront sur mon ordinateur tout comme celles où tu tondais en serrant les jambes avec un gros cul. Je suis convaincu que tu garderas le silence sur tout cela n’est-ce pas ?

- Oui Madame.

- Je te libère et tu te casses avant qu’il me revienne des envies de m’amuser mais lundi je veux que tu viennes travailler en couche. Je vérifierai comme tu peux t’en douter.

Cette fois, sur le chemin du retour, avant même que je n’arrive à mon lieu isolé le laxatif et les deux suppos qui font des bulles dans les fesses ont eu raison de mon anus martyrisé une heure avant.

La salope m’avait eu !