mercredi 11 décembre 2013

Fouet signal whip

Ce fouet signal whip est une pure merveille réalisée sur commande par ABCplaisir.com avec le cuir et les couleurs que j'ai choisi pour ce modèle.
J'ai plusieurs fouets car c'est une passion pour moi, il y a des personnes qui se ruinent avec une voiture de collection qui consomme 20 litres au 100, moi, c'est avec ce type de matériel, à chacun ses plaisirs.
 
Maître TSM

Soumise sexuelle offerte en viol SM dans une caserne

Soumise sexuelle offerte en viol SM dans une caserne 

Auteur : Ecrivaillon
Fouet signal whip

Fouet signal whip


Maître Charles le sait, il risque gros car il est interdit de faire entrer des étrangers dans la caserne, mais la tentation et le goût du risque l’ont toujours fait vibrer. Il drague et charme les filles soumises avec élégance et classe sur fessestivites.com en rentrant dans leurs fantasmes les plus fous. Respectueux il l’est mais en même temps, dans son gant de velours se cache une main de fer.

Sophie, ou du moins le pseudo Sphie, est celui d’une femme soumise, âgée de 35 ans. Belle comme un cœur, cette brune fantasme sur un enlèvement, du BDSM par des sadiques et du viol, du viol certes, mais en toutes sécurité, le genre de viol qui ressemble à un gang bang.

22 HEURES

Lorsqu’ils entre dans la caserne, Sophie est cachée dans le coffre de la BMW de Maître Charles. Elle porte sur elle une vieille robe de soirée noire qui, elle le sait, va finir sa vie ici, puis une cagoule pour masquer son visage. Un sac près d’elle contient des vêtements de rechange et ses effets personnels. Dans la pénombre de la caserne personne ne peut imaginer que cette BMW conduit une femme en enfer.

A peine sortie du coffre de la voiture, Sophie se met à trembler, le passage à l’acte lui semble bien plus dur que dans ses fantasmes savamment entretenus par Maître Charles lui décrivant sa soirée. Lorsqu’ils entrent dans le hangar numéro 7 dédiés à l’entretien des chars, six hommes sont en rand et au garde à vous. Les voir dans leur uniforme l’a fait frissonner. Cette situation l’excite tout autant quelle lui fait peur. Maître Charles lui a clairement indiqué qu’elle doit elle-même marcher jusqu’au crochet du palan servant à soulever des moteurs. Elle doit elle-même passer dans le crochet la chaîne des larges bracelets qu’il a posé à ses poignés. Par ce geste, elle démontrera aux hommes venus la violer et la tourmenter qu’elle est consentante. A partir de là, ses cris et suppliques ne seront plus entendus.

Sophie regarde le crochet mais n’ose y passer la chaîne de ses bracelets. Maître Charles s’approche d’elle, murmure à son oreille qu’elle ne risque rien hormis vivre ses fantasmes. La gorge serrée, elle lève les bras, présente la chaîne devant le crochet, hésite et ne parvient pas à s’accrocher.

- Allez, c’est l’heure de t’envoler au paradis, ces hommes attendent ! Lui murmure Maître Charles.

Comme si elle ne pouvait plus reculer et animée par l’énergie du désespoir, Sophie passe la chaîne dans le crochet qui aussitôt se met en mouvement pour la piéger. Ses poignets montent doucement au-dessus de sa tête.

- A l’attaque ! Crie Maître Charles

Deux secondes plus tard, les militaires se jettent sur elle et lui arrachent ses vêtements. Affolée, Sophie se met à crier mais il est trop tard pour reculer, Maître Charles lui avait indiqué qu’une fois la soirée lancée, il n’arrêterait pas ses hommes. Un poignard de commando tranche son soutien-gorge pendant qu’un autre coupe son string, en un rien de temps elle se retrouve nue, totalement offerte. Maître Charles apparaît soudain dans son champ de vision avec un fouet signal whip d’enfer fait à ses couleurs par www.ABCplaisir.com

Un claquement se fait entendre, les militaires se reculent aussitôt, le Maître va la faire parler, ou du moins chanter et danser sous son fouet signal whip acheté sur ABCplaisir.com. Les premiers coups modérés qu’il lui donne s’enroulent autour de son corps comme un serpent. L’un d’eux a touché son sein qui pointe aussitôt, avant de finir sa course dans son dos. Pendant plus de quinze minutes, Maître Charles la fouette sans relâche mais sans réellement appuyer les coups, sans quoi, elle serait en sang.

Le masochisme de Sophie l’aide à transcender la douleur. Elle a mal mais en même temps c’est si bon qu’elle en perd la tête. Elle donne aussi bien des coups de pieds qui n’atteignent personne, qu’elle se cambre de plaisir. Lorsqu’il la sent dans la dernière ligne droite de la jouissance, Maître Charles appuie un peu plus ses coups de fouet. Sophie se cambre et s’offre à la lanière avant de pousser un cri de bête que l’on égorge. Les militaires peu habitués à une telle séance s’inquiètent, Maître Charles les rassure et leur désigne le sol entre les jambes de la suppliciée qui vient de jouir. Sur le sol, une large tache encore alimentée de quelques gouttes s’est formée, Sophie est une femme fontaine, elle vient de s’abandonner à l’exquise jouissance.

Maître Charles donne alors l’ordre de « consommer » la suppliciée en donnant carte blanche à ses hommes. En un rien de temps, Sophie n’est plus qu’un pantin de chair animée de convulsions orgasmiques sous les coups de butoir du militaire qui lui a soulevé une jambe et la baise comme un taureau. Suspendue par le palan, elle est rapidement entreprise par un autre militaire attiré par ses fesses striées. Les pieds de Sophie ne touchent plus le sol, portée par les hommes qui se la passent pour la prendre, elle n’est plus qu’un double réceptacle de leur plaisir. Elle pleure parfois, elle crie, ses « oui » s’opposent à ses « non pitié » pendant plus d’une heure sans discontinuer.

D’un signe Maître Charles arrête ses hommes, avant d’étendre une couverture sur le sol froid du hangar. Le palan la redescend sur le plancher des vaches et de la réalité mais Sophie n’est plus là, elle est encore dans la stratosphère des jouissances multiples. Allongée sur le sol, elle continue de trembler et de convulser encore un moment sous les yeux étonnés des militaires.

Lorsque Sophie se calme, Maître Charles fait venir ses hommes autour d’elle et lui ordonne de les remercier en baisant leurs pieds. A l’opposé de la décence, elle baise les pieds et rangers des ses violeurs sans aucune honte, Sophie est comblée, elle vient de vivre grâce à Maître Charles et à eux un fabuleux moment qu’elle n’oubliera jamais.

Congédiés, les militaires sortent en silence et les laissent seuls, pour ce que Maître Charles appelle le retour sur terre. Une demi-heure plus tard, assise sur le siège avant de la BMW la ramènant chez elle, Sophie dort comme une soumise comblée et rassasiée, bien au-delà de ce qu’elle aurait pu imaginer dans ses fantasmes les plus fous.

Ecrivaillon

Le viol vous fait fantasmer ? Venez partager vos fantasmes sur le forum BDSM de Fessestivites

http://www.fessestivites.com/phpBB3/bdsm-et-ses-declinaisons/

mardi 10 décembre 2013

Idées de jeux fétichismes médicaux et uro

Idées de jeux fétichismes médicaux et uro

Dans sa boutique, www.ABCplaisir.com propose des accessoires médicaux à usage unique et de qualité. Ils ont identiques aux produits vendus aux personnes souffrant d'incontinence ou nécessitant un usage médical.
Si ce sont des produits stériles et médicaux, il est possible d'en détourner l'usage à des fins de pratiques érotiques uro ou pour de simples jeux humiliation.
Exemple d'idées :
Penilex
Un penilex c'est ce qui est ci-dessus. C'est comme un préservatif sauf qu'il est percé au bout et équipé pour recevoir un tube.

BONNE OU MAUVAISE GESTION Mettre un penilex puis attacher une poche à urine (raccord + tuyau + poche à attacher à la jambe puis partir se balader avec la personne soumise. (Supermarché / cinéma / resto / boite de nuit / club SM / .....) Si la gestion du temps/volume est bonne, il n'y aura pas de fuite, dans le cas contraire....
DOUCHE Mettre un penilex puis une poche à urine (raccord + tuyau) et pratiquer comme pour une douche. Auto douche : pour un autobondage par exemple avec le tuyau placé en hauteur au-dessus de la personne.
LAVAGE INTERNE Mettre un penilex puis une poche à urine (raccord + tuyau) et couper le tuyau à la longueur voulue pour l'insérer dans l'anus. (Lavement préalable conseillé) Avec ou sans couche, ce jeu génère de drôle de sensations...... à la personne qui se voit imposer cela. Le kit auto lavement est ici
http://www.abcplaisir.com/modules/store/index.php/www.abcplaisir.com/?p=42
RECYCLAGE Mettre un penilex puis une poche à urine (raccord + tuyau) et couper le tuyau à la longueur voulue pour l'insérer dans la bouche ou dans un bâillon uro. Pour une domination uro ou un jeu de bondage ou d'autobondage, cela génère des sensations.....
sonde bequilléeLes sondes bequillées sont médiales et évidement livrées dans des emballages uniques et stériles!
Celle-ci est pour la présenter sans emballage

JEUX AUTOUR DES SONDES
Même si au niveau de l'hygiène le matériel proposé par ABCplaisir est irréprochable, la pose d'une sonde urologique nécessite un savoir faire. Nous vous déconseillons de l'utiliser sans une formation. Maître Pierre du site de Fessestivites propose de vous guider.
JOUER AU DOCTEUR / l'INFIRMIERE en sondant vos soumis. L'urine appelée parfois champagne doré peut ensuite être jetée ou consommée. L'avantage avec ce champagne est qu'il ne fera pas monter le taux d'alcoolémie.
Les sondes sont ici
http://www.abcplaisir.com/modules/store/index.php/www.abcplaisir.com/?p=13
RECYCLAGE reprendre le principe du pénilex ci-dessus mais avec une sonde. L'avantage de la sonde est que la personne sondée ne peut absolument pas se contenir et doit boire au fur et à mesure que l'urine arrive.
LAVAGE INTERNE reprendre le principe du pénilex ci-dessus mais avec une sonde. (Lavement préalable conseillé) Avec ou sans couche, ce jeu génère de drôle de sensations...... à la personne qui se voit imposer cela et qui n'est en totale incapacité de gérer.
CAGE DE CHASTETE
Le pénilex + la poche d'urine peuvent être utilisés avec certaines cages de chasteté et servir de « jouet » ou gérer :
1°) Les pipis nocturnes plus fréquents avec une cage
2°) Limiter les odeurs (ce qui ne dispense pas de toilette)
3°) Permettre de faire pipi debout (Utile pour certains emploi où l'accès aux toilettes n'est pas aisé)
BUCHON ANAL
Le bouchon anal est utilisé par les personnes souffrant d'incontinence fécale. Il est possible :
1°) De les utiliser après une soirée hot (fist et autre...) pour limiter d'éventuelle fuite et garder ainsi qu'un bon souvenir de la soirée.....
2°) De les détourner de leur usage.

FORMATION / SENSIBILISATION

Nous vous rappelons que MaîtrePierre34 sur le site de www.Fessestivites.com propose de vous guider gracieusement si vous le désirez pour les sondes.
MaîtrePierre34 n'est en aucun cas un représentant ou salarié de la boutique www.ABCplaisir.com mais un ami qui sait de quoi il parle.
Sa proposition étant totalement désintéressée il ne fait pas de prestation de service. Il convient donc de mettre les formes d'usage pour une rencontre ou un échange par internet puis de considérer qu'il n'est pas à notre ni à votre service.



Les fantasmes des hommes sous cage de chasteté

Les fantasmes des hommes sous cage de chasteté

cage de chasteté
Quels sont les fantasmes inavoués des hommes sous cage de chasteté ?
EN PREAMBULE
Un homme sous cage de chasteté peut avoir d'autres fantasmes ou aucun de ceux présentés dans cet article réalisé grâce à des tonnes d'information collectées sur Fessestivites.com
Il peut être utile à une épouse de savoir ce qu'il peut se passer dans la tête de son mari quand il est sous cage de chasteté.
Il est important de savoir que les effets et fantasmes présentés ci-dessous n'arrivent qu'après quelques jours da chasteté. L'effet cage n'est pas immédiat, le premier jour, c'est juste « chiant ».
QUELQUES FANTASMES COMMUNS CHEZ DES ENCAGES
cage de chasteté
1°) Madame gère sa sexualité.
Elle impose la cage de chasteté, c'est elle qui ferme le cadenas et qui conserve les clés qu'elle cache soigneusement. Si elle impose à son mari de lui faire des massages et des tonnes de bisous coquins ou non avant d'ouvrir la cage pour un câlin conventionnel, ce n'est que mieux pour la libido de monsieur et le plaisir de madame.
cage de chasteté
2°) Madame l'excite et le prive
Elle joue avec son excitation et son sexe sous cage de chasteté. Lorsqu'elle touche sa cage, embrasse ou caresse ses testicules, monsieur grimpe aux rideaux et si en prime, elle joue la sadique en lui indiquant, de rester devant la télévision pendant qu'elle va se masturber, (ou juste lui faire croire) ce n'est que mieux.
cage de chasteté
3°) Aux pieds des femmes
Quand s'associent deux fétichismes, la chasteté et le fétichisme des pieds, c'est encore mieux. Si madame met l'homme à ses pieds et joue avec sa cage de chasteté avec ses pieds, qu'elle peut aussi se faire lécher, certains hommes atteindront le nirvana. Quelques pressions ou petits coups de pieds légers sur ces boules si fragiles peuvent parfois déclencher des écoulements de sève...
cage de chasteté
4°) Les effets sadiques de la surprise
Monsieur pensait ce soir être libéré et pouvoir câliner. Madame joue avec la cage puis lui indique qu'elle rajoute 2 jours supplémentaires pour faute par exemple. Jouer avec la surprise et la frustration de monsieur est parfois aussi intense psychologiquement qu'une jouissance qui ne durera que quelques secondes.
cage de chasteté gode ceinture strapon5°) L'ultime frustration
Madame a envie d'une tendre pénétration et de sentir vibrer le corps de son mari. L'usage d'un gode ceinture ou d'un accessoire phallique à mettre à la taille de l'homme sous cage de chasteté le rendra fou, mais fou d'amour aussi car la frustration le rend dingue. Si après quelques mouvements de gode ceinture elle lui impose de la lécher et de le faire jouir, dans sa tête, il devient l'esclave sexuel et le sex-toy de madame.
cage de chasteté
6°) L'humiliation
Si madame lui impose la nudité puis quelques tâches ménagères auxquelles elle assiste ou mieux encore fait assister une amie, la pression psychologique atteint son paroxysme.
cage de chasteté
7°) Le larbin sexuellement forcé
L'usage d'un accessoire anal par exemple en complément de la cage de chasteté, transforme un homme en véritable femme de ménage attentionnée. Mesdames, si votre mari fantasme sur la cage de chasteté, vous constatez que lui accorder ce plaisir, n'a pas que des inconvénients.
cage de chasteté sodomie strapon
8°) Sodomie de l'homme, soumission de l'homme
Celui qui pénètre domine, ou du moins, en donne l'impression. Indépendamment des éventuels plaisirs de la sodomie, un homme « baisé » par sa femme se sentira plus encore sous sa domination. A cela se rajoute que la cage de chasteté fait parfois ressortir une certaine féminité chez beaucoup d'homme qui éprouvent le besoin d'être féminisé et de jouer le rôle de la femme ou d'y être forcé. Mettez-lui une paire de bas et portez un gode ceinture, puis observez sa cage de chasteté. S'il se met à bander dans sa cage, vous saurez tout.....
cage de chasteté féminisation9°) Sous-vêtements choisis et imposés.
Quitte à être obligé de s'asseoir pour uriner, l'homme à qui l'épouse impose le sous-vêtement féminin à la maison, se sentira humilié mais encore plus soumis ou femme dans sa tête. Lui imposer une petite culotte féminine comme seul vêtement pour qu'il vous fasse le ménage, lui donnera de la motivation pour devenir la fée du logis, surtout.......si vous lui annoncer qu'il aura des jours de cage en plus si c'est mal fait.
cage de chasteté travestissement10°) La peur est un excitant
Pour se faire conduire au restaurant, il n'y a pas mieux. Une femme qui féminise sont mari encagé sous des vêtements « civils » pour se faire conduire au restaurant, pourra sans souci lui imposer ensuite le cinéma ou de faire les boutiques...... Ah, il n'aime pas faire du lèche-vitrine avec vous et les salons de thé ? Vous avez maintenant la solution. Et le pire, dans tout ça, c'est que malgré ses dires, il est fort possible qu'il adore !
cage de chasteté candaulisme11°) Le fantasme d'être cocu
Une femme sachant gérer son mari sous cage de chasteté peut sans trop de souci le conduire à accepter un ou des amants. Le candaulisme ce n'est pas être cocu, ce sont des relations sexuelles extra conjugales consenties. L'homme sous cage de chasteté qui assiste à la relation de son épouse avec un autre homme peut aussi l'accompagner de caresse et de tendres « baisers ». C'est une forme de trio mais avec un mari chaste. Il n'est pas impossible qu'il fantasme d'être attaché aux pieds du lit sur une chaise pendant que madame s'envoie en l'air sous ses yeux.
cage de chasteté cocu12°) Lèche sa semence
Une femme qui aime le candaulisme avec son mari sous cage de chasteté peut aller très loin. Une fois les tests HIV réalisés, elle peut parfois se permettre d'imposer à son mari de lécher là où son amant a déversé sa semence. Beaucoup d'hommes encagés en rêvent mais ne l'avoueront pas.
Sans pour autant aller jusqu'au candaulisme, conserver au congélateur un petit glaçon avec une paire d'éjaculation de votre mari pour jouer le « jeu du cocu lécheur » », peut être une alternative. (Ou une préparation psychologique à l'acte...)
cage de chasteté bisexualité13°) Transformé en « salope » ou en « pute »
Comme un gode ne remplacera jamais un véritable sexe, si madame rêve de voir son mari avec un autre homme, la cage de chasteté ouvre souvent la voie de la bisexualité dite « forcée ». Forcée parce que sa morale et ses tabous peuvent éventuellement s'évaporer si on l'y oblige.....
14°) Plus rare
L'impuissante totale ou une forme de fantasmes sur la castration mécanique par la cage existe aussi dans les fantasmes des hommes sous cage de chasteté. A ce niveau, il est bien de se poser des questions pour essayer de savoir si un problème médical existe, par exemple, la compensation psychologique d'un souci d'érection. Si cela est possible, il est bien d'en parler dans le couple et à son médecin mais ne jugeons pas ce fantasme, si cela permet à l'homme de s'épanouir, c'est son droit.
EN CONCLUSION
Il y a bien d'autres déclinaisons et fantasmes..........., mais cet article n'a pour objectif que d'aborder ce qu'il se passe dans la tête de certains hommes sous cage de chasteté. A chacun sa vie, à chacun ses fantasmes.
N'hésitez pas à venir en parler avec des Maîtresses ou des encagés sur le forum de Fessestivites ici :
OU ACHETER UNE CAGE DE CHASTETE ?
La boutique ABCplaisir.com propose des cages de chasteté à moins de 50 euros.
Si monsieur n'a aucune expérience avec la cage de chasteté, nous conseillons de commencer par une CB6000 S qui dispose de multiples anneaux pour permettre de la régler au sexe de chacun.
Pour en parler rendez-vous sur le forum BDSM de Fessestivites ici
http://www.fessestivites.com/phpBB3/bdsm-et-ses-declinaisons/
ABCplaisir

mercredi 4 décembre 2013

baillon

Baillon

Avec ce baillon clochette la soumise n'a qu'à bien se tenir !

J’adore cette boutique !!!!!!
Il y a des photos superbes et des vidéos de présentation visible gratuitement LE TOP !
http://www.abcplaisir.com/


Chasteté puis couche, ma salope de femme

Chasteté puis couche, ma salope de femme

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Avec mon amie rencontrée sur Fessestivites que je remercie au passage, nous avons exploré les voies interdites du libertinage qui ne nous a pas réellement comblés puis du BDSM. N’étant pas farouche, Lina a accepté de jouer des deux côtés du manche du martinet et s’est offerte à moi plus d’une fois pour des fessées cuisantes et des viols torrides. Pour les viols, je lui attachais les mains à la tête du lit avec une chaînette lorsque nous allions nous coucher et prenais beaucoup de plaisir à lui dire quand je lui faisais l’amour « là tu vas avoir du mal à me dire que tu as mal à la tête…. ».

Si elle adorait les viols du soir, elle aimait nettement moins ceux du matin quand le sexe de l’homme affiche sa plénitude et nous montre les étoiles…. Mon plus gros délire était de la réveiller en la tirant par les pieds et puis de la prendre comme ça à la hussarde sans crier gare. Elle m’a traité de salop plus d’une fois mais comme notre jeu était le « viol » elle ne pouvait y échapper.

Si j’aimais beaucoup la dominer puis la prendre quand j’en avais envie ou me faire tailler des pipes à toute heure, lorsque nous avons décidé de switcher, ma salope d’amour s’est vengée !

Vous connaissez les femmes, quand elles veulent être sadiques et cruelles avec un homme, elles sont très perverses, surtout quand elles se font des amies sur le chat. On peut dire qu’elle a eu de très mauvaises relations sur Fessestivites, surtout avec Vivi une charmante garce bourrée de mauvaises idées ABDL !
cage de chastetéSous prétexte de l’avoir délaissée pour regarder le match France-Angleterre, elle m’a imposé le port d’une cage de chasteté pendant une semaine. Le soir, ma salope d’Amour se faisait bouffer la chatte des heures quand ce n’était pas l’après-midi vautrée dans son canapé. Autant dire que plus d’une fois je bandais comme un taureau sauf qu’à chaque fois, j’avais l’impression de m’arracher les couilles et que ma bite voulait exploser la cage de chasteté. Le seul problème qui m’arrangeait bien fut une réelle et sérieuse irritation de ma peau à la racine de mon sexe. Devant l’inflammation réelle, Lina n’eut pas d’autre choix que de me retirer la cage de chasteté en m’indiquant que la punition était reportée. Et là, un soir sur le chat cette garce de Vivi, lui donna des astuces à la con que j’ai détestées. (Ses astuces et ses couches grrr) Mon amie commanda sur ABCplaisir.com un body sculptant puis des couches et acheta un bon mètre de chaîne et un cadenas.

La semaine suivante, elle me fit porter la cage de chasteté pendant trois jours non stop mais comme elle avait ses règles, elle ne put se faire bouffer la chatte, ce qui fit que je suis resté chaste au sens propre du terme hormis quelques massages avec des huiles quelle affectionne. Au bout des trois jours, comme je transpire beaucoup, ma peau toute irritée l’obligea à me retirer la cage de chasteté et là, ma surprise fut de taille !!!!!!!!!!!!!!! Etendu sur le dos jambes écartées et mains attachées à la chaîne qui me servait pour ses viols, je la regardais avec un plaisir non dissimulé me talquer l’entre-jambe en affichant un sourire banane. Et là, surprise de chez surprise, de dessous l’oreiller Lina attrapa une couche et un body féminin qu’elle agita sous mon nez avec son air sadique que je n’aime pas. Devant ma résistance pour la couche, elle attrapa mes couilles et se mit à les serrer comme des citrons ! Cet endroit de l’anatomie masculine est notre faiblesse, je ne pus qu’abdiquer et soulever mes fesses pour qu’elle puisse y glisser sa putain de couche. Lina m’enfila le body sculptant par le bas puis mon pantalon dont elle remplaça la ceinture par la chaînette qu’elle ferma avec un cadenas.
Body ABDL homme et femmecontrainte ABDL
Elle m’expliqua ensuite que le body sculptant cachait totalement la couche et que sous mes vêtements au pire les gens pourraient penser que je portais un débardeur. Devant mes réfutations pour sortir avec ça, Lina mit une chaîne à mes chevilles et l’attacha aux pieds du lit puis, en grande salope, se mit à me faire des chatouilles en chevauchant mon pantalon à la hauteur du sexe. J’ai donc fini par abdiquer pour une fois les mains libérées accepter de finir de mettre le haut du body puis une chemise. Elle me promit de me le retirer si cela se voyait puis me libéra complètement. Debout devant le miroir de l’armoire, j’avais des doutes, elle fit des photos pour me convaincre et là, je fus obligé de constater que l’on ne voyait rien. C’est donc avec une couche et vêtu d’un body féminin caché sous mes vêtements que je suis allé faire les courses avec ma garce d’amour qui en a profité pour faire les boutiques.

La nature ayant ses limites, mon premier pipi couche a eu lieu en pleine galerie marchande devant la vitrine d’une boutique. J’étais blême, j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Mon second pipi couche eut lieu en fin d’après-midi au rayon viande du supermarché du coin, sous les yeux amusés de Lina qui comprit la chose à mon regard et au fait que j’étais immobile avec un regard stoïque devant les saucisses. La soir au coucher, une fois que mes mains furent attachées à la tête du lit, elle me changea comme un bébé, me lava puis me mit deux tonnes de crème contre les irritations puis me remit une couche. Si faire pipi dans la couche debout dans les boutiques fut dur, le faire au lit fut bien plus difficile mais le pire allait arriver.

Au réveil, en ce dimanche de l’an de grâce 2013, je dus lui bouffer la chatte et la faire jouir sous peine de devoir faire mon « gros caca » dans ma couche, chose impensable pour moi. Une fois la belle comblée, si je puis dire, elle me libéra de la couche mais pas les poignets. C’est donc les mains liées que j’ai été conduit aux toilettes pour faire ma grosse commission porte ouverte sous ses commentaires ironiques. Une fois douché par Lina, (ça finalement c’est sympa) j’ai retrouvé ma cage de chasteté avec un certain soulagement. Toutes les nuits j’ai du porter une couche et dormir attaché puis passer une seconde journée en couche et body sauf que c’était au travail….

Je ne remercie pas Vivi pour ses idées loufoques ni ABCplaisir.com qui vend de belles choses mais cruelles pour la fierté d’un homme.

Compte-rendu rédigé pour Fessestivites.com à la demande de ma Maîtresse.
Ecrivaillon

REAGISSEZ à ce texte et venez partager vos expériences coquines sur le forum

http://www.fessestivites.com/phpBB3/vos-recits-poemes-temoignages-et-dedicaces/chastete-puis-couche-ma-salope-de-femme-t1926.html

lundi 2 décembre 2013

Mon expérience de petite Chienne

Mon Maître m'avait mis la pression la vielle en me disant qu'Il allait me faire vivre une chose nouvelle que je ne connaissais pas !
Petite chienne femdog BDSMFaisant entièrement confiance en mon Maître ne m’empêchait pas de me poser des questions,
Qu'allait-il me faire vivre que je ne connaissais pas encore !
J'avais de la crainte et de l'excitation en même temps ! Une seule chose à faire : attendre le lendemain,

A mon réveil, je vais dans la cuisine pour faire un gros gâté à mon Maître et lui demander un CCP ( café,cigarette, pipi), comme d'habitude, quand d'un ton ferme Il me dit  :
« tu fais bisou , pipi et tu reviens me voir ! »

Pas encore bien réveillée, sans café ni cigarette ! Ça s’annonçait mal,

J’exécute sans dire un mot, je reviens le voir avec une petite angoisse de ne pas encore savoir ce qui m'attend, sur la table des gants en forme de pattes de chien, une chaîne, et des genouillères, A ce moment là, je comprends que je vais vivre une journée de Chienne,
Tout en me mettant les gants et la chaîne autour de mon cou avec un cadenas Il me parle, disant :
«  à partir de maintenant tu ne parles plus, les chiennes ne parlent pas, »

Nouvelle expérience pour moi mais comme j'aime la D/S je n’étais pas trop perturbée, fallait juste que je rentre dedans, me comporter comme une petite chienne, Sa petite chienne !

Me voici nue à quatre pattes , pour seuls habits les gants avec de grands coussinets très
agréablement doux, deux élastiques dans mes cheveux pour en faire deux couettes et la chaîne autour de mon cou qu'Il tient dans sa main. Il me mène dans son bureau, « Allez petite chienne, avance ! » d'un ton si gentil que je rentre de suite dans mon rôle,

A l'entrée, il y a une couverture par terre derrière son bureau où je m’installe comme le ferait une chienne obéissante. Mon Maître attache la chaîne autour du pied de son fauteuil ,sort du bureau pour y revenir avec une gamelle rempli de café et deux biscuits qu'Il jette au sol en me disant :
«Interdiction de dire le moindre mot, si tu as besoin de quelques choses tu te débrouilles pour que je comprenne comme le font les chiennes »

Je bois mon café et mange mes biscuits sans les mains et reste à ma place, je m'ennuie alors j'entreprends de jouer, je tire ma couverture avec les dents sous le bureau de mon Maître qui me laisse faire. J'arrange ma couche et me love sur ses pieds que je lèche et embrasse, à ce moment là je suis bien, heureuse.

Je ne dois pas trop le déranger car Il travaille, mais une chienne sait-elle que son Maître travaille ?
Alors je reste sage quelques instants puis me viens l'envie de bouger encore et encore,envie de jouer, j'essaie d'attirer son attention, j'y arrive, Il recule son fauteuil , me regarde et me lance à plusieurs reprise une peluche que je vais chercher à quatre pattes et lui ramène en feintant de lui donner,  « La petite chienne est joueuse » me dit Il en souriant, » cette petite distraction m'a permise de me défouler un peu,et d'amuser mon Maître,
Donne si tu veux fumer , sans hésiter une seconde je Lui donne la peluche délicatement dans les mains, pour avoir une goulet de cigarette tant attendu depuis mon réveil, Il me l'a met dans ma bouche car mes pattes ne peuvent pas la tenir puis me la reprend, Il jette a nouveau la peluche en me disant « va chercher si tu veux fumer », et ainsi de suite, jusqu’à  la fin de la cigarette, autant dire que pour fumer quand on est chienne c'est du sport !

Je retourne à ma place sous le bureau, je suis bien, heureuse, et reste sage au point de m'endormir avec son pied entre mes bras,
Une envie pressente me réveille, comment vais-je me faire comprendre ? Oui je sais, je sors de ma couche vais vers la porte et je gratte celle-ci en insistant, ça m'amuse, et je prends mon rôle à cœur,
mon Maître se lève prend la chaîne et dit :
« on va faire pisser la petite chienne ? »
Me voilà à marcher à quatre pattes sur la terrasse pour rejoindre le jardin et y faire mes besoins sous l’œil attentif de mon Maître qui me reconduit sans tarder parce qu'il fait froid à ma place sous le bureau,

Allongée sur ma couverture je suis aux pieds de mon Maître, heureuse, sereine,
Par moment quand me prend l'envie de jouer je mord son pantalon en le secouant, je fais la belle Il me tend sa main ouverte avec un sucre que je prends délicatement avec ma bouche, j'ai même eu droit à des croquettes de chien ! Comme je ne dois pas parler , pour Le remercier je Lui lèche les mains,
Je retourne à ma place , j'ai des pensées plein la tête, suis-je une bonne chienne ? Ai-je amusé mon Maître ? Je pense que oui car j'ai pris beaucoup de plaisir à être sa petite chienne,

Un peu plus tard dans la matinée alors que j’étais sage Il sort et me dit :  « garde le bureau je vais boire une café et je reviens » et là, la petite chienne que je suis n'aime pas se sentir seule, elle se sent abandonnée. Alors j'ouvre la porte et marche à quatre pattes jusqu'à la cuisine pour le rejoindre, en grattant la porte, Il m'ouvre, je suis heureuse, je retrouve mon Maître ! je rentre en Lui faisant un grand sourire comme je sais faire et m'amuse en lui mordant le pantalon, en gesticulant de tout les cotés pour attirer son attention.
Je suis joueuse me dit-Il , oui je suis très joueuse au point de jouer même avec le chien qui est dans la cuisine ! !
La journée de petite chienne se termine là,
Libérée de mes « habits » de chienne je me lève sur mes deux pieds je serre mon Maître dans mes bras, je suis heureuse à en pleurer,
Cette expérience m'a beaucoup plu, j'ai adoré, me sentir petite chienne aux pieds de mon Maître un vrai délice,

Je remercie mon Maître, Maître TSM de m'avoir fait vivre cette expérience qui n'est pas incompatible aux respect qu Il me porte en tout temps,

Soumise GinOu
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Extrême ABDL chez une nurse sadique

Extrême ABDL chez une nurse sadique

Par Erivaillon, membre du réseau Fessestivites
Lorsque vos revenus passent de 1500 euros mensuels à 10 000 euros par jour, grâce à un héritage votre façon de vivre change. Si je suis resté me semble t’il celui que j’étais je me suis arrêté de travailler pour me consacrer à mes passions en m’offrant toutes les fantaisies dont j’ai rêvé. Etant ABDL, le net m’a permis de m’offrir toutes les tenues animant mes fantasmes et mes délires les plus fous avant de m’offrir un week-end dans une nurserie.

Lors de la réservation, j’ai tenu à avoir la patronne au téléphone en lui proposant par email de tripler voir plus le montant de sa prestation en échange d’un régime de faveur. Très suspicieuse, elle a accepté cette conversation téléphonique. Au départ elle était convaincue que je voulais du sexe mais je l’ai détrompée en lui expliquant que je désirai juste vivre mes passions ABDL dans une logique un peu extrême. Une fois rassurée, elle m’a demandé de régler d’avance les 3000 euros lui permettant d’acheter du matériel supplémentaire puis de lui adresser un email confirmant mes souhaits, chose que j’ai faite le jour même.

Le programme que je demandais à Nurse Sabrina consistait à me mettre en immersion totale de gré ou de force dans le monde d’un ABDL un peu comme si j’avais été enlevé. Lors de cette demande, je lui ai confirmé par écrit qu’elle pourrait utiliser la force et les punitions si elle souhaitait pour me permettre de vivre un week-end d’enfer.

………………………..

Nous sommes vendredi, il est 16 heures, le taxi me dépose devant une maison individuelle de la région parisienne. Si mes fantasmes m’ont emmené avant le jour J à pratiquer plusieurs l’onanisme pour apaiser la pression, une fois devant la porte, sauter le pas est soudain plus difficile que je ne le pensais. « Vous sonnez et vous entrez » m’avait dit Nurse Sabrina. Sonner est facile, pousser la porte de la maison est plus difficile, la honte et la peur me submergent.

Ils sont trois à m’accueillir chaleureusement, Nurse Sabrina une belle femme brune, Anna, une immense canadienne bâtie comme une championne de Volley-ball et un homme brun qui garde un regard fermé contrairement aux deux femmes. Immédiatement après la poignée de main conventionnelle, Anna prend ma petite valise et nurse Sabrina la main pour me conduire à la nurserie aménagée dans leur garage. Cette pièce est tout à fait comme les photos de leur site internet, il y a un lit à barreau pour adulte, un lit médicalisé, une table à langer, des jeux de bébé, les murs sont agréablement décorés.

Conduit devant la table à langer, je me laisse dévêtir par nurse Sabrina rapidement rejointe par l’immense Anna venue l’aider. Etendu nu sur la table à langer, je n’en mène pas large lorsqu’elles entreprennent de me talquer avant de me mettre une couche gigantesque que je n’ai jamais vue auparavant. Cette couche plastifiée à l’extérieur est très grosse au niveau de l’entrejambe et a la particularité de remonter quasiment jusque sous mes bras avec des attaches auto collantes supplémentaires. Elles y rajoutent deux inserts avant de la refermer avec beaucoup d’attention en me parlant comme si j’étais un bébé.

Nurse Sabrina me fait asseoir puis m’attire contre sa poitrine généreuse pour me donner un biberon. C’est la première fois que je bois au biberon depuis mon enfance, le contenu ne vient pas rapidement, cela me fait un drôle d’effet mais je joue le jeu par moi demandé avec attention. Si sa poitrine est très confortable, nurse Sabrina insiste pour que je termine son jus d’orange qui est franchement dégueulasse pendant qu’Anna me met des moufles se fermant avec des cadenas.

Le biberon terminé, elles me font enfiler ensuite un gros body en latex mi-cuisse dont la fermeture ne se fait pas à l’entrejambe mais du nombril au cou par une fermeture éclair se cadenassant au niveau du cou. Avec ça, je ne risque pas d’enlever ma couche !

L’autre surprise porte sur une sorte de culotte à mi chemin entre un casque intégral et des chaussures de ski.

Nurse Sabrina et Anna se mettent à deux pour me mettre cette culotte quasi ronde très originale. Une fois mes fesses et le bas de mes reins posés à l’intérieur de cette coque, elles referment le devant et l’ajustent avec les mêmes dispositifs que l’on trouve sur les chaussures de ski à une nuance près, des cadenas ! Histoire de me pousser encore plus dans les contraintes, nurse Sabrina me pose un petit harnais équipé de deux sangles qu’elle relie à l’anneau de mes moufles.

Au moment de me faire asseoir, elles ne sont pas trop de deux, car cette culotte en dur me ferait rouler. Pendant qu’Anna me maintient en équilibre, nurse Sabrina pose des bracelets aux chevilles avec une petite chaîne qu’elle cadenasse de façon à ce que je ne puisse pas trop écarter les jambes. Anna me prend en poids pour me déposer par terre en me faisant asseoir. Lorsqu’elle me lâche, la forme ronde et solide de la culotte ressemblant à un casque intégral me fait perdre l’équilibre et chuter sur le côté. Elles sont pliées de rire.

- Et oui, tu vois, les bébés ont parfois du mal à rester assis, tu vas vivre les même sensations, amuse-toi bien ! Me dit Anna en m’aidant à me relever pendant que Nurse Sabrina me colle une grosse sucette dans la bouche dont elle fixe solidement les sangles derrière ma nuque. Cette sucette ressemble à un bâillon, elle est incrustée dans un large bandeau de cuir et d’une mentonnière, la recracher est impossible.
.
- Attention on te lâche ! Me disent les filles amusées.

Cette fois, je reste bien droit en essayant de me maintenir en équilibre avec les jambes, le fait de ne pas pouvoir les écarter ne m’aide pas. Pour comprendre imaginez que vous êtes assis sur un ballon avec vos pieds entravés devant vous et que vos bras sont limités dans les mouvements…….

Elles m’abandonnent à mes réflexions et à la concentration nécessaire pour ne pas que je me fracasse en tirant la porte derrière elles. J’ai voulu de la contrainte ABDL, je suis servi !

Muré dans le silence de mes pensées et ma position dès plus périlleuse, j’observe les lieux avec attention en essayant d’imaginer la suite de ce week-end que j’ai ardemment souhaité dépassant déjà de très loin ce que je m’étais imaginé. Une envie d’uriner me vient, je me laisse donc aller bien volontiers dans la couche, chose déjà vécue en solitaire à la maison à la différence près qu’elle n’avait pas la taille de celle-là et que j’étais seul. Les yeux fermés je savoure cet abandon, ce qui s’avère être une grossière erreur car n’étant plus concentré sur mon équilibre l’appel du parquet est soudain inévitable.

Avec ce casque en guise de culotte, les mains et les pieds entravés, me relever est impossible. Vautré sur le côté à même le sol, je commence à me sentir un peu con. Que faire à par attendre qu’elles reviennent ? A force d’attendre, l’ennuie puis la somnolence s’installe lentement si bien que les filles me font sursauter à leur retour.

Et là, une nouvelle surprise m’attend ! Elles ont emmené avec elle un Youpala pour adulte ! Elles me libèrent les jambes, Anna m’attrape à bras le corps pour me soulever pendant que nurse Sabrina s’occupe de mes jambes qu’elle fait glisser dans son Youpala géant.

- Avec l’argent que tu m’as donné en plus, j’ai pu m’offrir ce Youpi. M’indique nurse Sabrina. C’est un appareil modulable de verticalisation et de déambulation, style "youpala". Il est conçu pour faciliter la marche en position verticale. Il est équipé d’une tablette plexiglass
d’une culotte d’assise très large Appui dos et appui thoracique réglables permettant de maintenir la personne droite. Pour une nurse c’est génial. Je vais l’appeler le YOUP-ABDL ! Il a un dispositif de blocage des roues directionnelles permettant de bloquer les gros bébés adultes, nous avons modifié la culotte d’assise pour qu’elle soit très large et ne permette pas de marcher debout ainsi qu’une série de dispositifs d’entraves. L’adulte prisonnier d’un Youp- ABDL ne peut pas se lever et se déplace très difficilement tant ses jambes sont écartées. Avec tes poignets entravés, tu vas être aussi agile qu’un véritable bébé dans un Youpala.

Youpala youpi Nurse Sabrina entrave mes bras sur le côté pendant qu’Anna règle le dispositif m’obligeant à rester bien droit. A peine terminé, elles m’offrent un tour de Youpala en m’emmenant dans la maison pour me conduire devant la table la cuisine. Un délicieux parfum de cuisine enflamme aussitôt mes papilles gustatives me laissant à penser que je vais faire un repas de roi. L’assiette de bouillie verte qu’elle pose devant moi avant de me mettre un bavoir n’a pas du tout l’aspect des fragrances de la cuisine. Nurse Sabrina me retire ma sucette et entreprend aussitôt de me faire manger en me mettant une cuillère de son infâme bouillie dans la bouche.

- Mais c’est dégueulasse !

- Tu parles trop pour un bébé, mange et tais-toi ! Me répond nurse Sabrina en me collant une seconde cuillère dans la bouche.

Comme c’est vraiment infect, je recrache sur le sol quand soudain, elle m’attrape par les cheveux et me colle deux gifles monumentales.

- Mais vous êtes conne ou quoi ?

Nurse Sabrina, furieuse, se lève aussitôt, m’attrape par les cheveux et m’incendie au sens propre du termes en me rappelant qu’on ne parle pas ainsi à la nurse qu’on a payé pour qu’elle vous fasse des choses de gré ou de force. L’homme ayant entendu les éclats de voix surgit dans la cuisine les poings serrés en demandant s’il y a un problème. Nurse Sabrina et Anna le rassure aussitôt en lui répondant que ce n’est qu’un léger souci d’éducation qui va être rapidement réglé. Nurse Sabrina m’attrape par le cou et force ma tête en arrière en serrant ma gorge tout en présentant une cuillère de son infâme bouillie. Totalement piégé par mes écrits et mes demandes, je ne peux plus revenir en arrière. Le pire est que j’ai bien indiqué de gré ou de force, mais je ne m’attendais pas à prendre des gifles. N’ayant pas d’autre choix que d’abdiquer, je finis par ouvrir la bouche et manger, ou plutôt avaler le plus vite possible son infâme bouillie. L’assiette enfin terminée et raclée jusqu’au bout… nurse Sabrina me donne un biberon de son jus d’orange toujours aussi dégueulasse que j’aspire encore une fois rapidement pour m’en débarrasser.

- Bien, maintenant gros bébé nous allons commencer à entrer dans le vif du sujet. Déjà, avec ce que je t’ai mis dans la bouffe et les deux biberons, tu vas devenir totalement incontinent pour au moins 48 heures et pour te remonter le moral, je vais te donner le droit de fumer une cigarette. M’explique nurse.

Ce qu’elle vient de me dire va bien au-delà de ce que j’espérais vivre. Je m’attendais tout en le redoutant à vivre le solide de la couche, mais ici, je sens bien que les choses vont être très difficiles à vivre. Anna débloque les roues du Youpala pour me conduire au salon et m’installer devant la télé où défilent des dessins animés. Elle bloque les roues, me fait fumer et m’abandonne pour aller dîner en tirant la porte derrière elle.

Dans mon estomac, cela commence à gargouiller, je n’aime pas les médicaments et encore moins les drogues. Ne sachant ce qu’elle m’a donné, l’inquiétude commence à monter en moi. Tant bien que mal et avec beaucoup d’effort, j’arrive à m’approcher da la porte fermée pour essayer d’entendre ce qu’il se raconte et peut-être parvenir à en apprendre un peu plus ce sur ce qu’il va encore m’arriver ce week-end.

- S’il a payé le triple pour le week-end c’est qu’il peut faire mieux et pour plus longtemps. Explique le mari de nurse Sabrina

- Oui tu as raisons, surtout qu’il est célibataire.

- Nous avons ce qu’il faut pour lui donner des envies de plus. Pourquoi s’en priver ? Lui répond son mari, surtout que j’ai modifié la formule de ton laxatif en y ajoutant quelques trucs de ma composition personnelle qui force la régression et génère le bien être.

QUELLE HORREUR !!!!!!! Ce que je viens d’entendre me glace le sang.

………………………

La suite des aventures du gros bébé est publiée ICI dans les histoires du forum ABDL de Fessestivites. L’accès est 100 % GRATUIT et sans engagement.

samedi 30 novembre 2013

Maitresse le féminise lui impose des collants et ses caprices

Maitresse le féminise lui impose des collants et ses caprices

Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Je viens d’envoyer mon soumis acheter des sous-vêtement pour moi, à la boutique en bas de la rue. Il connaît mes mensurations, ce sera donc facile pour lui, il n’aura qu’à indiquer à la vendeuse l’ensemble noir exposé dans l’angle de la vitrine. Elle apercevra sans nul doute son collier de soumis, ce qui le fera rougir comme d’habitude. Sous ses vêtements masculins, il porte mes sous-vêtements et un collant. J’adore lui faire porter ce que j’avais sur moi la veille, cela m’amuse de le féminiser en allant au-delà de son fétichisme. Eric est fétichiste des collants, le pantyhose comme il dit, les toucher, les caresser, l’excite tout comme embrasser mes jambes et mes pieds lorsque j’en porte.

Comme je suis une Maîtresse attentionnée, je l’oblige à en mettre pour satisfaire son fétichisme, là, il aime nettement moins, tout comme porter mes sous-vêtements mais il n’a pas le choix !
Maitresse domination féminine
Ce soir je sors avec mes copines, nous allons au cinéma. Mon soumis quant à lui restera à la maison, une petite surprise l’attend. Par sécurité, j’ai prévenue mon amie, s’il m’arrive quelque chose il faudra qu’elle vienne le délivrer.

Par précaution, j’installe une toile cirée sur le lit, les bracelets et les chaînes aux anneaux que je lui ai fait installer aux quatre coins du lit. A son retour, je lui ordonne de se mettre nu puis d’enfiler mes collants résille ouvert entre les jambes, puis mon corset que je serre le plus fortement possible. Je conduis ensuite Eric ainsi vêtu à la chambre. A la vision de ce qui est sur le lit, il baisse les yeux, j’aime ces moments où il sait qu’il va être mon jouet. A ma demande, il s’étend sur le ventre en se plaignant que la toile cirée est froide, ce qui est le cadet de mes soucis. Deux minutes plus tard, il est entravé sur le ventre bras et jambes en croix.

Pendant qu’il médite, je vais finir de me maquiller, au bas mot, une petite heure, avant de revenir le voir avec tous mes sous-vêtements sales sortis de la machine à laver, la lessive étant initialement prévue pour demain. Assise jambes écartées sur l’oreiller, je lui offre ma chouchoune à lécher histoire de l’exciter encore plus avant ma surprise, puis aussi je l’avoue, d’apprécier ses caresses, Eric étant une très bonne langue….. L’heure tourne, il faut que je me dépêche un peu maintenant où je vais manquer la séance de huit heures.

Je lui mets dans la bouche le string que j’ai porté aujourd’hui, il ne risque pas de s’étouffer avec car il est mini mini, puis recouvre son visage des culottes que j’ai portées cette semaine, culottes qu’il a portées le lendemain. Cela va lui permettre apprécie mon odeur pimentée par la sienne…. Afin qu’il ne puisse les retirer en frottant son visage sur le lit, j’enfile un collant par dessus que je fixe autour de sa tête en faisant des nœuds avec les jambes des collants.

- Ce soir je sors, je vais au cinéma avec mes copines, si un de leur copain est bisexuel, je lui offrirai tes fesses, et s’il accepte, cela nous fera du spectacle.

- Hummmmm ! Fait Eric en tirant sur ses entraves tout en faisant « non » de la tête.

- Tu es trop chou comme ça, s’il est bi, tu vas l’exciter à mort, c’est un truc à te faire défoncer ta petite rondelle de soumis.

- Hummmmm !

En quittant la maison je me traite de garce, mais en BDSM, les soumis n’aiment-ils pas être le jouet de leur Maîtresse ? Pendant la soirée et le passage « obligatoire » à la brasserie, je ne dis rien à personne sur ce qu’il se passe chez moi, hormis mon amie, personne n’est au courrant. Trois heures plus tard, j’arrive à convaincre mon amie Sandrine de venir boire un verre chez moi puis de voir ce que j’ai fait à mon soumis. Lorsque nous entrons à la maison, je vais voir si mon jouet va bien, il est toujours entravé et n’a pas pu se délivrer. J’adore !

Sandrine accepte un Malibu chargé, puis un deuxième encore plus chargé avec de la glace. Elle ne connaissait pas et adore. A nos heures perdues et au gré de nos envies, nous sommes un peu lesbiennes toutes les deux, elle ne s’offusque donc pas quand je passe derrière elle pour malaxer ses gros seins généreux en l’embrassant de partout dans le cou. Entre mes caresses et le Malibu, Sandrine s’abandonne totalement à mes mains devenant encore plus coquines. La sentant prête à mes envies perverses, je la tire par la main dans ma chambre pour lui faire voir mon soumis et lui demande de me rendre service : lui faire croire qu’elle est un mec et qu’elle va le sodomiser.

Elle ne doit pas parler, juste retirer sa jupe et se coucher entre ses jambes pour frotter son ventre contre les fesses offertes d’Eric. Avec tout ce qu’il a sur la tête, il ne risque pas de voir que c’est une femme ! Sandrine accepte de jouer le jeu et monte sur le lit. Quand je monte à mon tour sur le lit pour m’asseoir sur l’oreiller, Eric prend peur en comprend aussitôt que je ne suis pas seule et tire sur ses entraves, en vain.

L’histoire complète est ici sur le forum BDSM et fétichismes, c’est GRATUIT et vous pourrez :

Suivre les aventures d’Eric,
Lire des tonnes d’histoire érotique sur de multiples sujets
Poster les vôtres
Et qui sait, peut-être faire des rencontres ?
http://www.fessestivites.com/phpBB3/recits-fetichiste-f173/maitresse-le-feminise-lui-impose-des-collants-et-caprices-t1909.html

vendredi 29 novembre 2013

La chienne soumise de l’hôtel

La chienne soumise de l’hôtel

Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
chienne soumise BDSM sexe« Je suis toutes à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi » répète souvent Clara, soumise à son Maître rencontré sur Fessestivites. S’il est respectueux de la femme, Maître T est dur et ferme dans sa domination. Il ne laisse rien passer, rebondit souvent sur les mots de sa soumise la faire évoluer et l’aider à s’épanouir en BDSM.

Ils sont touts les deux issus du monde libertin où pendant quelques années ils ont vécu chacun de leur côté les plaisirs inavouables avant de s’en lasser. Maître T est aujourd’hui depuis 10 ans dans le monde du BDSM, il se forge avec le temps au contact d’autres Maîtres puis de lectures sur lesquelles il médite avant d’adapter leur contenu à ses idées. Clara a toujours été coquine, elle s’est désintéressée progressivement du libertinage et des clubs libertins qui, malgré le plaisir physique éprouvé, laissent un goût de solitude le lendemain.

- Clara, tu me dis souvent : « Je suis toutes à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi » jusqu’où irais-tu dans ton abandon ?

- Jusqu’à ce que vous déciderez Maître. Répond Clara

- Alors tu vas exécuter mes ordres sans discuter, que tu pleures ou non n’y changera rien, nous allons bien voir si tu es la soumise que tu décris dans tes envolés lyriques sur le forum BDSM. Demain je te loue à des hommes. Tu te rendras au Formule 1 de …… avec un sac, tu prendras une chambre puis tu m’adresseras par texto le numéro de la chambre puis le code. Je te confirmerai réception, à la suite de quoi, dans la chambre tu te mettras nue et tu ouvriras ce sac, à l’intérieur il y aura une enveloppe avec les instructions que je veux que tu suives à la lettre.

Le mot « louer » fait très mal au cœur de Clara et lui fait horriblement peur. Son Maître serait-il un proxénète sans cœur ? Son cœur lui crie « non » son esprit lui hurle « attention », dans ce duel de l’amour contre la raison, le cœur prend l’avantage, elle fera ce qu’il lui demande.

Il est 16h45 quand elle introduit sa carte de paiement dans le dispositif de réservation et de paiement des chambres du formule 1. Sa tête bourdonne, elle a l’impression d’être ivre alors qu’elle n’a pas bu une goutte d’alcool. La gorge serrée, elle entre dans l’hôtel, trouve la chambre et s’y enferme avant d’adresser le numéro de chambre et le code par texto à son Maître. Même si elle est seule, se mettre nue la perturbe, elle a confiance en son Maîtres mais la peur la submerge. Pour essayer de savoir ce qu’il l’attend, elle ouvre rapidement se sac, ce qu’elle y découvre n’apaise en rien l’angoisse qui la ronge maintenant. Sous l’enveloppe, des menottes, une cagoule, des cordes et bracelets de cuir ainsi qu’un bâillon percé, une boite neuve de préservatif puis un énorme martinet lui sautent aux yeux. La gorge serrée elle ouvre l’enveloppe et se met à lire.

……………………………….

Clara

Je te veux liée à quatre pattes sur le lit comme une chienne prête à se faire saillir.
Par ordre tu vas attacher les cordes aux pieds du lit, cordes que tu relieras aux bracelets que tu poseras à tes chevilles.
Une fois tes jambes bloquées, tu mettras une paire de menottes à chacun de tes poignets.
Tu mettras le bâillon boule percé, les multiples trous du bâillon te permettront de respirer sans problème.
Tu passeras ensuite la cagoule que tu fermeras derrière ta tête avec les boucles.
A ce moment là, tu devras donc être à quatre pattes sur le lit, les chevilles entravées de telle façon que tu ne pourras pas resserrer les jambes.
A l’aveugle, tu fermeras les menottes de tes poignets aux barres du lit qui sont sur le côté.
Si tu as bien fait ce que je te dis tu devrais être à genoux, fesses en l’air, les bras étirés sur les côtés du lit.

Des gens vont venir s’occuper de toi, essaye de ne pas trop crier pour ne pas ameuter les occupants des chambres voisines, les murs sont minces dans ces hôtels.

Ton Maître

……………………………….

Etre livrée sexuellement à des hommes en club libertin, Clara l’a déjà vécu et en garde un assez bon souvenir, être attachée et un peu malmenée aussi, mais seule dans cet hôtel, la situation est bien différente. Sans sa tête le chaos des émotions, sensations et contradictions s’installe. Une fièvre indescriptible s’empare de son corps quand elle commence à attacher les cordes aux pieds du lit. Comme pour chasser ses sombres pensées, elle se concentre sur les nœuds avant de poser les bracelets à ses chevilles. A quatre pattes, la tête posée sur le lit, elle affine les réglages des entraves de ses jambes pour satisfaire les exigences de son Maître.

Le papier posé près d’elle, elle suit les instructions à la lettre, enfin presque, elle a oublié de prendre les autres affaires dans le sac. Clara se libère un instant pour tout mettre sur le lit, un geste instinctif la conduit à se gratter entre les jambes, ses doigts découvrent un « marécage ». Elle se traite de folle. Pour mettre un terme rapidement à ses hésitations et ne pas s’enfuir, elle s’active, pose entre ses dents le bâillon, attache à nouveau ses chevilles et pose une paire de menottes à chacun de ses poignets. Le contact du métal froid la fait transpirer, c’est antinomique mais son cerveau chamboulé semble avoir perdu le contrôle de la logique et de la sagesse. Lorsqu’elle enfile la cagoule, Clara se sent isolée du monde, le cuir froid sur son visage se ligue avec sa respiration saccadée pour accroître ses angoisses.

A cet instant, elle est bloquée, savoir que si elle ferme les menottes sur les barres métalliques du lit, lui retirera toute possibilité de fuite, l’angoisse. Clara essaie de se reprendre, de se raisonner, son Maître ne peut pas lui avoir fait un mauvais, coup, non ce n’est pas possible. Cette pensée lui donne la force de bloquer son bras gauche en fermant la menotte sur la barre en métal qu’elle trouve à l’aveugle. Dans un état second, à la fois excitée et tremblante de peur, elle tend sa main droite vers la barre pour bloquer la dernière menotte qui lui retirera toute possibilité de fuir, mais ne parvient pas à la fermer. Ces pensées se focalisent sur Maître T, elle le voit lui sourire, l’apaiser quand elle avait peur à ses débuts sur la croix, elle repense à tous ces plaisirs enivrants qu’il lui a fait connaître jusqu’à présent. « Oh mon maître des plaisirs, si vous saviez à quel point je vous aime » pour faire ce que je fais pour vous, pense Clara en refermant prestement pour ne plus hésiter la dernière menotte sur la barre en fer.

L’attente cruelle s’installe avec sa kyrielle de pensées érotiques ou totalement contraires, pendant que Maître T attend dans sa voiture dans le parking de l’hôtel en regardant sa montre. A 17h30, il pénètre dans l’hôtel avec une petite valise à la main comme un commercial venant prendre sa chambre. Il saisit les chiffres du code à la porte qu’il pousse en espérant trouver sa soumise comme il lui a ordonné. Lorsqu’il l’aperçoit totalement offert, un sentiment de fierté le submerge, sa soumise lui a vraiment fait confiance et a réussi cette épreuve.

Clara a entendu le bruit de la porte malgré la cagoule, il le sait et, pour rajouter encore de la pression psychologique à sa soumise, il sort et entre encore deux fois pour qu’elle imagine qu’ils sont trois. Pour tromper encore plus les sens de Clara, il s’est acheté des cigares, l’odeur dégagée va lui faire penser que c’est vraiment quelqu’un d’autre, Maître T ne fume pas le cigare. Sa main flatte soudain assez rudement l’intimité offerte avant de la fouiller sans douceur pendant que de sa main droite gantée, il caresse les fesses offertes.

Elle sait qu’ils sont trois, elle n’aime pas les attouchements des deux hommes qui lui semblent brutaux. Les mains l’abandonnent, Clara ne sait si elle doit s’en réjouir ou avoir peur, de toute façon, ils vont la baiser c’est sûr. Pourvu qu’il ne fassent que ça. Lorsque le martinet s’abat sur son sexe offert, elle bondit dans ses entraves mais il est trop tard maintenant pour fuir. Sous la douleur plus imaginaire qu’autre chose, les coups étant de simples caresses, elle se tord pour les esquiver. Maître T ne se prive pas de ses déhanchements terriblement sensuels et en rajoute encore allant de son sexe à ses fesses.

Bien décidé à faire durer le plaisir, il ouvre son pantalon, passe deux préservatifs l’un sur l’autre avant de se positionner derrière « la chienne offerte » pour la posséder cash sans plus de précautions. Hormis tirer dans ses entraves pour fuir la pénétration sauvage, Clara de peut rien faire, l’homme la tient par les hanches et se sert sur la bête. Maître T se retire au bout d’un moment avant d’entreprendre de lui tanner les fesses à grand coup de martinet. Le charmant fessier prend de la couleur, les cris étouffés sortant de la cagoule laissent à penser que la raclée qu’il lui donne avec un martinet en latex qui ne fait absolument pas mal, est vraiment vécue comme une agression.

Pour la posséder une seconde fois en trompant « l’ennemie », il retire son pantalon pour que le contact de ses jambes nues lui laisse à penser que c’est un autre homme qui va la prendre. Le contact d’un doigt chargé de lubrifiant la fait bondir, elle essaye de le fuir mais il la tient et force son anus. Clara ne s’est jamais aussi sentie offerte, possédée, abusée. Maître T passe la ceinture de son pantalon atour de la taille de la chienne offerte, pour l’empêcher de fuir d’une main, pendant que de l’autre il guide son sexe et commence à forcer le petit orifice étoilé. N’étant plus vierge de ce côté-là, la pénétration n’est pas trop difficile à vivre, mais le mouvement de va et vient sauvage qui s’en suit est plus hard à vivre, même pour une adepte de la sodomie.

Encore une fois, il se bloque en elle un instant, comme s’il avait jouis, puis se retire en claquant les fesses offertes. Maître T retire les préservatifs puis vient prendre place derrière sa soumise qu’il pénètre cette fois avec douceur. Après quelques mouvements en elle, il fait une pose pour ouvrir les sangles de la cagoule de Clara.

Tout en la baisant avec douceur, il fait tomber la cagoule, mais Clara n’ose pas ouvrir les yeux et se laisse prendre n’ayant pas d’autre choix que de subir.

- Alors petite chienne, on s’éclate ! Lui demande Maître T

Reconnaissant la voix de son Maître, elle ouvre aussitôt les yeux et découvre qu’ils ne sont que deux. Un véritable sentiment de soulagement l’envahit, cette fois elle ne subit plus la verge, elle s’y offre totalement, même quand elle change de destination avant de la conduire à une jouissance paroxystique. Maître T lui retire son bâillon puis, sans la délivrer va s’asseoir devant sa soumise.

- Au travail ma chienne ! Lui ordonne Maître T en s’adossant au mur.

Ecrivaillon
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mardi 26 novembre 2013

L’éducation anglaise, mon équilibre

L’éducation anglaise, mon équilibre

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
spank me fessée éducation anglaise

L’éducation anglaise est mon équilibre, ne me traitez pas de folle mais lisez plutôt ce récit car je vais partager avec vous mon bonheur, mes douleurs, mes peines mais également mes plaisirs les plus intimes. Je prie pour que mon mari ne lise pas ce récit, quoi que….

La fessée m’a toujours fascinée, ce ne sont pas les rares que j’ai prises dans ma petite enfance qui en sont la cause, non, ce sont plutôt les livres et internet, surtout Fessestivites, où j’ai puisé tellement de chose que c’est la faute et grâce à ce site diabolique si aujourd’hui je suis heureuse.

Pour commencer à introduire la discipline domestique dans mon couple, j’ai souvent provoqué mon mari en lui disant que « je mériterai une bonne fessée ». Lui ayant déjà parlé de la fessée pour nos jeux érotiques, chose qui ne l’attirait pas du tout, comme il ne me la donnait jamais j’ai souvent poussé le bouchon très loin, au point de le mettre en colère. La première fois qu’il m’a fessée, je l’avais franchement énervé, et pour le pousser encore plus loin (je suis folle) je l’ai relancé sur la fessée en lui disant que cela calmerait sûrement sa petite femme. Comme il était vraiment furieux après moi, il m’a répondu en m’attirant sur ses genoux « s’il n’y a que ça pour te calmer » pour me donner quelques claques sur les fesses quand même très appuyées par-dessus ma culotte.

Après cette fessée, il était très gêné d’avoir cédé à ce qu’il appelait début 2012 de la violence conjugale. Je l’ai remercié et embrassé avant de m’agenouiller à ses pieds pour poser ma tête sur ses genoux. Après cette première fessée j’ai été adorable, chatte coquine, câline et comme cela l’a excité, je lui ai fait une gâterie d’Amour. Une gâterie d’amour car j’étais heureuse d’avoir pris la fessée imaginée lors de mes « activités solitaires »……

C’EST LE PREMIER PAS QUI COUTE

Lorsque tout penaud il m’en a reparlé le lendemain, je lui ai rappelé que je la méritais en lui expliquant que comme beaucoup de femmes, je ne prenais pas cela comme de la violence mais comme un geste d’amour. Je lui ai conseillé d’aller lire quelques articles et récit sur internet mais il était encore réticent, et là, en grande folle, j’ai vidé mon café sur son pantalon en lui adressant des bisous avant de m’enfuir dans le salon. Comprenant que je le provoquais, il m’a crié en courant après moi « ah tu veux une fessée tu vas être servie ». Si la fessée de la veille était impulsive, celle là était posée. Il a commencé par relever ma jupe avant de baisser ma culotte jusqu’à mes genoux ce qui déjà m’émoustillais de par cette position tant de fois fantasmée. Il n’y est pas allé de main morte, j’ai pris une fessée assez sérieuse mais je n’ai rien dit en serrant les dents pour ne pas crier. Après cette fessée, je l’ai quasiment violé, son sexe dur et très tendu m’a faite décoller comme jamais auparavant.

Y prenant goût, monsieur s’est décidé à surfer sur l’éducation anglaise et la fessée. Cette période a finalement été pour lui une étape préparatoire et indispensable à la discipline domestique qu’il a fini par instaurer. On ne se fait pas d’un jour à l’autre à une conception de vie qui recourt aux châtiments corporels, il y a eu d’autres étapes et des négociations préalables, il fallait bien apprendre puis roder les mécanismes tant pour lui que pour moi car entre fantasme et réalité il y a un grand pas.

Mon souci, si je puis dire ainsi, est qu’il y a pris goût ! Si pour moi les fautes étaient comme des éléments de jeu, pour lui c’est rapidement devenu un mode de vie qui va beaucoup plus loin que la simple satisfaction de mes sens coquins. Il a décidé un jour d’entreprendre mon éducation en listant des choses qu’il ne voulait plus à la maison et en sanctionnant systématiquement mes fautes par des punitions.

Aujourd’hui les choses ont changé en moi, quand je commets une faute j’ai tout de suite mauvaise conscience, un peu comme si je trahissais les conventions du couple mais mon besoin de punition pour faute est devenue une forme d’automatisme au point que je les lui avoue quand il arrive le soir à la maison.

Il a eu de « bonnes mauvaises » lectures ou de « mauvais bons » conseils très spécialisés qu’il a su adapter à ses envies et à mon comportement de rebelle.

Il y a environ trois mois, quand il est entrée à la maison avec un long paquet sous le bras, il a commencé par me demander si je n’avais rien à lui dire. Au départ, je n’ai pas compris où il voulait en venir mais quand il m’a demandé mon paquet de cigarette, j’ai compris. En le lui tendant, je ressemblais à une ado prise en faute. Je tordais mes mains moites dans mon dos en gardant la tête baissée en sachant pertinemment que j’avais trop fumé. Mon mari tournait autour de moi dans la cuisine en me demandant si j’étais fière de moi et si finalement, ce n’était pas de la provocation. Pour une fois, cela n’en était pas une mais je savais qu’il avait raison, je fumais trop.

Il m’a dit à peu près ça, je m’en souvient comme si c’était hier : « Le contenu de ce colis, je l’ai acheté pour toi dans la boutique partenaire du site que tu m’as conseillé, tu sais, festivités machin, à oui, fessestivites, alors ce soir, tu vas être punie comme il se doit. Va dans le salon, baisse ta culotte et penche-toi en avant par-dessus le fauteuil. Médite avant que je vienne de donner la punition que tu mérites ».

Je n’ai pas demandé mon reste en faisant comme il me le demandait et pour la première fois j’avais peur. Ne sachant pas le contenu du paquet, la peur de l’inconnu me minait. Les minutes passées fesses à l’air penchée en avant sur le fauteuil m’ont paru des heures. Pour la première fois j’ai eu honte, non pas qu’il voit mes fesses, mais parce que là je devenais réellement la femme soumise de mes fantasmes. La gorge serrée, j’attendais avec la peur au ventre et quand j’ai entendu ses pas j’ai voulu regarder mais il m’a rappelée à l’ordre immédiatement en tenant des choses dans son dos que je n’ai pas pu voir.

Il a fait le tour du fauteuil puis a posé deux bracelets sur mes poignets avant de les attacher avec une corde aux pieds du fauteuil. Etre attachée m’a excitée tout autant qu’inquiétée car quand mon mari décide quelque chose, il va toujours jusqu’au bout. Des sifflements dans l’air m’ont glacé le sang, j’ai tourné la tête et j’ai vu. J’ai vu une canne anglaise comme sur le net et dans mes rêves coquins. Dix secondes plus tard, un trait de feu embrassait mes fesses. J’ai serré les poignets et les dents pour ne pas crier, le second m’a surprise autant que le premier avec la sensation d’une décharge électrique traversant mon corps des fesses à mon dos. Il m’a indiqué que je devais compter les coups à haute voix et que mes manquements pour la cigarette seraient sanctionnés par dix coups de canne, nombre qui serait multiplié par deux à chaque fois.

J’ai reçu ce soir là mes dix premiers coups de canne anglaise très appuyés plus les deux non comptés. A la fin, mes yeux coulaient mais il ne l’a pas vu car une fois terminé, il m’a laissée plantée là pour que je médite. « Ouf, tu en voulais, tu es servie » ai-je pensée en me maudissant. Un quart d’heure plus tard, il est venu soigner mes fesses avec de l’arnica, sa main sur mon fessier m’a consolée, comblée en me faisant oublier la douleur ressentie. Lorsqu’il m’a libérée, je me suis blottie dans ses bras et j’ai pleurée tout en l’embrassant.

Je l’ai sentie à la fois désolé et fier, fier d’y être arrivé, d’être arrivé à me punir réellement et désolé d’avoir eu à le faire.

Depuis ce jour là, si je suis particulièrement « chiante » ou suivant ma faute, je dois me mettre toute nue au garde à vous devant monsieur. Il m’impose même de lui apporter la canne anglaise, le martinet ou autre instrument selon un rituel bien rodé avant de m’installer sur le fauteuil.

Mes larmes ne l’émeuvent plus, il s’y est habitué mais à chaque fois qu’il juge bon de me punir, je considère mes punitions comme une preuve d’amour et d’attention.

Pourquoi est-ce que j’accepte tout ça. Parce que j’y trouve mon compte, je l’ai voulu et je l’ai même si cela semble difficilement compréhensible. Cette discipline domestique me rassure en quelque sorte de par les cadres qu’il m’impose, ce plaisir bizarre que j’éprouve dans la honte et dans la douleur quand elle n’est pas trop forte. Cela peut sembler difficilement compréhensible mais cette éducation anglaise est mon équilibre.

La meilleure des sensations pour moi est quand je suis étendue sur ses genoux et que mon homme baisse ma culotte. Pourquoi ? Tout y est en même temps, le geste, la chaleur de son corps, l’humiliation de la vilaine fille que je suis, la douleur et souvent les caresses qui suivent……..

Ecrivaillon
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