mercredi 29 avril 2009

Pique-nique privé ABDL

Pique-nique privé ABDL

Nous avons un très grand jardin isolé et organisons un pique-nique privé ABDL entre COUPLES le 14 juin chez nous près de LUNEL.

CONDITIONS :

C'est 100 % GRATUIT

Chacun vient avec son pique-nique. (Possibilité de grillades sur place)

Pas de voyeur. Participation active au moins pour l'un des deux du couple ou pour les célibataires.

Comme c'est à notre domicile donc contact par email et un échange téléphonique en préalable obligatoire. Nous aurons donc votre tel et vous le notre + notre adresse.

QUI PEUT VENIR ?

10 couples maximum (Pressez-vous, les réservations avancent)

Femmes seules acceptées si ABDL.

Hommes seuls NON, désolés, nous avons déjà notre relationnel et nos soumis.

PETITS MALINS n'essayez pas de tricher.

Exemple de l'homme seul qui arrive en disant ma femme n'a pas pu venir, on connaît, donc vous feriez le trajet pour rien.

RENCONTRE ZEN

Il n'y aura ni SM, ni échangisme lors de cette manifestation qui a pour seul objectif de faire connaissance et de partager un agréable moment entre couples AB DL.

Il y aura quelques fessées par-ci par-là, mais rien de SM lors de cette journée.

Les rencontres et jeux SM se feront en soirées privées.


PROGRAMME

12 HEURES Fermeture des portes et apéro tous ensembles en tenue libre

A la fin de l'apéro les invités doivent être en tenu. (Un des deux pour les couples, obligatoire pour les célibataires)

13 HEURES (Environs)

Pique-nique collectif, échanges, dialogues

Jeux divers et libres.

Proposition de jeux : concours de change, défilé de mode, concours de bib, si dispositif de chastété, venez avec......puis vos idées...

Musique pour les musiciens

Photos sous condition du respect de l'anonymat

A vos claviers,

TSM

toto.tsmdeux@laposte.net

lundi 9 mars 2009

Daryl « régresseuse » professionnelle 4



Daryl « régresseuse » professionnelle 4


Chapitre 4

Il paie une « régresseuse » prof, il est fessé par une salariée dont il tombe amoureux


Le retour de Daryl me réconforte, elle me change, me lave, je n'ai plus honte, je me sens bien parce qu'elle s'occupe de moi. A la cuisine, le bambin en grenouillère qui monte tout seul sur sa chaise haute c'est moi. J'ai l'impression d'être dans un état second. La journée se passe dans le calme, sans rebondissement. Repas, biberon, sieste, changes, jusqu'à la fin de l'après-midi. Quelqu'un arrive, oh mon dieu, c'est la femme d'hier, celle d'une trentaine environ, vêtue d'un tailleur strict, celle que je voyais bien en chef de service. Pourquoi est-elle là ?

Pourquoi, je ne saurai dire mais quelque chose me chagrine. Son regard fourbe, ses sourires amusés et la conversation pleine de sous-entendus avec Daryl ne laissent présager rien de bon. Je ressens comme un grand frisson lorsqu'elle s'approche de moi et m'annonce qu'elle va me changer. Le bambin tiré par la main se lève donc de son tapis de jeu pour prendre la direction de l'immense table du salon. Ma couche est changée, ma grenouillère remplacée par la longue robe en flanelle rose avec un Dingo sur le devant.

La surprise vient d'abord du collant qu'elle m'enfile, il s'agit d'un collant noir qui n'a aucun rapport avec la régression, ouvert à l'entrejambe et avec de jolis motifs je dirai même que sur de jolies jambes, cela serait plutôt la progression de mon Popaul qu'il génèrerait. La deuxième surprise vient de Daryl, qui lui donne un magnifique panty bouffant en satin orné de froufrous sur le derrière. Je suis troublé par cette lingerie et le contact des collants sur mes jambes, bien que la tension soit palpable, il se passe quelque chose dans ma cage de chasteté. Les POIS me rappellent aussitôt qu'il m'est interdit d'avoir une érection sous peine de sanction .

Je sens bien que cette garce de chef de « sévices » prénommée Cathy s'amuse avec moi comme le chat et la souris. Ces caresses sur mes jambes qu'elle dit « jolies sont chargées d'hypocrisie.

- Tu es belle comme ça en bébé travestie, franchement tu me fais bander. Il est beau mon bébé, il va bien chanter tout à l'heure le bébé à sa maman. Me lance-t-elle en me collant la sucette dans la bouche avec une force ne correspondant pas à la douceur de ses propos.

Elle me plante sur la table avec mes interrogations et mes inquiétudes pour aller s'asseoir dans le canapé à la demande de Daryl qui vient s'occuper de moi. Sa présence me rassure un peu car cette furie en tailleur me semble terriblement dangereuse. Daryl m'invite à me lever puis me guide vers le canapé pour me donner un biberon de jus de fruits dégueulasse mais je prends sans discuter avant de me conduire au chevalet de punitions qui soudain me terrifie. Devant ma résistance physique, elle n'exerce aucune effort et se contente de m'expliquer de sa voix douce qu'elle sait que j'ai été vilain cette nuit et que l'emballage du préservatif qu'elle a trouvé par terre n'a pas du servir à contenir baballe....


- Tu veux que je raconte à Cathy ce que vous avez fait cette nuit en plus des cinq coups de canne que je vais te donner ? André m'a tout raconté et a reçu une fessée, toi cela sera seulement cinq coup de canne, plus après avoir fait des cochonneries tu ne vas pas en me faire un caprice ?

Même si les voyants d'alarme de mon tableau de bord de prudence clignotent tout azimut, je me laisse installer sur le chevalet de punitions. Les genoux posés sur les solides supports recouverts de cuir, je m'allonge sur la barre centrale rembourrée. Elle entrave aussitôt mes poignets, mes pieds et mes cuisses sont solidement fixés, présentement, fuir ne m'est plus possible même si j'y mettais toute mon énergie.

Même si je suis un adepte du bondage, dans les flux et reflux de mon masochisme mon désir secret de découvrir les effets de la canne se mêle à une sourde appréhension. Mes neurones embrumés l'attribuent à la présence de la mégère en tailleur, dans l'intimité je suis assez fou pour avoir envie de tout découvrir. Daryl baisse le panty, la couche puis se place de côté et caresse mon fessier de sa canne, sûrement pour me permettre de me préparer psychologiquement. Le premier coup tombe soudain, le sifflement de la canne ne m'a pas laissé le temps d'anticiper la douleur, ouf, sans être insupportable, cela est saisissant. La même puissance avec une cravache aurait été peut-être plus douloureux, mais là, les effets s'inscrivent sur les deux fesses en même temps en un long trait de feu. Le visage souriant de la chef service apparaît dans mon champ de vision castrant aussitôt ma concentration.

- Le patron de la société « jeux-en-famille » qui se travesti, porte des couches et joue au gros bébé va sûrement éprouver quelques difficultés à manager son personnel si cela se sait ENFOIRE !

Le deuxième coup n'est pas très violent mais voir cette mégère qui ME connaît et connaît le nom de MA société et se délecte de ma douleur génère en moi la honte et une rage indescriptible.

- Monsieur Caraco, le hasard nous a permis de nous rencontrer, quelle chance pour ma fille, quel manque de chance pour vous. Vous souvenez-vous de la secrétaire que vous avez virée parce qu'elle arrivait en retard ?

Le troisième coup et le quatrième me font bien moins mal aux fesses que la crampe qui me vrille soudain l'estomac. J'allais hurler que l'on me détache quand le cinquième coup est tombé, une incomparable brûlure embrase mes fesses m'arrachant un cri, un grand AH que j'ai poussé en ouvrant grandement la bouche. La sucette maintenue par la sangle s'y loge, j'ai du mal à fermer mes mâchoires, de la langue j'essaye de la repousser et galère. Mégère Cathy avance la main vers mon visage, je m'attends à prendre une gifle mais il n'en est rien, elle m'aide juste à remettre ma sucette en place. De toute ma vie, je ne me suis jamais senti aussi mal.


- Je lui ai proposé de venir cet après-midi et c'est un entretien avec la canne qu'elle va sûrement vous faire passer. Sans nul doute cela devrait vous séduire et vous aurez à cœur de méditer à vos actes. Rassurez-vous, elle ne vous fera pas de chantage, ce n'est pas le style de notre famille. Quand je vous ai reconnu, l'idée de vous obligez à la réembaucher m'a traversé l'esprit mais nous n'en ferons rien. Cela serait invivable pour vous deux. Je pense très sincèrement qu'elle va profiter de l'occasion vous faire chanter autrement !

- fez dégeulafe che que vous faites ! (Parler avec une grosse sucette n'est pas chose aisée)

- Mais non, c'est juste un petit règlement de compte. Elle n'arrivait pas souvent en retard, c'est faux, votre femme qui est la DRH vous ment par jalousie et vous fait faire des bêtises. Et là, vous allez être puni comme un vilain garnement mais si j'ai bien compris, ces pratiques vous amusent, alors ....amusez-vous bien.

Quelques minutes plus tard, minutes qui m'ont semblé des heures, on sonne à la porte. Je suis blême, mort de honte, j'ai peur bleue mais je ne veux pas supplier, de toutes les façons elles ne me libèreraient pas et cela leur ferait trop plaisir. Je l'ai dans le c.. et là, cela va être le moment de régler l'addition. Je ne pense pas que la mégère Cathy me mente, elles ne me feront pas de chantage, cela ne ressemble pas à la façon d'être de cette femme mais intérieurement, je me traite de tous les noms « d'oiseau » bien plus fort « qu'imbécile ».

Une jolie fausse blonde malgré un léger excédent pondéral s'approche. Son très charmant minois expose clairement que la situation l'amuse follement. Les femmes discutent entre-elle, leur propos me glacent le sang, c'est fou ce qu'elles peuvent être crues et limite vulgaires quand elles parlent de nous et de cul. La mégère Cathy guide sa fille vers mes fesses qu'elle dévoile en ajoutant des commentaires graveleux sur ma virilité, la couche, le collant et le panty rose ne la mettent pas en valeur, c'est sûr ! « Salopes » est le mot qui sonne dans ma tête depuis un moment, mais présentement, ma position ne me permet pas d'exprimer mes pensées.

- Mademoiselle, il est à vous quelques instant, mais sachez que la canne ne se donne que sur les fesses et éventuellement les cuisses mais jamais sur le dos, vous pourriez le blesser et pas seulement dans son amour propre. Lui explique Daryl.

- Je ne sais pas si je vais pouvoir même si ce n'est pas l'envie qui m'en manque.

- C'est le premier pas qui coûte, essayez vous verrez bien, de toutes les façons il ne mourra pas de recevoir quelques coups de canne rassurez-vous.

Deux petits coups de canne s'abattent sur mes fesses, je sens bien qu'elle les a donnés par principe et sans aucune conviction, une claque bien plus appuyée tombe sur ma fesse droite suivie d'une autre et d'une autre encore plus forte, là, la fessée semble plus du goût de la secrétaire que la canne. J'ai vu des flashs, Daryl ou la mère a fait des photos.

- Je préfère le fesser, j'ai trop peur avec votre turc. Je peux ? Demande timidement la secrétaire.

- Eclate-toi, règle-lui son compte ! Lui répond sa mère.

Ce n'est pas une fessée mais une avalanche de coups qui s'abat sur mon fessier. La belle s'y adonne avec une fougue certaine, il semblerait que cette pratique l'ait faite secrètement fantasmer et que je lui offre sans le vouloir, la possibilité de réaliser son fantasme. Au bout d'un moment je commence à avoir vraiment mal mais une chaleur, une fièvre indescriptible s'empare de mon corps, un courant continu longe ma colonne vertébrale et me fait perdre la tête. Elle s'interrompt comme elle a commencé, brusquement, pour venir s'asseoir par terre face à moi et me retirer la sucette-bâillon.

- Nous sommes quittes, maintenant, dit-moi que tu regrettes et que tu t'excuses !

- Je regrette mademoiselle de ne pas avoir vérifié ce que me disait ma femme qui, pour votre gouverne a été virée de l'entreprise et de mon logis. J'ai découvert qu'elle volait la boite et me mentait d'un bout à l'autre. J'étais manipulé par une garce et depuis que je suis célibataire, tout va mieux, dans ma vie privée comme dans mon entreprise. Je suis vraiment désolé et si vous recherchez un travail, passez me voir, on regardera ensemble ce que l'on peut faire.

Prise de pitié elle prend ma tête entre ses mains, nos visages se rapprochent, pendant un instant le dialogue muet de nos yeux me surprend, cette fille éprouve quelque chose à mon encontre malgré le fait que je l'ai virée et que je sois aujourd'hui dans une position qui ne peut pas être plus ridicule pour un patron face à une ex-salariée.

- Ce n'est pas parce que je suis attaché que je suis désolé, je suis vraiment désolé parce que j'ai été injuste avec vous !

- Moi aussi, on aurait du parler avant que je vous donne une fessée.

- Vous êtes charmante, juste, vous me semblez être quelqu'un de bien, si vous êtes libre ce soir, j'aimerai vous inviter à dîner.

- Heu, je ne sais pas.

- Après avoir été injuste avec moi et m'avoir fessé, vous ne pouvez pas me refuser de me laisser essayer de me faire pardonner !

- Cet enfoiré débile qui joue au bébé t'a viré, tu ne vas aller au resto avec lui quand même ! Aboie la mère.

- Je crois que si maman, je lui dois bien ça.

- Ma fille est folle !

- Oui maman, je suis folle et je vais me laisser inviter.

- Et moi future belle maman, je craque pour votre fille !


Fin
TSM
http://tsm-textes.over-blog.com/

AB/DL : (pour Adult Baby / Diaper Lover), couches amoureux

Ds : Domination Soumission

SM : Sado Maso

Daryl « régresseuse » professionnelle 3



Daryl « régresseuse » professionnelle 3


Chapitre 3

Il paie une « régresseuse » prof et dort avec un docker

Léa est partie après m'avoir roulé une pelle gigantesque, le repas avec Daryl prend fin, je suis sur la chaise haute, pour ne pas l'énerver je n'ai pas fait l'idiot en mangeant presque comme un grand l'intégralité de ma « poupou » à la petit cuiller. On sonne, visiblement elle s'attendait à une visite et me laisse seul pour aller ouvrir. Par la porte de la cuisine, je vois entrer un homme d'une quarantaine d'années. Il lui fait un baisemain et lui donne aussitôt une enveloppe qu'elle pose sur le guéridon de l'entrée avant de plaquer sa main entre les jambes de ce docker. Ses épaules larges, ses gros bras et son visage carré me font penser à une armoire normande sur pattes. J'apprends dans la discussion qu'il fréquente lui aussi ABK ( http://www.abkingdom.com/ ) un site génial dédié aux amoureux de la couche et de ses dérivés.


Ils disparaissent dans le couloir, je reste seul comme un couillon un long moment. Lorsqu'ils entrent dans la cuisine, la surprise me cloue sur ma chaise, haute ou pas. Daryl tint le docker en grenouillère par la main, il marche en canard en suçant son pouce, visiblement il porte une couche lui aussi. Je suis un peu gêné, mais comme il semble en régression lui aussi, je n'ai pas trop honte. Promis madame je ne lui volerai pas son jouet, pas pour vous faire plaisir, mais pour pas qu'il me mette une gifle.

- Je te présente ton copain André, il est venu jouer avec toi et dormira à la maison. Comme il n'aime pas dormir seul, il dormira avec toi mais je te préviens, vous avez intérêt à être sages où vous aurez rendez-vous avec ma canne sur le chevalet de punition.

Dans ma tête, c'est Saturday Night Fever, tout cela ne me dit rien qui vaille, des spots s'allument comme pour illuminer la piste des jeux à venir et qui ne peuvent être conventionnels. Elle le fait asseoir une chaise haute à côté de moi, par réflexe je lui tends la main pour lui dire bonjour, il l'ignore en haussant les épaules. Quel con suis-je, les bébés ne se serrent pas la main, pardon monsieur, ce geste n'était qu'un geste de politesse, n'en prenez pas ombrage.

Daryl nous donne des jouets de bébé et fait des photos, de grâce Madame, ne les mettez pas sur internet, si un de mes salariés me voyait, cela serait la catastrophe. Elle nous donne deux biberons, nous devons les boire pour lui faire plaisir. Rassurez-vous Madame, je vais faire un effort et ne vous contrarierai point. Les bibs de lait terminés, elle nous libère des chaises hautes pour nous conduire à la chambre. Mon sang se glace dans mes veines lorsqu'elle installe une grande alèse l'installe sur le lit avant de taper dessus de la main pour nous indiquer que nous pouvons nous coucher.

Daryl délivre mes poignets pour les entraver avec des menottes aux barreaux de la tête de lit puis nous couvre et nous borde en nous souhaitant bonne nuit. Le fait qu'elle ne l'attache pas lui aussi m'inquiète, soit il est sage, soit il va y avoir embrouille. Elle éteint la lumière et ferme la porte, nous ne sommes pas dans le noir elle nous a laissé une veilleuse. Aussitôt la porte fermée, il se love contre moi et plaque sa main entre mes jambes.

- Ca fait longtemps que tu portes des couches toi ? Tu es AB ou DL ?

- Ni l'un ni l'autre, pour moi la couche est un jeu Ds/ humiliation qui amusait ma maîtresse.

- Moi cela fait des années, j'adore ça et les culottes en plastique ou un caoutchouc, Daryl est ma doudou, je viens la voir quand j'ai un peu de fric. Tu sais que tu me plais toi ? Dit-il en passant sa jambe par-dessus moi pour me serrer contre lui. Daryl m'a dit que tu es bi et maso, moi la douleur et le SM ce n'est pas mon truc, mais si tu veux, je veux bien te donner une fessée.

Devant sa corpulence, je lui réponds que je n'en ai pas envie, j'ai trop, peur d'avoir les fesses en charpie mais ses propos sont clairs, si je ne suis pas gentil avec lui, j'en aurai une sévère. J'ai beau essayer de lui expliquer que je ne suis présentement pas branché sexe ni excité, il entreprend de me tripoter la couche et les cuisses que je resserre immédiatement.

- La fessée tu la veux tout de suite ou l'on attend un peu ?

André passe la main sous ma longue robe en flanelle rose avec son Dingo comme moi sur le devant pour venir à la recherche des mes seins quelle caresse avec douceur pendant que ses lèvres cherchent à happer les miennes. Ma tête roule sur les côtés pour les éviter, je réitère mes « non, arrête, je ne veux pas » mais il n'en a que faire puis soudain s'assoie sur mon ventre.

- Ecoute-moi petite salope, tu es soumis, maso, bi, entravé dans mon lit et ta robe rose de fifille m'excite, alors ne me dis pas que tu n'es pas une grande vilaine qui veut se faire sauter ou je te fille une raclé. Ah ben oui, c'est ça, tu prends ton pied quand tu morfles ! Dit-il en concluant ses propos par une paire de gifles heureusement modérées.


J'ai beau essayer de me refuser à lui, de lui dire que je ne veux pas, il écrase mes tétons dans un roulement lent puis de plus en plus rapide, le malaxage et les tractions qu'il me fait subir me pousse vers l'hystérie, une odieuse chaleur envahit mes seins, l'enfoiré est doué et cherche vraiment à m'exciter. Il veut baiser et je crois bien que je vais y passer. Sa main plonge sous ma couche et s'arrête aussitôt après avoir trouvé autre chose que ma verge.

- Mais c'est quoi ce turc ?

Gros bébé André se lève, allume la lumière puis revient vers moi, ouvre la couche et découvre la CB.

- Oh, tu as une cage de chasteté ! Ouahou, t'es vraiment maso toi. Alors comme ça, tu ne joues pas avec ton petit robinet à pipi. Tu es un vilain bébé ou tu as ça pour mieux jouer à la femelle ?

- Les deux mon capitaine !

Cette réponse m'est venue comme ça, par envie de faire le con, sa réponse immédiate me fait comprendre que ce n'était pas forcément la réponse à donner.

- Et ben tu vas être servie ! Dit-il en éteignant la grande lumière pour ne laisser que la pénombre de la veilleuse.

Il m'a rejoint sur le lit, ma couche, dernière protection bien illusoire face à son désir est défaite, sa main joue avec la CB et mes testicules pendant qu'il embrasse mon visage, mon cou en cherchant mes lèvres que je persiste à lui refuser. Par chance, je ne bande pas, car les POIS m'auraient massacré la verge avec un tel malaxage. Au milieu de ses baisers fougueux je l'entends parler de biberon sans comprendre.

Le sens de ses propos murmurés devient rapidement clair, quand il se relève pour se mettre à quatre pattes au dessus de mon visage en tirant sur sa couche pour en extraire une verge bandée qu'il me présente aussitôt. J'ouvre la bouche pour lui faire la fellation attendue, sa verge est belle, de bonne taille mais pas énorme. Longue et douce parfaitement décalottée, elle expose à ma langue un gland fort agréable à sucer je l'avoue. Sa main passe derrière ma nuque et saisit ma tête pour guider le mouvement puis m'empêcher toute fuite lorsqu'il s'enfonce jusqu'au fond de ma gorge. Pourvu qu'il n'éclate pas dans ma bouche, je n'aime pas ça, je risque de vomir.

Il se tourne pour s'installer dans la position du 69 en prenant au passage le lait pour la peau de bébé sur la table de nuit et dont je comprends la destination. André finit de retirer ma couche et force l'ouverture de mes jambes qu'il bloque de ses gros bras sous ses aisselles. Menotté à la tête du lit sous cet homme forçant ma bouche de sa verge, je ne peux que m'abandonner à ses attouchements. Son doigt chargé de lait de bébé lubrifie l'orifice qu'il va sous peu forcer.

Ah, oh, hummm il l'enfonce en moi pour faire pénétrer le lubrifiant, au plus il agite son index, au plus il me procure des agréments si puissants je me perds en suçant son sexe dur comme du marbre. Je me surprends à le désirer, je me surprends effectivement à me penser femme offerte dans ces instants. Quand soudain il se lève pour prendre position entre mes jambes qu'il soulève, je le supplie d'être doux, il se fait rassurant. Dans la table de nuit, il prend un préservatif, je ne savais pas qu'il y en avait, mon dieu, j'ai de la chance, je me serai perdu.

Du gland il cherche la faille entre mes fesses, la trouve, s'y appuie et commence à exercer la pression qui va faire s'ouvrir la porte de mes reins. La position et la préparation sont propices à la pénétration qui se fait avec douceur. La douleur initiale de la sodomie est faible et vite compensée par la sensation de possession quand il s'enfonce profondément en moi de tout son long. A cet instant, je ne suis plus qu'un cul, toutes mes pensées, toutes mes terminaisons nerveuses, tout mon être est centré sur ce point de mon anatomie. Ces premiers mouvements m'arrachent un râle mi-plaisir, mi-douleur.

Je me surprends à pousser mes fesses contre lui pour le sentir plus encore en moi. Entre ses mains je suis rapidement son objet, son jouet à plaisir, je vis un moment trouble de bonheur et de honte, l'instant d'une seconde j'ai envie de lui crier que je suis à lui, en plein paradoxe j'ai maintenant envie de jouir de son sexe en moi. J'ahane à chaque coup de queue, tortille du bassin, vais à sa rencontre en me cambrant. Je suis d'une indécence folle, je lui offre mes fesses et l'encourage par un « oui » de plaisir. Il tient longtemps, en me limant toujours aussi lentement. Je n'en peux plus, c'est trop bon, trop fort, pas assez fort.

Il accélère l'allure. Je garde les yeux fermés pour mieux savourer ma jouissance, je gémis comme une chatte en chaleur et m'offre à ses coups de butoir. Le plaisir est tellement intense que j'en arrive presque à regretter de ne pas être une femme ! Il lâche mes jambes, s'allonge sur moi et cherche ma bouche avec ses lèvres. Sa langue entre en moi et cherche la mienne, c'est fou mon aversion a totalement disparue, je me laisse aller à lui rendre son baiser. Je m'offre totalement à lui, mes jambes passent autour de sa taille lui offrant ainsi mon fondement sans réserve. Ma verge et mes testicules souffrent un peu d'écrasement mais complètement conquis, je supporte sans problème ce désagrément jusqu'à sa jouissance. Il ne bouge plus, savoure son plaisir, mon anus se contracte tout seul autour de son visiteur.

Quelques minutes s'écoulent avant qu'il ne se retire puis se lève pour attraper une couche qu'il m'enfile avec un professionnalisme surprenant avant de se coucher contre moi. Il s'endort rapidement, moi non, tout ce qu'il vient de se passer et ce que je vis depuis mon arrivée ici me trotte dans la tête. Une voix sonne soudain, la lumière est allumée, non, c'est le soleil. Daryl lange le gros bébé à côté de moi. Il quitte la chambre en compagnie de sa nurse, je suis seul, j'ai presque envie de pleurer et le pire, c'est que je ne sais pas pourquoi.


A suivre

TSM

mercredi 4 mars 2009

Daryl « régresseuse » professionnelle 2 ABDL couche



Daryl « régresseuse » professionnelle


Chapitre 2

Il paie une « régresseuse » prof et vie de drôles de choses assez Ds SM

Daryl m'a laissé avec la vieille dame. Elle s'approche du lit avec un sourire « banane » qui m'intrique un peu. Elle prend place près de moi, libère les sangles me maintenant cloué au lit puis m'attire contre elle pour me bercer comme un enfant. Ses étreintes et caresses sont chargées d'affection comme si elle éprouvait quelque chose à mon encontre. Mystère ? Je ne comprends pas cette affection, quelque chose m'échappe.

Après un long moment « tendresse », elle me libère totalement de mes entraves et me déshabille pour me changer. Ses gestes sont posés, calmes, troublants. Les jambes écartées, je me soulève pour lui faciliter la pose d'une nouvelle couche propre en offrant mon intimité encagé à une mamie. C'est très perturbant psychologiquement, je suis gêné. Je voulais vivre un week-end Ds mais l'impression d'être utilisé m'habite.

Après m'avoir posé l'éternelle culotte se fermant avec un cadenas, elle me met un collant blanc en laine puis une robe rose, l'idée de lui rappeler que je ne suis pas une fille me vient, mais je n'en fait rien et me laisse vêtir. Mes mains sont ensuite entravées sur mon ventre au harnais qui lui pose quelques problèmes, cela doit être la première fois qu'elle le met à quelqu'un cela se voit. La voir ensuite s'étendre sur le lit contre moi en dégrafant son chemisier me surprend. Sa poitrine maintenue par un large soutien-gorge blanc en dentelle est exposée à mon regard puis à mon visage attiré sur son buste. D'une main elle maintien ma tête, de l'autre guide son téton à ma bouche, je vais donc téter une mamie, bien conservée mais une mamie quand même.

Un festival d'émotions me submerge, la cage de chasteté, les couches, les vêtements, la mamie, la tendresse, ma soumission à ses jeux qui me dépassent, les entraves, ce sein que mes lèvres titillent, j'avoue ne plus savoir où j'en suis. Tout cela me semble totalement irréel et pourtant, je suis bien là, entravé dans une chambre en train de « manger » le sein d'une dame qui pourrait être ma mère.

Au bout d'un long moment, la vieille dame me surprend encore en soulevant sa robe pour glisser sa main entre ses cuisses sans aucune pudeur. Non, je ne rêve pas, elle se caresse contre moi ! C'est quoi ce bins ?

Quoi qu'il en soit, tout cela est troublant, quand je mordille son téton avec plus de force, elle frémit, plaque ma tête contre son sein en quête de plus, sa respiration s'accélère, sa main coquine aussi. Dans ma cage de chasteté, c'est la bérézina. Mon Popaul commence à se trouver à l'étroit et les POI recommencent à piquer, je hais les POI, bander dans une cage est agréable, avec ces pointes, c'est désagréable parce que cela fait mal. Merde, si je ne peux goutter moi aussi à la jouissance, laissez-moi au moins savourer les plaisirs de l'excitation ! Dans ce moment de révolte mes dents ont du se faire plus incisives, la mamie vient de crier « doucement » en me mettant une baffe, modérée certes, mais quand même. Finalement, elle m'exploite pour son seul plaisir, moi, je n'ai droit à rien, j'ai les « boulles ».

- Tu m'as fait mal, je n'y arriverai pas vilain ! Dit-elle en me repoussant.

Elle s'attaque au retrait de mon collant en laine, je l'aide en soulevant mes fesses mais elle ne le retire pas, non elle ne fait que le baisser. La culotte en plastique cadenassée suit le même chemin. Mais que fait-elle ? Oh, elle s'assoie et se calle contre le mur. Ses doigts saisissent mon oreille, me tirent vers elle, les mains entravées mon équilibre est précaire, je m'écroule sur ses jambes. Elle m'attire sur ses cuisses, la position qu'elle veut me faire prendre est sans équivoque possible, la Patou veut donner la fessée au gros bébé, c'est sûr. Tu peux y aller mamie, j'ai ma couche.


Ses doigts crochètent le bord de la couche, la tire sur le haut de mes fesses pour en faire un string mais l'épaisseur de la ouate ne l'aide pas. La garce ruse, je sens que sa motivation est grande, d'une main, elle maintien la couche, de l'autre me claque une fois, deux fois, encore et encore. Je crie mais elle s'en moque. MAMIE, la montée en douleur génère le plaisir, là tu me fais mal. « Putain con », elle y va gaiment, le collant bloque mes jambes, les mains entravées j'ai bien du mal à lui échapper et comme elle a remonté ses genoux, je ne parviens pas à rouler. « Salo.. » C'est au tour de l'autre fesse de se faire claquer, c'est une fessée « unifesse » en quelque sorte, l'une après l'autre. En clair, c'est une vrai fessée qu'elle me donne, même si j'aime bien ces pratiques, donner et recevoir, là j'en prends une réelle et sans aucun plaisir. Les draps subissent les effets de ma rage, de ma douleur, je les mords en fronçant les yeux, échappatoire inutile mais il m'aide à supporter la gigantesque fessée qu'elle me donne.

Frapper semble avoir apaisé sa colère, sa main se fait maintenant coquine et joue l'exploratrice sous la couche après m'avoir fait rouler sur ses genoux. Les doigts crochètent mon service trois pièces encagé, l'agitent, le serrent, « aieee » quelle poigne mamie, doucement....

- Tu m'excites toi, c'est torride ce truc, je ne me suis jamais autant amusée ! Fait-toi pardonner, fait-moi plaisir ! Me dit-elle en soulevant sa jupe puis en écartant les jambes pour dévoiler à mes yeux son jardin secret sans pudeur.

Au confluent des deux cuisses rondes, une toison sombre très fournie mais finement taillée laisse apparaitre entre les lèvres brillantes qu'elle écarte sans vergogne, son clitoris dressé et son vagin poisseux. Devant mon manque de réaction, elle m'attrape par les cheveux pour guider mon visage sur son intimité qui présentement n'a plus rien d'intime. Je rampe tant bien que mal pour venir vers elle, à mon approche elle me plaque sur son bas-ventre en me criant « bouffe-moi j'ai envie ».

Ma langue se met au service de son clitoris dressé comme l'obélisque et lui arrache aussitôt des gémissements d'un effet saisissant. Elle sent bon tout en étant gouteuse.... comme me le rapportent mes papilles gustatives. L'hommage buccal semble lui faire plaisir mais être insuffisant pour assouvir ses envies, un désir irrépressible de participer à son plaisir, d'accroître encore la sensation voluptueuse en se caressant elle-même lui vient brusquement. Patou me pousse vers sa grotte engluée, pose un doigt sur son clitoris fortement érigé pour le masser continûment en un frottement lent et circulaire en me plaquant contre son ventre comme si elle voulait y faire entrer mon visage.

La mamie devait être une femme gourmande en amour à moins qu'elle n'essaye de rattraper le temps perdu, je ne saurai dire, mais avachie sur le dos, jambes grandement écartées, elle ne m'offre pas son ventre, elle me l'impose avec une force surprenante en criant soudain, « mets-y ta langue, mets-y la langue, prends-moi de ta langue, oui, oui, ouiii, plus fort, ouiiiii »

En moins de cinq minutes, c'est à la fois une tornade et un tsunami que je prends dans la figure la tête bloquée entre ses cuisses serrées à m'en écraser les oreilles. Agitée de contraction, elle se cambre, « s'enfuit », se cambre avant de s'écrouler et de rester inerte. Si je n'entendais pas sa bruyante respiration, je la croirai morte. Et bien Mamie, il y avait du retard question plaisir ! Cette pensée non formulée comme l'on peut s'en douter, me renvoie à ma condition. Mes fesses emmaillotées sont encore chaudes, mon Popaul souffre de la crise du logement et se fait rappeler à l'ordre dès qu'il exprime mes émotions, je suis entravé entre les cuisses d'une sexagénaire que je ne connais pas et qui vient d'abuser de moi après avoir été exhibé et traité comme un bébé.

Dans quoi me suis-je encore fourré avec ma soif de découverte, ma soif de vivre tous mes délires et fantasmes sans exception ou presque ? Cette soif de découverte m'a conduit à vivre des choses complètement folles mais en même temps, m'a permis de découvrir des sensations et des plaisirs inédits. Après ce week-end régression, je vais avoir matière à écrire, à pondre des histoires que je vais publier sur mon blog en passant encore une fois pour un fou en liberté ! Mais peu m'importe, je ne regretterai rien en quittant ce monde. Ce songe ranime soudain ma conscience. Et si j'étais tombé chez une folle, une tarée ? Le cadre et mes fantasmes délirants perdent soudain de leur saveur.

La mamie sort de sa torpeur, semble gênée et me repousse prestement. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle remonte ma culotte cadenassée, la ferme, me remet le collant en laine puis me sangle sur le lit sans oublier de me remettre la fameuse sucette à sangle. Elle tourne les talons, s'approche de la porte puis revient vers moi pour me donner un baiser sur la joue et murmurer un « merci » en rougissant comme une ado.

Elle quitte les lieux de son forfait sans tarder, la porte de la chambre est fermée, je suis seul avec mes songes, mes interrogations sur mon devenir pendant ce week-end. Que va-t-il m'arriver encore ?

Une heure plus tard, alors que je commence à trouver le temps long, Daryl entre avec la grosse dondon blonde avec son visage d'ange et sa généreuse poitrine. Oh mon dieu, faite de grâce qu'elle n'ait pas envie de faire un « face-setting » ou je vais mourir étouffé.

- Patou m'a dit que tu avais été sage, alors je vais te laisser maintenant en compagnie de Léa qui va s'occuper de toi jusqu'au diner. Elle est adorable alors ne t'avise pas de l'embêter ou tu auras rendez-vous avec la canne sur le chevalet de punition qui avait l'air de t'inquiéter tout à l'heure. Me dit Daryl avant de me laisser encore une fois seul avec une inconnue.

La dondon me libère rapidement des entraves du lit sans pour autant détacher mes bras et se précipite presque sur mon collant en laine pour me le baisser. C'est avec le même empressement qu'elle me délivre de la culotte cadenassée puis me retire la couche. Léa s'allonge entre mes jambes pour saisir la cage de chasteté avec des yeux gourmands. Elle semble fascinée, je ne saurai dire si c'est la CB 3000 ou mon service trois pièces qui la passionne, mais elle le tourne dans tous les sens. Ses mains chaudes et ses attouchements ne me laissent pas insensible, ma verge prend de l'ampleur, les POI s'enfoncent cruellement dans ma chair sans pour autant freiner mon érection.

Si les mains féminines sur cette partie de notre anatomie sont agréables, la présentement j'ai vraiment mal. Mon sexe ne pouvant se déployer pleinement tire sur mes testicules et les POI profondément plantés dans ma verge sont abominablement douloureux. J'en viens à regretter la carapace ouateuse protégeant aussi des agressions et bouge les jambes pour essayer de fuir. L'équivalent d'un quintal s'abat sur mes pieds, mes jambes ne peuvent plus bouger, je ne peux que supplier et râler en essayant de formuler mon problème. Avec cette grosse sucette fortement plaquée sur mes lèvres et l'épaisse tétine, mes propos sont presque incompréhensibles.

- Ben alors, normalement les gros bébés ne crient pas quand on les touche là, tu me trouves moche parce que je suis grosse c'est ça ? Tu es comme tous ces mecs qui ne veulent que des filles avec des petits culs et rien dans la tête ? C'est bien ça ?

Mes « non » désespérés de la tête de semble pas apaiser sa soudaine colère. J'ai beau essayer de lui faire comprendre que mon problème n'est pas la taille de son cul mais que j'ai mal, elle s'emporte et me broie les testicules de la main.

- Ah oui, ça fait mal, oh, peuchère il a mal aux « coucouilles » le bébé, mais dans un moment, il va avoir mal ailleurs s'il n'est pas sage...... Alors maintenant, il va prendre sa tétée sans râler comme un gros bébé sage et après on ira prendre le bain ! Dit-elle en me retirant ma sucette après avoir lâché mes testicules reconnaissants.

Sur ces mots, elle soulève son tee-shirt, apaise son énorme soutien-gorge pour offrir à mon regard un sein de chez sein. Les douleurs résiduelles de mon services trois pièces m'insistent à coopérer sur le champ et à téter goulument comme si j'avais faim. Après quelques minutes de tétée, je trouve finalement fort agréable cette généreuse poitrine. C'est doux, confortable et j'aimerai bien y toucher mais je n'en ai pas la possibilité quel dommage.

- Allez, vient on va au bain ! Dit-elle soudain en se retirant pour se vêtir.

Prestement levé par la poigne ferme de Léa, me voilà parti derrière elle comme un enfant trainé par la main. Daryl nous rejoint à la salle de bain avec les clés de la cage de chasteté et du harnais. Debout dans la baignoire, je suis libéré, dévêtu et lavé par Léa sous le contrôle de Daryl qui me remet le tube de la CB3000 avant que mon Popaul n'exprime sa reconnaissance. Séché et ramené nu au salon, elles me font m'étendre sur une grande serviette posée sur l'immense table en chêne. Daryl prend place dans un canapé pendant que Léa prend visiblement beaucoup de plaisir à me sécher puis à me passer du lait de bébé sur les fesses. Soudain, l'idée saugrenue de lui parler de constipation lui vient, Daryl nous abandonne un instant pour revenir avec un suppositoire. Et merde, c'est quoi ce truc ? Devant le regard sévère des filles, je les laisse me relever les jambes pour leur exposer ma petite rondelle étoilée peureusement contractée. Léa décachette le suppo puis me le met avec semble-t-il beaucoup d'intérêt pour mon petit derrière. Elle l'enfonce profondément dans mon anus et l'accompagne de la moitié de son index m'arrachant un gémissement de douleur car à sec sans prévenir, cela n'est point agréable.

Dans les minutes qui suivent je suis à nouveau en couche et vêtu cette fois, d'une longue robe en flanelle rose avec un Dingo sur le devant L'éternel harnais posé, mes poignets sont à nouveau entravés en ne me laissant que peu d'amplitude pour les mouvements. Descendu de la table avec précaution, je suis conduis dans une des pièces que je ne connaissais pas encore. C'est une nurserie avec une table de gynéco et des potences médicales dont je ne comprends la raison et un parc à l'ancienne avec des barreaux de bois et des jouets de bébé. On m'y fait pénétrer et me demande de m'asseoir. Encore une fois j'abdique mais tout cela ne m'amuse plus.

Ce n'est plus de la Ds ou du SM comme j'aime mais de l'infantilisme pur sans aucun intérêt pour moi. Assis dans ce parc avec ces jouets de bébé, je me sens « con » de chez « con ». Je ne juge pas, à chacun ses plaisirs, à chacun ses fantasmes, là je ne suis plus dans les miens mais un soumis ne se révolte pas.

Daryl débarque avec un appareil photo, le bébé prend des poses et s'amuse un peu à faire le pitre mais sans plus. Léa parle à l'oreille de Daryl qui acquiesce aussitôt en souriant. On me sort du parc et me fait allonger sur une couverture posée à même le sol. Mes jambes sont liées, mes yeux occultés par un bandeau. Mes oreilles captent les bruits comme des radars pour essayer de comprendre ce qu'il se trame, ce qu'il va m'arriver. J'ai perçu un bruit de porte que l'on ouvre et que l'on referme mais n'arrive à deviner ce qu'elles font et manigancent. On me retire ma sucette et bloque ma tête dans une espèce de boite en bois dont mon visage semble émerger d'un rond. Je comprends soudain ce qu'il m'arrive quand une chatte parfumée et trempée se pose sur mon visage. La boite est un WC mobile comme je l'ai vu sur le net. Quelle horreur, je ne suis pas uro !

Je me débats aussitôt en criant que je ne supporte pas l'urine, un pied se pose sur mon sexe encagé et m'intime l'ordre de me calmer et de lécher pour remercier ma nourrice. En temps normal j'aime le « face-setting », mais ma crainte qu'elle urine castre mes plaisirs. Léa me rassure et me promet de ne point le faire si je m'applique. Mon investissement pour la dégustation de sa minette est immédiat. Le nez plongé dans les profondeurs humines, ma langue se fait virtuose pour séduire l'ergot sensible féminin. Au bout de quelques minutes, les pétales épanouis ruissellent, la belle a les sécrétions généreuses et fortement épicées.

Ni tenant plus, elle s'agite sur mon visage, ripe soudain pour offrir mon nez à son croupion et ma langue à sa grotte intime pendant que des doigts s'agitent prestement au dessus de moi. Malgré l'épaisseur du bois, je perçois du fond de ma caisse, une mélopée annonçant la proche venue d'une heureuse conclusion. Comme parcourue de spasmes et de soubresauts incontrôlables elle rue sur mon visage, une marée de plaisir inonde sa caverne intime, s'il n'y avait point ce WC portable je m'étoufferai entre ses fesses plantureuses. Le visage et la langue dans un marécage, je l'entends crier son bonheur à gorge déployée sans aucune pudeur. Elle se prend un pied d'enfer, tous ses orifices se contractent, soudain plus rien, elle est tombée ou roule sur le sol je ne sais pas, seul des râles me permettent de comprendre qu'elle est encore là.

A suivre

TSM

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Daryl « régresseuse » professionnelle ABDL couche





Daryl « régresseuse » professionnelle

Par TSM

Chapitre 1

Il paie une « régresseuse » prof et découvre


Ma tête chaude, comme si j'avais bu et je sais que l'alcool n'est pas la raison de cet état. C'est étrange, je devrai avoir honte, mais ce sentiment m'a quitté. Devant toutes ces femmes visiblement amusées, je dois avoir l'air cruche, les bras entravés dans le dos avec comme seul vêtement une couche pour adulte maintenue en place par une larges culotte en plastique verrouillée à ma taille par une chainette et un cadenas.


Quelle idée saugrenue ai-je eu en contactant cette maîtresse-femme rencontrée via un ami d'ABK ? Me voilà maintenant embarqué dans un vrai stage de régression. J'avais imaginé des jeux de domination soumission avec un peu de SM d'après ce qu'il m'avait dit et en fait depuis hier tout est différent, mes repères, mes principes, mes valeurs s'envolent.

Depuis mon arrivée ici, c'est comme si par envie de vivre un instant de soumission érotique et satisfaire mes pulsions sexuelles je perdais mon moi et tout ce qui a fait le chef d'entreprise dynamique et rigoureux que j'étais avant de la rencontrer et le joueur réel et sérieux que l'on trouve sur sensationsm.

Tout c'est fait sans violence, sans rapport de force, elle m'a embarqué non pas dans la réalisation de mes fantasmes les plus fous, mais dans un monde étrange en laminant tous mes fondamentaux. Je lui ai remis les deux-cent euros demandés vendredi soir en arrivant, non pas pour la rétribuer pour ce qu'elle allait me faire, mais pour ma participation aux frais, mes repas, l'hébergement et accessoires pédagogiques a-t-elle dit. Dès mon arrivée, j'ai senti que cette jolie femme sûre d'elle avec un sourire enjôleur et une voix cristalline allait me faire craquer et vivre des émotions fortes, j'étais loin d'imaginer ce qu'il m'arrive.

Je ne me suis pas révolté hier soir quand elle m'a solidement entravé sur un lit avant de me mettre une couche, lui ayant parlé de mes délires de bondage longue durée et de couche, j'ai trouvé cela normal, plaisant, du moins jusqu'à ce matin.

Ce matin j'étais blême et très mal, quand elle m'a donné un biberon de lait sans me détacher. J'ai essayé de lui expliquer que je voulais aller aux toilettes pour faire ma grosse commission, mais elle a fait comme si elle n'entendait pas. Blottis contre sa poitrine, j'ai bu tout mon lait les yeux fermés dans une impression de bien être que je n'aurais jamais imaginé mais ce qui devait arriver est arrivé. J'ai fini par faire, cela ne m'a pas amusé du tout, je n'aime pas tout ce qui touche à la scato mais elle s'en moquait royalement. Il est même possible que les caresses sur mon visage soient à un accompagnement psychologique pour la chose.

Après ce moment pour moi très scato, elle m'a rapidement changé et lavé en me souriant. La seule chose que j'ai trouvé agréable, c'est le lait de bébé étalé par ses douces mains expertes sur mes parties et mes fesses d'adultes. Daryl m'a ensuite remis une grosse sucette bâillon.


Je l'appelle ainsi parce qu'elle est fixée à ma bouche par une large sangle attachée derrière ma tête. Il m'est presque impossible de parler avec cette grosse tétine dans la bouche et la grosse tétine plaquée sur mes lèvres. Pendant quelques instants quand elle m'a laissé seul entravé dans le lit à gros barreaux et sous une couverture molletonnées j'ai eu une impression d'ivresse, puis je me suis endormi.

Un moment plus tard, combien de temps, je ne saurai le dire, elle est venue me réveiller. J'ai eu droit à quelques bisous sur le visage, à la caresse de ses longs cheveux châtains dans mon cou, à un tout petit gâté pendant lequel elle m'a parlé de visite puis m'a invité à me lever et marcher en me tenant comme si j'étais malade. Là, nous arrivons au salon. Je ne suis pas dans un donjon de dominatrice ou une pièce emménagée en nurserie, mais dans une vielle et grande maison bourgeoise de type anglais, avec d'immenses pièces et de chaudes tentures sombres aux murs puis du mobilier comme dans les livres exposant les anciennes pensions anglaises. Dans ce salon où elle me conduit, il y a un chevalet de punition avec de grosses sangles aux pieds, il me fait peur après m'avoir tant fait fantasmer. Vais-je être puni d'une faute que je n'ai pas commise devant ses femmes de tout âge ?

Pour le savoir ou lui dire que j'ai peur il me faudrait parler, mais je n'en ai pas le droit, ma bouche n'a qu'un droit m'a-t-elle dit, téter la sucette de bébé qui me ridiculise aux yeux de ses femmes et boire les biberons constituant ma seule alimentation depuis hier.

Les femmes sont au nombre de trois, il y a, assise sur un immense canapé une dame d'une bonne soixantaine d'années qui m'a l'air très sévère, une autre, la trentaine environ, vêtue d'un tailleur strict, je la vois bien en chef de service puis sur un autre canapé une grosse dondon blonde avec un visage d'ange avec une poitrine généreuse de chez généreuse.

- Ouahou, quel beau bébé que voilà ! S'écrit la dondon.

- Très mignon en effet, rajoute la mamie avec des pétillants.

A mon approche la mamie et la dondon se lèvent, pour venir à moi, mes pommettes doivent être rouges de confusion. Sur l'immense table en chêne de la salle à manger, un matelas à langer et des affaires sont posées. Daryl me conduit à la table, les deux femmes m'aident à m'étendre sur le dos. Je suis monstrueusement gêné

- N'ai pas peur, mes amies vont bien prendre soin de toi et t'habiller pour pas que tu n'ais froid, tu vas être sage n'est-ce pas ?

Ce n'est pas une question que me pose Daryl, sa voix et son regard appuyé exposaient clairement une autorité naturelle ne laissant souffrir de réfutation. On me fait asseoir puis allonger, aux bordures du vertige je ne résiste pas, je n'en n'ai ni l'envie, ni le courage, même si ce que je vis ne ressemble pas à ce que j'avais imaginé, pour l'instant nulle envie de me rebeller ne murit en moi. Défait de leurs protections, par quatre mains agiles, mes attributs sont exposés à leurs yeux gourmands dans une couche pleine d'urine. Bien que je ne sois pas d'un naturel pudique, la honte me submerge.

- Oh, mais c'est qu'il est bien soigné ce bébé, sa pilosité est entretenue comme il se doit. Lance à qui veut l'entendre la grosse dondon en me soulevant les jambes pour me passer une lingette entre les fesses.

Daryl les rejoint avec une cage de chasteté que je connais bien, c'est une CB 3000, j'en avais achetée une par curiosité pour en découvrir les effets. A la base de mon sexe, elle referme l'anneau puis y passe la goupille tranquillement, si elle ne se presse pas, je vais avoir une érection qui rendra impossible la pose du tube. Soudain, je ressens qu'elle pose quelque chose qui me picote la verge avant de l'enfermer dans le tube. D'un seul coup d'œil, je comprends ce qu'elle a ajouté, ce sont des POI, sorte de picots qui pénètrent dans la chair lors de l'érection. Je n'en connais que le principe je vais en connaître maintenant les effets, c'est sûr.

- Avec ça les filles, je peux vous dire que votre bébé n'est pas prêt de jouer avec son petit robinet, vous pouvez être sûre qu'il ne fera pas de cochonnerie dans votre dos. Explique Daryl en tournant mon sexe dans tous les sens.

- Mais c'est génial ce truc ! Rajoute la chef de service en se rapprochant. Je vais en acheter une, comme ça mon mari ne m'emmerdera plus et surfera moins sur des sites pornos.

- Si tu veux, je peux t'en procurer une pour 260 euros, ça t'intéresse ? Lui répond Daryl.

Cette réponse me permet de comprendre que ma nurse fait du bisness de tout et va se prendre 100 euros en passant. La discussion s'oriente sur les effets positifs de la cage de chasteté sur l'homme, Daryl leur explique qu'après quelques jours les machos sont très prévenants et gentils, toujours prêts à rendre service parce qu'ils espèrent négocier une libération anticipé ou qu'ils tombent fou amoureux. La discussion sur les avantages de cet accessoire qu'elle est en train de leur vendre se poursuit comme si je n'étais pas concerné. Tout en discutant elles me remettent une couche, la culotte en plastique sans oublier de verrouiller le cadenas, puis me libèrent les bras, pour m'enfiler une grenouillère rose se fermant dans le dos à l'aide d'une fermeture éclair qui se bloque elle aussi avec un cadenas. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec tout ça, je ne risque pas de me faire des choses....

C'est lorsque Daryl me passe un solide harnais que je comprends que le pire est à venir. Muni de sangle passant autour de mon corps et entre les jambes puis de bracelets pour les poignets, je perçois clairement que mon avenir immédiat ne sera point dans la liberté de gambader. Après avoir entravé mes mains enveloppées de moufles, elles me font descendre puis asseoir sur une couverture étalée sur le sol près du canapé. A peine suis-je assis, que Daryl passe des bracelets à mes chevilles puis les relie à mon harnais pour me forcer à garder les jambes repliées. Posé sur les fesses, privé de l'usage de mes bras et avec les jambes ainsi repliées, mon équilibre est particulièrement instable.

Elles prennent place sur les canapés pour prendre leur thé et café et poursuivent leur discussion sur les bienfaits de la cage de chasteté. http://tsm-textes.over-blog.com/pages/Chastete_Quelques_mots_et_photos-870645.html

Les plaisirs imaginés avant de venir ici, pour l'instant ne sont point au rendez-vous. Je trouve le temps long même si leurs conversations sur les mecs sont instructives sur la nature féminine. C'est fou ce qu'elles peuvent dire sur nous et leurs plaisirs sexuels quand elles sont ensembles ! ! !

Mes fesses et mes jambes commencent à me faire souffrir, non pas à cause de la couche mais de ma position. Pour essayer de les apaiser un peu, je tente une discrète et légère migration. En guise de discrétion, je perds l'équilibre et me vautre sur le côté. Elles éclatent de rire et se moquent de moi. A cet instant que les hais ! Pour parfaire le ridicule de ma situation, Daryl et la grosse dondon me font rouler sur le dos. La dondon rajoute « tu es bien comme ça, au moins tu n'iras pas plus bas ».

Etendu ainsi avec les jambes maintenues pliés, je ressemble à une grenouille couchée sur le dos. J'ai soif, j'ai envie de faire pipi. Même si mon intimité est cachée, faire dans ma couche devant quatre femmes est une étape bien difficile pour moi. Je m'y résous rapidement parce que je sais que je n'ai pas d'autre alternative. Le plus difficile est de commencer une fois lâchée ma vessie, laisse s'écouler l'urine chaude sur mes testicules puis mes fesses. Dans ce relâchement sphinctérien, un pet que j'aurai voulu discret se fait entendre. Moi qui voulais être discret ! Les regards se tournent vers moi, les commentaires amusés et moqueurs vont bon train. Le plafond blanc, n'offre guère de distraction et ne me permet pas de m'isoler psychologiquement pour ne point entendre ce qu'elles disent. Dans les jeux Ds et SM plus on l'entrave plus je suis excité, là je n'arrive pas vraiment à rentrer dans mes trips,

L'heure du dîner approche, les filles se lèvent pour aller préparer le repas, la dondon, chargée de me surveiller demande si elle peut me donner le sein. Enfin quelque chose de sympa. Daryl donne une réponse positive à sa requête, mais lui rappelle que mes mains doivent rester entravées. Lorsqu'elle libère mes jambes, le soulagement est tel que pour un peu je l'embrasserai. Aidé pour me mouvoir vers le canapé, je m'installe couché sur le côté, mon torse s'appuie sur ses cuisses généreuses. Elle me lâche un instant pour ouvrir son chemisier et extraire ses seins plantureux de son soutien-gorge, je suis à deux doigts de chuter et lutte pour ne pas m'affaler sur le sol.

Mon dieu que ses doudounes sont grosses, belles, énormes ! D'une main, elle guide ma tête vers son téton de l'autre elle soulève le mamelon pour le mettre à la hauteur de mes lèvres. Outre le plaisir de déguster son sein, la chaleur humaine et la douceur de sa peau me comblent de bonheur générant quelques réactions au sein de la couche. Je tète avec un plaisir certain en oubliant toute gêne, pour être rapidement gêné, par la crise du logement de mon Popaul qui prend de l'ampleur. Les POI, pénétrant dans la chair de ma verge déjà comprimée me font mal. J'essaie d'oublier ce sein que je ne peux que voir, une petite claque me rappelle à l'ordre. Mon érection diminue mais ne disparaît point. Il faudrait être un saint pour rester de marbre en se sustentant d'un aussi beau sein ! Je ne saurai dire si c'est bien sain, mais c'est bon.

Une demi-heure plus tard, après quelques visites et commentaires des filles venues voir leur amie s'offrir quelques plaisirs avec le gros bébé, j'ai l'immense honneur d'être assis en bout de table en position dominante, non pas pour le place dédiée au chef de famille, mais parce qu'elles m'ont installé sur une chaise haute ! Pendant le repas, alors que la mamie et la chef de « sévices » m'alimentent à la petite cuillère avec une bouillie indigeste, submergé par une irrésistible envie de m'amuser, de faire l'idiot je fais « brrrrrrr » avec mes lèvres en ayant la bouche pleine comme me l'ont fait mes enfants quand ils étaient petits.

Comme il est dans mes habitudes de ne pas faire les choses à moitié, j'y suis allé gaiment ! Le visage de la chef de « sévices » n'est pas chargé de taches de rousseur mais de bouillie. Devant sa mine déconfite et son tailleur strict soudainement moins strict, j'éclate de rire, rire contagieux, les convives amusées me rejoignant dans « l'œuf au riz » crépit, pardon je diverge l'euphorie. La réaction ne se fait point faite attendre, je me prends une mandale d'une puissance que je n'aurai jamais imaginée avec des bras aussi fins.

Malgré la gifle, lorsqu'elles entreprennent de l'aider à se nettoyer, même la tête baissée, mon amusement se voit. Daryl, avec son flegme inébranlable y met soudain un terme en ouvrant un placard pour décrocher une canne anglaise dont elle tapote le chevalet de punition. Devant son regard courroucé je n'ose m'aventurer à lui faire remarquer que cette pratique n'est pas adaptée aux bébés. Elle attrape la petite cuillère et me fait manger, la canne posée sur la table m'ouvre l'appétit, je n'ai plus envie de faire des « brrrrrrr » avec mes lèvres en ayant la bouche pleine.

Je n'arrive pas à comprendre pourquoi j'ai toujours cette impression d'être ivre, pourquoi cette première journée ne m'excite pas mais ne m'ennuie pas non plus malgré ma condition de bébé adulte. Sans pouvoir l'expliquer, je crois que je commence à comprendre le sens des mots « stage de régression » utilisé par mon ami d'ABK puis de cette maîtresse-femme si particulière, si craquante aussi avec sa voie douce et posée puis son sourire enjôleur. Ce qui est sûr après cette quinzaine d'heures passées ici, c'est je ne serai plus jamais le même, j'ai découvert que je pouvais être quelqu'un d'autre dans un autre monde.

Le temps et les évènements s'écoulent comme s'ils n'avaient pas d'emprise sur moi. Cela fait maintenant plus d'une heure que je suis seul entravé sur mon lit et que les femmes discutent. La porte s'ouvre, Daryl entre avec la vieille dame, les autres semblent être parties.

- Patou va te changer puis te donner ton biberon, je vais te laisser seul avec elle, je compte sur toi et je vais te faire confiance, alors ne me déçoit pas. Si tout se passe bien et si tu es sage, ton week-end régression peut évoluer dans un sens comme dans un autre, tout dépendra de ton attitude.


A suivre

TSM

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lundi 5 janvier 2009

Marielle

Marielle | 05 janvier 2009


Juste un petit texte pour débuter 2009 et vous souhaiter à toutes et à tous, une bonne et heureuse année 2009

TSM


Résumé : les aventures d'une jeune fille dans le monde du SM ne se passent pas comme prévues.

Marielle est une jeune fille âgée de 22 printemps. Particulièrement gourmande des choses du sexe, elle s'est aventurée dans le monde du SM via internet. Les images et les textes de viols l'ont beaucoup excitée parce qu'elle aime vraiment l'amour vache, les sensations fortes, être bousculée. Ses petits copains sont gentils et attendrissants mais ne lui donnent pas en amour ce dont elle a envie en dehors des moments de tendresse. Louis, celui qui a marqué son adolescence la même traitée de folle lorsqu'elle lui a demandé de l'attacher et de la violer comme une bête. Depuis quelques temps, elle mène une double vie, la nuit sur le net et les week-ends avec André, un des jeunes comptables recruté récemment par l'entreprise de son père.

C'est par internet que JFPQM (je fais pas que promettre) l'a accrochée sur un des forums de doctisssimo. Depuis, ils chattent sur MSN et s'adonnent à de la domination et au SM virtuel. Il lui donne des ordres qu'elle réalise pour lui devant sa webcam. Au fil du temps, ils ont affiné leurs jeux en prenant des idées sur le blog de TSM, un de ces fadas du net qui partage bien volontiers des trucs et astuces. Cette nuit, pour faire plaisir à Maître JFPQM, elle doit se bondager et ouvrir sa webcam juste avant de refermer le cadenas qui emprisonnera ses petits poignets enchaînés. Pour se libérer en allant chercher la clé de ses entraves, elle doit arracher des pinces à linge au préalablement posées sur ses seins. Reliées entre-elles par de la ficelle à rôti, les huit pinces sont attachées aux pieds du bureau informatique, Marielle se traite de folle lorsqu'elle ferme le cadenas dans son dos mais en même temps, une sourde excitation la submerge et embrase tous ses sens.

Face à son ordinateur, ainsi équipée elle est exposée plus que nue au regard d'un homme qu'elle n'a jamais rencontré mais à qui elle se livre corps et âme, à qui elle dit tout sans pudeur. Les pinces commencent à lui faire mal, mais elle ne bouge pas et attend qu'il lui donne l'ordre de se reculer, l'ordre qui va l'obliger à arracher une à une les pinces de bois pourtant anodines au rayon du supermarché et qui présentement décorent sa poitrine et vont la faire crier. Le « clug » de MSN lui annonce l'arrivée du message, c'est un ordre fort simple se résumant à deux lettres : GO !

En en arrachant une, Marielle découvre que la douleur ressentie n'est pas du tout celle imaginée quand elle les a essayées, elle est aussi forte qu'une brûlure. Ouvrir délicatement des pinces et les arracher ne génère vraiment pas les mêmes sensations. Marielle comprend que c'est un petit calvaire qui l'attend maintenant, elle se déteste et le déteste. Particulièrement courageuse elle se recule d'un seul coup, laminée par les douleurs elle pousse un cri, son visage crispé excite follement JFPQM qui lui envoie aussitôt ses félicitations puis l'ordre de s'étendre sur son lit jambes écartées pour lui offrir sa chatte qu'il prendra bientôt si elle le mérite.

Essoufflée, les larmes aux yeux, Marielle s'exécute et en s'étendant comme elle le peut sur le lit face à la webcam, lui présente sa minette éplorée qui présentement aurait bien besoin d'être choyée. Perdue dans sa tourmente érotique, la jouvencelle s'emballe et mime un coït torride, dans ses songes enflammés, ils sont plusieurs à vouloir la posséder, à se servir de son corps. Un « wizz » (son informatique plus fort que les autres) la rappelle à l'ordre. Un message lui indique qu'elle peut se libérer et doit ensuite s'agenouiller au bord du lit pour le branler penchée en avant, fesses offertes. Ses petits doigts saisissent la clé du cadenas et c'est presque à l'aveugle qu'elle cherche l'étroit orifice du cadenas. Lorsqu'enfin elle y parvint, par chance celui-ci s'ouvre facilement et libère aussitôt la chaîne qui tombe sur le carrelage. Après s'être massé les poignets marqués, elle se met à quatre pattes au bord du lit et sans aucune pudeur caresse son sexe trempé d'excitation avant d'y enfourner deux doigts en se tortillant de plaisir.

Le jeu, l'exhibition et ses folles pensées orientées sur un GanBand forcé la conduisent à se doigter d'une main et à se caresser de l'autre sans aucune pudeur. Elle est dans son trip et s'imagine entourée de beaux apollons assoiffés de sexe et tous aussi bien membrés les uns que les autres. Gagnée par une sorte de frénésie, sous les assauts incessants de ses violeurs imaginaires, elle se caresse comme une dératée, l'onde de plaisir monte dans son ventre puis la terrasse. La vague est si forte qu'elle s'écroule et roule comme emportée par un tsunami de jouissances. Les yeux fermés, la main plaquée entre ses jambes, elle ne bouge plus pour savourer les cieux du regard sous ses paupières closes.

Au bout de quelques minutes, des « wizz » nettement moins drôle que la douce quiétude après la tempête la ramènent sur terre. JFPQM la félicite, lui dit qu'elle était belle et qu'il est fier d'elle. En fin limier, il la couvre de compliments et va l'entraîner plus loin encore pas ses perverses manipulations. Il sait ce qu'elle s'imaginait quand elle a jouis et lui propose encore de passer à l'acte pour vivre ses fantasmes mais elle lui refuse depuis plus d'un mois.

A force de persuasion, de jeux virtuels, de photos pornos, de textes, de dialogues et de plaisirs démoniaques Marielle commence à imaginer la concrétisation de la chose sans savoir ce qui l'attend vraiment. Ils s'écrivent un scénario où, il lui fera l'amour comme elle le désire tant. Il martèle sans cesse son imagination en lui indiquant que le jour J elle va connaître des plaisirs bien plus intenses que ceux éprouvés par le virtuel et qu'il sera à la fois son violeur, son sadique et le chevalier qui viendra la libérer.

...

Oser

Oser franchir le pas,

Oser franchir le pas au moins une fois,

Oser franchir le pas au moins une fois et s'éclater comme une bête.

.............................................pour ne rien regretter..........................................

Le hall désert de la tour lui fait froid dans le dos et non pas aux fesses pourtant nues sous sa jupe qu'elle trouve maintenant bien trop courte. Marielle sait qu'il est là mais elle ne le voit toujours pas. Il lui indique par téléphone portable d'ouvrir la porte métallique écaillée de rouille et de descendre les escaliers en lui expliquant qu'il la fermera derrière eux quand il descendra.

Marielle tremblante de peur plonge dans l'inconnu, dévale les escaliers qui la conduisent dans les profondeurs sordides de la citée Richelieu. Au sous-sol l'odeur de poubelle et d'urine la saisit. Les ampoules du plafond ont claqué depuis longtemps. La voilà seule avec sa petite lampe électrique dans la pénombre devant une série de box dégorgeant leurs immondices. Ils ont convenu d'un itinéraire bien précis dans ce labyrinthe pour le scénario de son viol. Elle doit tourner à droite après la porte 76, aller jusqu'au bout du couloir et tourner à gauche. Il doit la surprendre par derrière et l'entrainer dans une cave pour lui faire sa fête mais lui a juré de mettre un préservatif et qu'elle ne risquait rien hormis prendre un pied d'enfers. Après l'avoir jetée sur un matelas, il lui attachera les poignets et la violera comme un forcené avant de la libérer et de l'emmener dîner dans un bon restaurant où il a réservé une table.

Elle n'en mène pas large et c'est presque la mort dans l'âme qu'elle continue de marcher, elle sait maintenant qu'il ne lui est plus possible de reculer parce que dans son inconscience au plus fort moment de leurs échanges, elle lui a dit « si j'ai peur, force-moi et viole-moi vraiment ».

Une porte claque soudain derrière-elle, Marielle n'a même pas le temps de se retourner qu'une main se plaque sur sa bouche pendant qu'une autre l'enserre par la taille. Submergée de peur elle crie sous la main qui la bâillonne et se débat un peu. JFPQM est musclé, la lutte est totalement inégale, la jouvencelle est soulevée du sol, emportée à bras le corps vers un destin tout tracé qu'elle a tant désiré dans ses fantasmes les plus fous et qui maintenant l'angoisse au plus haut point. Arrivés dans une des caves sombres, à peine éclairée par une des rares ampoules encore en état de fonctionnement dans le couloir, ils marchent sur un matelas posé à même le sol. Avant de la jeter dessus comme convenu, il fouille entre ses jambes pour voir si elle l'a écouté et si elle est bien nue sous sa jupe. Par réflexe, elle serre les cuisses et se fait rappeler à l'ordre, une soumise ne serre pas les jambes ou elle prend une raclée. Entre le fantasme et la réalité, la main fouilleuse est moins douce, le doigt qui la force lui fait mal. Marielle essaye de le freiner mais encore une fois, se fait rappeler à l'ordre d'un coup de dent dans son cou gracile.

- Mains sur le mur ! Aboie presque JFPQM.

Affolée, Marielle s'exécute pensant que sa coopération limitera la brutalité qu'elle ressent maintenant chez son violeur complice qui pourrait bien être un vrai violeur. Sans lâcher la bouche de sa victime, il malaxe sa poitrine elle aussi nue, sous le tee-shirt pour en saisir un téton qu'il fait rouler sous ses doigts sans trop de cruauté pour l'instant..... La jouvencelle se détend un peu sous la caresse pendant qu'il lui dévore l'oreille. La main câline abandonne la poitrine généreuse mais ferme pour attraper des menottes plus faciles que la corde pour entraver rapidement une victime. Le contact du métal froid la fait bondir mais il est bien trop tard pour résister et changer d'avis. Elle a toujours aussi peur mais en même temps elle est troublée par les attouchements qui jusqu'à présent n'ont finalement pas été si désagréables.... Lorsqu'elle se retrouve forcée à s'agenouiller poignets menottés dans le dos sur le matelas, la jouvencelle inconsciente demande à son Maître d'être doux au début mais il ne répond pas et reste silencieux.

A genoux, penchée en avant, la tête posée sur le matelas, Marielle offre ses reins sans pudeur en femme vaincue d'avance et soumise aux désirs d'un homme qu'elle n'avait jamais vu. JFPQM sûr de lui enfile tranquillement un préservatif, s'agenouille derrière elle, la fouille puis la prend brutalement pour lui arracher un cri de douleur, le cri de sa victoire, le cri qui donne le signal à ses complices. Après une série de coups de butoir généreux, elle entre progressivement dans son trip puis, conquise par cette verge vigoureuse, se met à ahaner.

- Alors elle est bonne ma bite salope ? Lui crie JFPQM sans avoir à se forcer pour être vulgaire.

- Oui Maître, vous êtes trop bon. Répond Marielle.

- Tu es une grosse salope qui aime se faire sauter comme une petite chienne, hein ?

- Oui Maître.

- Dit-le que tu es une grosse salope qui aime se faire sauter comme une petite chienne ! Crie JFPQM en claquant vivement les fesses offertes.

- Oui Maître, je suis une grosse salope qui aime se faire sauter comme une petite chienne.

- Bien, tu vas être servie crois-moi, tu vas en avoir plus que tu ne l'imaginais. Tourne la tête et regarde ce qui t'attend.

Marielle s'exécute sans comprendre et découvre avec horreur trois paires de pieds, deux de plus que prévus dans leur scénario. Elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive et ne peut pas admettre ce qu'il va se passer. Marielle a rêvé se faire violer et humilier dans des endroits sordides par des dizaines d'hommes mais ce n'était que des rêves, des fantasmes, des délires. JFPQM lui mentait depuis le début pour l'entrainer dans un piège odieux. Prise d'une crise d'angoisse puis de haine, elle tente de lui échapper en l'insultant mais sa main fermée dans sa chevelure empêche toute fuite pendant qu'il laboure son ventre.

- Arrête de gueuler, on va te donner ce que tu voulais alors ferme-la où tu vas morfler.

Pour l'instant, les deux autres hommes n'interviennent pas, ils les regardent, la regardent se faire prendre au sens propre du terme comme une catin et non plus comme une jeune fille secrètement amoureuse de son Maître. Submergée de honte, elle se fait sauter et n'y éprouve plus aucun plaisir alors que quelques minutes auparavant elle se libérait d'être prise sous la contrainte. L'un des visiteurs dirige sa lampe électrique sur son visage, mais elle tourne la tête par pudeur. Elle sait que deux hommes attendent leur tour, comme ils le feraient dans des toilettes publiques pour se soulager.

JFPQM s'emballe, se met à grogner puis pousse un cri de fauve en se répandant en elle dans son préservatif. Lorsqu'il se retire, elle pleure de honte, de ses bêtises et attend le suivant mais son violeur vient s'asseoir face à elle sur le vieux matelas. Il l'attrape doucement et l'attire vers lui. Résignée, avant même qu'il le lui demande, elle ouvre la bouche pour happer le sexe de son violeur, parce qu'elle a lu qu'il ne faut pas résister car cela peut les rendre encore plus violents. Alors qu'elle entreprend la fellation, il lui caresse le visage avec douceur et la félicite pour son courage tout en faisant signe à ses complices. L'un deux s'agenouille déjà derrière elle, se fait rappeler à l'ordre et doit enfiler un préservatif.

Ce rappel à l'ordre la rassure, elle perd son honneur parce qu'elle a été idiote mais ne perdra pas la vie en attrapant le sida. Elle le remercierait presque de la protéger en la livrant à ses potes. Marielle sent avec horreur la verge s'ajuster puis la pénétrer sans autre formalité. Alors qu'elle s'agite en elle dans des mouvements saccadés, les mains de JFPQM s'insinuent sous elle pour saisir sa poitrine et en chercher les ergots sensibles qu'il fait aussitôt rouler sous ses doigts avec douceur. Sous les assauts incessants du second violeur et les petits pincements de ses tétons, elle finit, malgré la souffrance du coït brutal et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges. Infatigable et pervers, le mec la possède en rallant comme un loup solitaire qui croquerait une brebis. Son membre épais et volumineux entre et sort dans un bruissement visqueux. Ce bruit se rajoute à la confusion de ses idées. Serais-je en train de mouiller malgré-moi pense-t-elle en se mordant les lèvres ?

JFPQM l'attrape par les cheveux et l'oblige à se redresser, l'attire vers luis puis se met à l'embrasser un instant. Marielle ne fuit pas ce baiser, mais ne met guère de conviction à le partager. En appuie sur les genoux, privée de ses mains et penchée en avant elle pose sa tête dans le creux de épaule de JFPQM pour y prendre appuie quand il abandonne ses lèvres pour passer une main entre ses cuisses et entreprendre de caresser son clitoris. L'expression mener la vache au taureau lui vient à l'esprit, son Maître virtuel l'a emmenée à la saillie dans les caves d'une tour pour lui offrir la réalisation de ses fantasmes débiles. Elle se maudit de lui en avoir parlé, de lui avoir tout dit et le haït au sens propre du terme de son audace, de son manque de respect, de .... de toutes ces choses qu'elle subit sans vraiment avoir voulu les subir. Ils ne devaient être que tous les deux, quelle horreur, quelle honte.

Le manège incessant des mains qui sont maintenant au nombre de six pour la caresser, lui pincer les tétons et masser son entre-jambe pendant qu'elle se fait prendre finissent par la troubler puis générer l'embrasement de tous ses sens. La saillie sauvage érode ses résistances malgré sa honte, son corps commence à la trahir, elle se perd, se met à mouiller comme une fontaine bien malgré elle sous toutes ces caresses et feule doucement, une onde de plaisir monte dans son ventre en se disputant avec sa raison. Le second violeur se met à ahaner puis râle en s'abandonnant à la jouissance. Marielle le déteste presque d'avoir joui si vite, elle commençait à s'accorder aux agréables mouvements.

JFPQM se lève et l'abandonne au troisième homme, grand, gros et gras. Prestement retournée, Marielle couchée sur les menottes qui lui écrasent les poignets crie de douleur et demande qu'on les lui retire en promettant de ne pas s'enfuir, le pourrait-elle d'ailleurs ? JFPQM les lui retire mais pas pour lui être agréable mais pour qu'elle utilise ses mains à des fins plus utiles que de se tordre les doigts. Sans attendre qu'elle finisse de sa masser les poignets, le troisième homme soulève ses jambes et s'abat sur elle comme la misère sur le monde. Maintenue par les chevilles au niveau de ses épaules, elle ne peut être plus ouverte, offerte à la faim de femme du rustre en manque. Impuissante et muette, le menton dans le cou, elle suit avec horreur le travail consciencieux du mec moche de chez laid cherchant son passage du bout du gland. On guide ses mains vers les verges qu'elle doit caresser pendant qu'elle se fait sauter.

La pénétration est brutale, profonde, douloureuse, Marielle serre les dents, soumise au sadisme de cet homme qui s'en donne à cœur joie un instant avant de se retirer pour orienter sa verge vers d'autres horizons. De ses doigts boudinés il récupère de la salive pour en humecter le délicat petit orifice sans défense et peureusement contracté. « Non pas là » supplie Marielle mais il n'a que faire de ses réfutations et pousse son Priape au centre de l'orifice étroit qu'il élargit à outrance sous la pression. Si elle n'avait point été adepte de la sodomie et du plaisir anal, il l'aurait déchirée.

Pendant que JFPQM et son acolyte fument une clope à la porte de la cave, elle tente de repousser la brute de ses deux bras tendus tandis que sa tête, prise en étau entre deux mains puissantes, elle se fait perforer l'anus au sens propre du terme jusqu'au tréfonds de ses reins. Marielle pousse un cri de bête forcée en se débattant inutilement et tandis qu'elle continue à crier, il entreprend de gober sa bouche pour la forcer de sa langue inconsciente des dangers. L'idée de mordre ne lui vient pas, elle souffre trop pour penser.

Au bout de quelques minutes, elle se décontracte un peu pendant que l'homme laboure son rectum à grands coups de reins, JFPQM et son acolyte sont venus à la rescousse, non pas pour la défendre mais pour lui tenir les jambes et jouer avec ses tétons puis lui tendre leur verge à « déguster ». Le sodomite est un long, le temps passe et rien ne vient. Pour varier les plaisirs, JFPQM décide de tenter le trio des ramoneurs et interrompt la sodomie pour s'allonger sur le matelas et inviter Marielle à venir « s'asseoir » sur lui. Le gros plein de soupe et de cassoulet se positionne comme il le peut pour essayer de reprendre là où il en était car sa corpulence ne l'aide pas. Tant bien que mal, il trouve le petit orifice, Marielle râle, supplie mais rien n'y fait, ils veulent absolument lui faire découvrir les plaisirs d'une double pénétration. Le gros tas finit par abandonner et laisse « sa » place au précédent.

Empalée allongée sur JFPQM, elle abandonne plus volontiers son petit coin quand il lui écarte les fesses pour l'offrir à son acolyte plus doux. Une double pénétration n'est pas aussi facile qu'on l'imagine, mais ils parviennent à se « loger » et à s'accorder arrachant à leur victime des gémissements du plus bel effet. Saisit par le menton, sa bouche est guidée vers la verge du gros, dans l'égarement provoqué par la double pénétration et les mains agiles sur sa poitrine, elle gobe la verge tendue pour la sucer de bonnes grâces tout en tournant la tête pour esquiver le gros ventre afin de la prendre toute.

Elle ne parviendra pas à l'orgasme mais déguste les ondes voluptueuses qui traversent son corps. Le manège incessant de ses mains, des verges, des lèvres sur ses tétons exacerbe son cerveau en déroute et la rend folle de plaisir. Entre leurs mains, elle n'est plus qu'un pantin de chair qui tremble, défaille, geint sans aucune retenue ni pudeur. A cet instant, elle n'a plus aucun regret, elle vit le fantasme qu'elle n'aurait jamais cru vivre un jour. Outrageusement satisfaite elle est mentalement une véritable esclave sexuelle dévouée et JFPQM le sent.

- Embrasse-moi !

L'ordre est tombé comme ça et c'est bien volontiers qu'elle abandonne sa fellation pour l'embrasser et fondre dans ce baiser. Malgré l'écart d'âge, elle craque et fond pour lui, elle voudrait tant que cet instant dure toujours.

Le jeune qui la sodomise s'abandonne dans un grand gémissement pendant que le gros agite son poireau en vain. Prié de les laisser seuls, ils se retirent sans un mot et poussent la porte en sortant comme demandé par JFPQM. A peine sont-ils partis que Marielle le mange de baiser, se tourne et l'attire sur elle, son corps à maintenant besoin d'amour et de tendresse et cette tendresse va faire mouiller les yeux de JFPQM.

Fin

TSM