lundi 9 mars 2009

Daryl « régresseuse » professionnelle 4



Daryl « régresseuse » professionnelle 4


Chapitre 4

Il paie une « régresseuse » prof, il est fessé par une salariée dont il tombe amoureux


Le retour de Daryl me réconforte, elle me change, me lave, je n'ai plus honte, je me sens bien parce qu'elle s'occupe de moi. A la cuisine, le bambin en grenouillère qui monte tout seul sur sa chaise haute c'est moi. J'ai l'impression d'être dans un état second. La journée se passe dans le calme, sans rebondissement. Repas, biberon, sieste, changes, jusqu'à la fin de l'après-midi. Quelqu'un arrive, oh mon dieu, c'est la femme d'hier, celle d'une trentaine environ, vêtue d'un tailleur strict, celle que je voyais bien en chef de service. Pourquoi est-elle là ?

Pourquoi, je ne saurai dire mais quelque chose me chagrine. Son regard fourbe, ses sourires amusés et la conversation pleine de sous-entendus avec Daryl ne laissent présager rien de bon. Je ressens comme un grand frisson lorsqu'elle s'approche de moi et m'annonce qu'elle va me changer. Le bambin tiré par la main se lève donc de son tapis de jeu pour prendre la direction de l'immense table du salon. Ma couche est changée, ma grenouillère remplacée par la longue robe en flanelle rose avec un Dingo sur le devant.

La surprise vient d'abord du collant qu'elle m'enfile, il s'agit d'un collant noir qui n'a aucun rapport avec la régression, ouvert à l'entrejambe et avec de jolis motifs je dirai même que sur de jolies jambes, cela serait plutôt la progression de mon Popaul qu'il génèrerait. La deuxième surprise vient de Daryl, qui lui donne un magnifique panty bouffant en satin orné de froufrous sur le derrière. Je suis troublé par cette lingerie et le contact des collants sur mes jambes, bien que la tension soit palpable, il se passe quelque chose dans ma cage de chasteté. Les POIS me rappellent aussitôt qu'il m'est interdit d'avoir une érection sous peine de sanction .

Je sens bien que cette garce de chef de « sévices » prénommée Cathy s'amuse avec moi comme le chat et la souris. Ces caresses sur mes jambes qu'elle dit « jolies sont chargées d'hypocrisie.

- Tu es belle comme ça en bébé travestie, franchement tu me fais bander. Il est beau mon bébé, il va bien chanter tout à l'heure le bébé à sa maman. Me lance-t-elle en me collant la sucette dans la bouche avec une force ne correspondant pas à la douceur de ses propos.

Elle me plante sur la table avec mes interrogations et mes inquiétudes pour aller s'asseoir dans le canapé à la demande de Daryl qui vient s'occuper de moi. Sa présence me rassure un peu car cette furie en tailleur me semble terriblement dangereuse. Daryl m'invite à me lever puis me guide vers le canapé pour me donner un biberon de jus de fruits dégueulasse mais je prends sans discuter avant de me conduire au chevalet de punitions qui soudain me terrifie. Devant ma résistance physique, elle n'exerce aucune effort et se contente de m'expliquer de sa voix douce qu'elle sait que j'ai été vilain cette nuit et que l'emballage du préservatif qu'elle a trouvé par terre n'a pas du servir à contenir baballe....


- Tu veux que je raconte à Cathy ce que vous avez fait cette nuit en plus des cinq coups de canne que je vais te donner ? André m'a tout raconté et a reçu une fessée, toi cela sera seulement cinq coup de canne, plus après avoir fait des cochonneries tu ne vas pas en me faire un caprice ?

Même si les voyants d'alarme de mon tableau de bord de prudence clignotent tout azimut, je me laisse installer sur le chevalet de punitions. Les genoux posés sur les solides supports recouverts de cuir, je m'allonge sur la barre centrale rembourrée. Elle entrave aussitôt mes poignets, mes pieds et mes cuisses sont solidement fixés, présentement, fuir ne m'est plus possible même si j'y mettais toute mon énergie.

Même si je suis un adepte du bondage, dans les flux et reflux de mon masochisme mon désir secret de découvrir les effets de la canne se mêle à une sourde appréhension. Mes neurones embrumés l'attribuent à la présence de la mégère en tailleur, dans l'intimité je suis assez fou pour avoir envie de tout découvrir. Daryl baisse le panty, la couche puis se place de côté et caresse mon fessier de sa canne, sûrement pour me permettre de me préparer psychologiquement. Le premier coup tombe soudain, le sifflement de la canne ne m'a pas laissé le temps d'anticiper la douleur, ouf, sans être insupportable, cela est saisissant. La même puissance avec une cravache aurait été peut-être plus douloureux, mais là, les effets s'inscrivent sur les deux fesses en même temps en un long trait de feu. Le visage souriant de la chef service apparaît dans mon champ de vision castrant aussitôt ma concentration.

- Le patron de la société « jeux-en-famille » qui se travesti, porte des couches et joue au gros bébé va sûrement éprouver quelques difficultés à manager son personnel si cela se sait ENFOIRE !

Le deuxième coup n'est pas très violent mais voir cette mégère qui ME connaît et connaît le nom de MA société et se délecte de ma douleur génère en moi la honte et une rage indescriptible.

- Monsieur Caraco, le hasard nous a permis de nous rencontrer, quelle chance pour ma fille, quel manque de chance pour vous. Vous souvenez-vous de la secrétaire que vous avez virée parce qu'elle arrivait en retard ?

Le troisième coup et le quatrième me font bien moins mal aux fesses que la crampe qui me vrille soudain l'estomac. J'allais hurler que l'on me détache quand le cinquième coup est tombé, une incomparable brûlure embrase mes fesses m'arrachant un cri, un grand AH que j'ai poussé en ouvrant grandement la bouche. La sucette maintenue par la sangle s'y loge, j'ai du mal à fermer mes mâchoires, de la langue j'essaye de la repousser et galère. Mégère Cathy avance la main vers mon visage, je m'attends à prendre une gifle mais il n'en est rien, elle m'aide juste à remettre ma sucette en place. De toute ma vie, je ne me suis jamais senti aussi mal.


- Je lui ai proposé de venir cet après-midi et c'est un entretien avec la canne qu'elle va sûrement vous faire passer. Sans nul doute cela devrait vous séduire et vous aurez à cœur de méditer à vos actes. Rassurez-vous, elle ne vous fera pas de chantage, ce n'est pas le style de notre famille. Quand je vous ai reconnu, l'idée de vous obligez à la réembaucher m'a traversé l'esprit mais nous n'en ferons rien. Cela serait invivable pour vous deux. Je pense très sincèrement qu'elle va profiter de l'occasion vous faire chanter autrement !

- fez dégeulafe che que vous faites ! (Parler avec une grosse sucette n'est pas chose aisée)

- Mais non, c'est juste un petit règlement de compte. Elle n'arrivait pas souvent en retard, c'est faux, votre femme qui est la DRH vous ment par jalousie et vous fait faire des bêtises. Et là, vous allez être puni comme un vilain garnement mais si j'ai bien compris, ces pratiques vous amusent, alors ....amusez-vous bien.

Quelques minutes plus tard, minutes qui m'ont semblé des heures, on sonne à la porte. Je suis blême, mort de honte, j'ai peur bleue mais je ne veux pas supplier, de toutes les façons elles ne me libèreraient pas et cela leur ferait trop plaisir. Je l'ai dans le c.. et là, cela va être le moment de régler l'addition. Je ne pense pas que la mégère Cathy me mente, elles ne me feront pas de chantage, cela ne ressemble pas à la façon d'être de cette femme mais intérieurement, je me traite de tous les noms « d'oiseau » bien plus fort « qu'imbécile ».

Une jolie fausse blonde malgré un léger excédent pondéral s'approche. Son très charmant minois expose clairement que la situation l'amuse follement. Les femmes discutent entre-elle, leur propos me glacent le sang, c'est fou ce qu'elles peuvent être crues et limite vulgaires quand elles parlent de nous et de cul. La mégère Cathy guide sa fille vers mes fesses qu'elle dévoile en ajoutant des commentaires graveleux sur ma virilité, la couche, le collant et le panty rose ne la mettent pas en valeur, c'est sûr ! « Salopes » est le mot qui sonne dans ma tête depuis un moment, mais présentement, ma position ne me permet pas d'exprimer mes pensées.

- Mademoiselle, il est à vous quelques instant, mais sachez que la canne ne se donne que sur les fesses et éventuellement les cuisses mais jamais sur le dos, vous pourriez le blesser et pas seulement dans son amour propre. Lui explique Daryl.

- Je ne sais pas si je vais pouvoir même si ce n'est pas l'envie qui m'en manque.

- C'est le premier pas qui coûte, essayez vous verrez bien, de toutes les façons il ne mourra pas de recevoir quelques coups de canne rassurez-vous.

Deux petits coups de canne s'abattent sur mes fesses, je sens bien qu'elle les a donnés par principe et sans aucune conviction, une claque bien plus appuyée tombe sur ma fesse droite suivie d'une autre et d'une autre encore plus forte, là, la fessée semble plus du goût de la secrétaire que la canne. J'ai vu des flashs, Daryl ou la mère a fait des photos.

- Je préfère le fesser, j'ai trop peur avec votre turc. Je peux ? Demande timidement la secrétaire.

- Eclate-toi, règle-lui son compte ! Lui répond sa mère.

Ce n'est pas une fessée mais une avalanche de coups qui s'abat sur mon fessier. La belle s'y adonne avec une fougue certaine, il semblerait que cette pratique l'ait faite secrètement fantasmer et que je lui offre sans le vouloir, la possibilité de réaliser son fantasme. Au bout d'un moment je commence à avoir vraiment mal mais une chaleur, une fièvre indescriptible s'empare de mon corps, un courant continu longe ma colonne vertébrale et me fait perdre la tête. Elle s'interrompt comme elle a commencé, brusquement, pour venir s'asseoir par terre face à moi et me retirer la sucette-bâillon.

- Nous sommes quittes, maintenant, dit-moi que tu regrettes et que tu t'excuses !

- Je regrette mademoiselle de ne pas avoir vérifié ce que me disait ma femme qui, pour votre gouverne a été virée de l'entreprise et de mon logis. J'ai découvert qu'elle volait la boite et me mentait d'un bout à l'autre. J'étais manipulé par une garce et depuis que je suis célibataire, tout va mieux, dans ma vie privée comme dans mon entreprise. Je suis vraiment désolé et si vous recherchez un travail, passez me voir, on regardera ensemble ce que l'on peut faire.

Prise de pitié elle prend ma tête entre ses mains, nos visages se rapprochent, pendant un instant le dialogue muet de nos yeux me surprend, cette fille éprouve quelque chose à mon encontre malgré le fait que je l'ai virée et que je sois aujourd'hui dans une position qui ne peut pas être plus ridicule pour un patron face à une ex-salariée.

- Ce n'est pas parce que je suis attaché que je suis désolé, je suis vraiment désolé parce que j'ai été injuste avec vous !

- Moi aussi, on aurait du parler avant que je vous donne une fessée.

- Vous êtes charmante, juste, vous me semblez être quelqu'un de bien, si vous êtes libre ce soir, j'aimerai vous inviter à dîner.

- Heu, je ne sais pas.

- Après avoir été injuste avec moi et m'avoir fessé, vous ne pouvez pas me refuser de me laisser essayer de me faire pardonner !

- Cet enfoiré débile qui joue au bébé t'a viré, tu ne vas aller au resto avec lui quand même ! Aboie la mère.

- Je crois que si maman, je lui dois bien ça.

- Ma fille est folle !

- Oui maman, je suis folle et je vais me laisser inviter.

- Et moi future belle maman, je craque pour votre fille !


Fin
TSM
http://tsm-textes.over-blog.com/

AB/DL : (pour Adult Baby / Diaper Lover), couches amoureux

Ds : Domination Soumission

SM : Sado Maso

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