Extrême ABDL chez une nurse sadique
Par Erivaillon, membre du réseau Fessestivites
Lorsque vos revenus passent de 1500 euros mensuels à 10 000 euros par
jour, grâce à un héritage votre façon de vivre change. Si je suis resté
me semble t’il celui que j’étais je me suis arrêté de travailler pour
me consacrer à mes passions en m’offrant toutes les fantaisies dont j’ai
rêvé. Etant
ABDL,
le net m’a permis de m’offrir toutes les tenues animant mes fantasmes
et mes délires les plus fous avant de m’offrir un week-end dans une
nurserie.
Lors de la réservation, j’ai tenu à avoir la
patronne au téléphone en lui proposant par email de tripler voir plus le
montant de sa prestation en échange d’un régime de faveur. Très
suspicieuse, elle a accepté cette conversation téléphonique. Au départ
elle était convaincue que je voulais du sexe mais je l’ai détrompée en
lui expliquant que je désirai juste vivre mes passions
ABDL dans
une logique un peu extrême. Une fois rassurée, elle m’a demandé de
régler d’avance les 3000 euros lui permettant d’acheter du matériel
supplémentaire puis de lui adresser un email confirmant mes souhaits,
chose que j’ai faite le jour même.
Le programme que je demandais à Nurse Sabrina consistait à me mettre en immersion totale de gré ou de force dans le monde d’un
ABDL un peu comme si
j’avais été enlevé.
Lors de cette demande, je lui ai confirmé par écrit qu’elle pourrait
utiliser la force et les punitions si elle souhaitait pour me permettre
de vivre un week-end d’enfer.
………………………..
Nous
sommes vendredi, il est 16 heures, le taxi me dépose devant une maison
individuelle de la région parisienne. Si mes fantasmes m’ont emmené
avant le jour J à pratiquer plusieurs l’onanisme pour apaiser la
pression, une fois devant la porte, sauter le pas est soudain plus
difficile que je ne le pensais. « Vous sonnez et vous entrez » m’avait
dit Nurse Sabrina. Sonner est facile, pousser la porte de la maison est
plus difficile, la honte et la peur me submergent.
Ils sont
trois à m’accueillir chaleureusement, Nurse Sabrina une belle femme
brune, Anna, une immense canadienne bâtie comme une championne de
Volley-ball et un homme brun qui garde un regard fermé contrairement aux
deux femmes. Immédiatement après la poignée de main conventionnelle,
Anna prend ma petite valise et nurse Sabrina la main pour me conduire à
la nurserie aménagée dans leur garage. Cette pièce est tout à fait comme
les photos de leur site internet, il y a un lit à barreau pour adulte,
un lit médicalisé, une table à langer, des jeux de bébé, les murs sont
agréablement décorés.
Conduit devant la table à langer, je me
laisse dévêtir par nurse Sabrina rapidement rejointe par l’immense Anna
venue l’aider. Etendu nu sur la table à langer, je n’en mène pas large
lorsqu’elles entreprennent de me talquer avant de me mettre une couche
gigantesque que je n’ai jamais vue auparavant.
Cette couche plastifiée
à l’extérieur est très grosse au niveau de l’entrejambe et a la
particularité de remonter quasiment jusque sous mes bras avec des
attaches auto collantes supplémentaires. Elles y rajoutent deux inserts
avant de la refermer avec beaucoup d’attention en me parlant comme si
j’étais un bébé.
Nurse Sabrina me fait asseoir puis m’attire
contre sa poitrine généreuse pour me donner un biberon. C’est la
première fois que je bois au biberon depuis mon enfance, le contenu ne
vient pas rapidement, cela me fait un drôle d’effet mais je joue le jeu
par moi demandé avec attention. Si sa poitrine est très confortable,
nurse Sabrina insiste pour que je termine son jus d’orange qui est
franchement dégueulasse pendant qu’Anna me met des moufles se fermant
avec des cadenas.
Le biberon terminé, elles me font enfiler ensuite un gros
body en latex
mi-cuisse dont la fermeture ne se fait pas à l’entrejambe mais du
nombril au cou par une fermeture éclair se cadenassant au niveau du cou.
Avec ça, je ne risque pas d’enlever ma couche !
L’autre surprise porte sur une sorte de culotte à mi chemin entre un casque intégral et des chaussures de ski.
Nurse Sabrina et Anna se mettent à deux pour me mettre cette culotte
quasi ronde très originale. Une fois mes fesses et le bas de mes reins
posés à l’intérieur de cette coque, elles referment le devant et
l’ajustent avec les mêmes dispositifs que l’on trouve sur les chaussures
de ski à une nuance près, des cadenas ! Histoire de me pousser encore
plus dans les contraintes, nurse Sabrina me pose un petit harnais équipé
de deux sangles qu’elle relie à l’anneau de mes moufles.
Au
moment de me faire asseoir, elles ne sont pas trop de deux, car cette
culotte en dur me ferait rouler. Pendant qu’Anna me maintient en
équilibre, nurse Sabrina pose des bracelets aux chevilles avec une
petite chaîne qu’elle cadenasse de façon à ce que je ne puisse pas trop
écarter les jambes. Anna me prend en poids pour me déposer par terre en
me faisant asseoir. Lorsqu’elle me lâche, la forme ronde et solide de la
culotte ressemblant à un casque intégral me fait perdre l’équilibre et
chuter sur le côté. Elles sont pliées de rire.
- Et oui, tu
vois, les bébés ont parfois du mal à rester assis, tu vas vivre les même
sensations, amuse-toi bien ! Me dit Anna en m’aidant à me relever
pendant que Nurse Sabrina me colle une grosse sucette dans la bouche
dont elle fixe solidement les sangles derrière ma nuque. Cette sucette
ressemble à un bâillon, elle est incrustée dans un large bandeau de cuir
et d’une mentonnière, la recracher est impossible.
.
- Attention on te lâche ! Me disent les filles amusées.
Cette fois, je reste bien droit en essayant de me maintenir en
équilibre avec les jambes, le fait de ne pas pouvoir les écarter ne
m’aide pas. Pour comprendre imaginez que vous êtes assis sur un ballon
avec vos pieds entravés devant vous et que vos bras sont limités dans
les mouvements…….
Elles m’abandonnent à mes réflexions et à la
concentration nécessaire pour ne pas que je me fracasse en tirant la
porte derrière elles. J’ai voulu de la contrainte ABDL, je suis servi !
Muré dans le silence de mes pensées et ma position dès plus périlleuse,
j’observe les lieux avec attention en essayant d’imaginer la suite de
ce week-end que j’ai ardemment souhaité dépassant déjà de très loin ce
que je m’étais imaginé. Une envie d’uriner me vient, je me laisse donc
aller bien volontiers dans la couche, chose déjà vécue en solitaire à la
maison à la différence près qu’elle n’avait pas la taille de celle-là
et que j’étais seul. Les yeux fermés je savoure cet abandon, ce qui
s’avère être une grossière erreur car n’étant plus concentré sur mon
équilibre l’appel du parquet est soudain inévitable.
Avec ce
casque en guise de culotte, les mains et les pieds entravés, me relever
est impossible. Vautré sur le côté à même le sol, je commence à me
sentir un peu con. Que faire à par attendre qu’elles reviennent ? A
force d’attendre, l’ennuie puis la somnolence s’installe lentement si
bien que les filles me font sursauter à leur retour.
Et là,
une nouvelle surprise m’attend ! Elles ont emmené avec elle un Youpala
pour adulte ! Elles me libèrent les jambes, Anna m’attrape à bras le
corps pour me soulever pendant que nurse Sabrina s’occupe de mes jambes
qu’elle fait glisser dans son Youpala géant.
- Avec l’argent
que tu m’as donné en plus, j’ai pu m’offrir ce Youpi. M’indique nurse
Sabrina. C’est un appareil modulable de verticalisation et de
déambulation, style "youpala". Il est conçu pour faciliter la marche en
position verticale. Il est équipé d’une tablette plexiglass
d’une
culotte d’assise très large Appui dos et appui thoracique réglables
permettant de maintenir la personne droite. Pour une nurse c’est génial.
Je vais l’appeler le YOUP-ABDL ! Il a un dispositif de blocage des
roues directionnelles permettant de bloquer les gros bébés adultes, nous
avons modifié la culotte d’assise pour qu’elle soit très large et ne
permette pas de marcher debout ainsi qu’une série de dispositifs
d’entraves. L’adulte prisonnier d’un Youp- ABDL ne peut pas se lever et
se déplace très difficilement tant ses jambes sont écartées. Avec tes
poignets entravés, tu vas être aussi agile qu’un véritable bébé dans un
Youpala.
Nurse
Sabrina entrave mes bras sur le côté pendant qu’Anna règle le
dispositif m’obligeant à rester bien droit. A peine terminé, elles
m’offrent un tour de Youpala en m’emmenant dans la maison pour me
conduire devant la table la cuisine. Un délicieux parfum de cuisine
enflamme aussitôt mes papilles gustatives me laissant à penser que je
vais faire un repas de roi. L’assiette de bouillie verte qu’elle pose
devant moi avant de me mettre un bavoir n’a pas du tout l’aspect des
fragrances de la cuisine. Nurse Sabrina me retire ma sucette et
entreprend aussitôt de me faire manger en me mettant une cuillère de son
infâme bouillie dans la bouche.
- Mais c’est dégueulasse !
- Tu parles trop pour un bébé, mange et tais-toi ! Me répond nurse Sabrina en me collant une seconde cuillère dans la bouche.
Comme c’est vraiment infect, je recrache sur le sol quand soudain, elle
m’attrape par les cheveux et me colle deux gifles monumentales.
- Mais vous êtes conne ou quoi ?
Nurse Sabrina, furieuse, se lève aussitôt, m’attrape par les cheveux et
m’incendie au sens propre du termes en me rappelant qu’on ne parle pas
ainsi à la nurse qu’on a payé pour qu’elle vous fasse des choses de gré
ou de force. L’homme ayant entendu les éclats de voix surgit dans la
cuisine les poings serrés en demandant s’il y a un problème. Nurse
Sabrina et Anna le rassure aussitôt en lui répondant que ce n’est qu’un
léger souci d’éducation qui va être rapidement réglé. Nurse Sabrina
m’attrape par le cou et force ma tête en arrière en serrant ma gorge
tout en présentant une cuillère de son infâme bouillie. Totalement piégé
par mes écrits et mes demandes, je ne peux plus revenir en arrière. Le
pire est que j’ai bien indiqué de gré ou de force, mais je ne
m’attendais pas à prendre des gifles. N’ayant pas d’autre choix que
d’abdiquer, je finis par ouvrir la bouche et manger, ou plutôt avaler le
plus vite possible son infâme bouillie. L’assiette enfin terminée et
raclée jusqu’au bout… nurse Sabrina me donne un biberon de son jus
d’orange toujours aussi dégueulasse que j’aspire encore une fois
rapidement pour m’en débarrasser.
- Bien, maintenant gros bébé
nous allons commencer à entrer dans le vif du sujet. Déjà, avec ce que
je t’ai mis dans la bouffe et les deux biberons, tu vas devenir
totalement incontinent pour au moins 48 heures et pour te remonter le
moral, je vais te donner le droit de fumer une cigarette. M’explique
nurse.
Ce qu’elle vient de me dire va bien au-delà de ce que
j’espérais vivre. Je m’attendais tout en le redoutant à vivre le solide
de la couche, mais ici, je sens bien que les choses vont être très
difficiles à vivre. Anna débloque les roues du Youpala pour me conduire
au salon et m’installer devant la télé où défilent des dessins animés.
Elle bloque les roues, me fait fumer et m’abandonne pour aller dîner en
tirant la porte derrière elle.
Dans mon estomac, cela commence
à gargouiller, je n’aime pas les médicaments et encore moins les
drogues. Ne sachant ce qu’elle m’a donné, l’inquiétude commence à monter
en moi. Tant bien que mal et avec beaucoup d’effort, j’arrive à
m’approcher da la porte fermée pour essayer d’entendre ce qu’il se
raconte et peut-être parvenir à en apprendre un peu plus ce sur ce qu’il
va encore m’arriver ce week-end.
- S’il a payé le triple pour le week-end c’est qu’il peut faire mieux et pour plus longtemps. Explique le mari de nurse Sabrina
- Oui tu as raisons, surtout qu’il est célibataire.
- Nous avons ce qu’il faut pour lui donner des envies de plus. Pourquoi
s’en priver ? Lui répond son mari, surtout que j’ai modifié la formule
de ton laxatif en y ajoutant quelques trucs de ma composition
personnelle qui force la régression et génère le bien être.
QUELLE HORREUR !!!!!!! Ce que je viens d’entendre me glace le sang.
………………………
La suite des aventures du gros bébé est publiée ICI dans les histoires du forum ABDL de Fessestivites. L’accès est 100 % GRATUIT et sans engagement.